ENA-GIZ : Partenariat dans les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique

ENA-GIZ : Partenariat dans les énergies renouvelables et l'efficacité énergétique

L’Ecole Nationale d’Architecture (ENA) et l’Agence de Coopération Internationale Allemande pour le Développement-GIZ Maroc à travers son Pôle Prioritaire Energie ont signé, le 21 octobre à Rabat, une convention-cadre de partenariat dans le domaine des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique appliquées au design urbain et à l’architecture.
Cet accord, signé par le directeur de l’ENA, Hassan Radoine, et le coordinateur du Secteur Energie à GIZ Maroc, Philippe Simonis, lors d’une cérémonie présidée par le ministre de l’Urbanisme et de l’Aménagement du territoire, Driss Merroun, permettra de mettre en œuvre des actions qui se déclinent en deux principaux axes portant sur l’assistance technique et le renforcement des capacités.
S’agissant de l’assistance technique, cette convention stipule l’accompagnement par la GIZ/Energie de l’ENA dans l’intégration des thématiques relatives aux énergies renouvelables et à l’efficacité énergétique dans ses cursus de formation initiale, de formation continue et de recherche.

Pour ce qui est du renforcement des capacités, l’accord vise la mobilisation par la GIZ/Energie d’experts nationaux et internationaux pour l’animation de sessions de formation sur les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique au profit des enseignants chercheurs et des doctorants de l’ENA, ainsi que l’échange sur les opportunités du secteur, les séminaires et la veille technologique.
En vertu de ladite convention, la GIZ/Energie s’engage à soutenir les activités de l’ENA par une assistance technique en mobilisant ses ressources humaines et matérielles, nécessaires à la mise en œuvre des accords spécifiques.
De son côté, l’ENA s’engage notamment à assurer la coordination globale de ce partenariat, à communiquer à la GIZ/Energie toutes informations ou documentations utiles dans le cadre des projets objets de la convention, à élaborer une liste semestrielle des besoins d’assistance technique et à identifier les financements pour mettre en œuvre les projets retenus.