La Fédération de l’Energie et MASEN ont organisé, le 23 février 2018 à Ouarzazate, un workshop sur la thématique « Le solaire au Maroc : Développement de mégaprojets et opportunités sur les applicatifs ».

Cet atelier a rassemblé des participants et intervenants de la Fédération de l’Energie, de MASEN ainsi que des industriels et chercheurs.

L’objectif de ce workshop est, entre autres, l’échange et le partage des expériences des industriels Marocains et des grands groupes Nationaux et Internationaux dans ce domaine. C’est aussi une opportunité pour favoriser le networking entre les différents acteurs du secteur à même d’identifier de nouvelles opportunités de collaboration et de business.

En effet, Le développement de Mégaprojets de production d’électricité à partir de l’énergie solaire, tel le projet Noor, en plus de participer à la réduction de la dépendance énergétique du Maroc et des émissions des gaz à effet de serre, est aussi une opportunité pour développer de nouvelles applications utilisant l’énergie de source solaire :

  • Eclairage solaire ;
  • Signalisation routière ;
  • Production de froid pour climatisation de l’air ;
  • Pompage solaire ;
  • Chauffe -eau solaires.

C’est aussi une opportunité pour l’industrie Marocaine, en particulier les PME et PMI, pour saisir de nouvelles opportunités de business et de développer de nouvelles activités et métiers dans le cadre de l’intégration locale.

Cette journée s’est conclue par une visite du complexe Noor Ouarzazate à laquelle ont été conviés l’ensemble des participants et intervenants.

 

L’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a appelé les gouvernements à mieux utiliser la fiscalité énergétique pour lutter contre les émissions de gaz à effet de serre et les polluants atmosphériques.

La fiscalité constitue un levier efficace pour faire baisser les émissions dommageables liées à la consommation d’énergie, souligne un rapport de l’Organisation intitulé «Taxing Energy Use 2018», qui décrit l’évolution de cette fiscalité dans 42 pays de l’OCDE et du G20 (collectivement à l’origine d’environ 80 % de la consommation d’énergie mondiale) par forme d’énergie et par secteur au cours de la période 2012-2015.

Les nouvelles données montrent que les taxes sur l’énergie ne sont toujours pas en phase avec les effets secondaires négatifs de l’utilisation d’énergie, observe l’OCDE dans un communiqué, relevant que ces taxes créent seulement des incitations limitées à réduire la consommation d’énergie, améliorer l’efficacité énergétique et privilégier des sources d’énergie moins dommageables.

Les hausses efficaces de la fiscalité ont surtout concerné le secteur routier, fait ressortir le rapport qui note que dans certaines grandes économies à revenu faible ou intermédiaire, la part de ses émissions taxées à un taux supérieur au coût climatique est passée de 46 % en 2012 à 50 % en 2015 à la faveur de réformes de la fiscalité des carburants.

Le document relève ainsi qu’en 2015, en dehors des transports routiers, 81 % des émissions échappaient à toute imposition, et 97 % d’entre elles étaient taxées à un taux inférieur à l’estimation basse du coût climatique (30 EUR par tonne de CO2).

«La comparaison des situations fiscales en 2012 et en 2015 est déconcertante», a expliqué dans ce sens Angel Gurría, Secrétaire général de l’OCDE pour qui «des efforts ont été faits ou sont en cours dans plusieurs pays et collectivités pour appliquer le principe pollueur-payeur, mais les progrès sur la voie d’une utilisation plus efficace de la fiscalité pour réduire les émissions nocives sont lents et parcellaires dans l’ensemble».

«Les gouvernements doivent faire plus et mieux», a-t-il ajouté soulignant que «les atteintes au climat et à la qualité de l’air imputables à la combustion d’énergies fossiles peuvent être maîtrisées».

«Plus nous attendrons, plus il sera difficile et coûteux de relever ce défi », a-t-il toutefois averti. Le rapport cite dans ce cadre le cas du charbon, dont la consommation produit pourtant de grandes quantités d’émissions nocives et près de la moitié des émissions de carbone liées à l’énergie dans les 42 pays étudiés, et qui reste presque partout l’énergie la moins taxée ou même pleinement exonérée.

Vivo Energy Maroc a procédé, le 26 février, à l’ouverture du premier magasin de l’enseigne de distribution Leader Price au sein de la station-service Manar à Casablanca. Ce projet est le fruit d’un partenariat avec le groupe OCS Maroc et sa filiale LP Distribution.

Vivo Energy Maroc innove avec une solution intelligente de « Smart Shopping », en faisant des magasins de proximité Leader Price Express la première chaîne de distribution internationale au sein d’une station-service au Maroc.

Idéalement situé à l’intersection du Boulevard Yacoub El Mansour et de la route El Jadida à Casablanca, Leader Price Express propose une offre de proximité efficace et qualitative, 24heures/24 et 7jours/7.

« Vivo Energy Maroc est pionnier dans le développement d’alliances avec de grandes enseignes internationales dans son réseau de stations-service. Nous passons aujourd’hui avec ce partenariat à une autre étape, celui de la distribution moderne. Notre partenaire a été choisi pour la qualité de son service et de son offre pour répondre aux attentes de nos clients et contribuer à offrir une expérience complète et intégrée », a déclaré Asaf V. Sasaoglu, Président Directeur Général de Vivo Energy Maroc.

Ce choix stratégique de l’entreprise de s’orienter vers des alliances diversifiées avec les meilleures marques internationales a pour but de continuer à se rapprocher de ses clients avec des offres compétitives, et de répondre à leurs besoins en renouvelant leur quotidien.

L’expérience client et son amélioration continue demeurent au cœur de la stratégie de différenciation de Vivo Energy Maroc. Son ambition est de devenir l’entreprise la plus respectée au niveau national et continental tout en répondant aux standards internationaux de qualité les plus exigeants.

Le Groupe Total Maroc et le Groupe Saham Assurance ont paraphé, mardi 20 février à Casablanca, une convention cadre de partenariat visant à proposer aux professionnels de la route disposant de la carte de fidélité « Total Club » une offre leur permettant de convertir leurs points de fidélité en une assurance hospitalisation « Saham Assurance ».

Signé par Moulay M’hamed Elalamy, directeur général de Saham Assurance, et Jean-Louis Bonenfant, directeur général de Total Maroc, cet accord concerne près de 30.000 chauffeurs de taxi et de camions détenteurs de la carte de fidélité « Total Club ».

Lors de la cérémonie de signature, les deux parties ont expliqué qu’en convertissant 30.000 ou 50.000 points Club, le client du programme Total Club sera assuré par Saham Assurance pour une période de douze mois, ainsi que sa femme et ses enfants.

L’assurance prend en charge les visites médicales en cours d’hospitalisation, le séjour (normal, en réanimation ou en soins intensifs), les honoraires des chirurgiens et anesthésistes, le bloc opératoire, la pharmacie médicale ou chirurgicale, la surveillance médicale, la biologie en cours d’hospitalisation et la radiologie en cours d’hospitalisation.

« Ce partenariat avec Saham Assurance répond à une vraie démarche sociétale, en l’occurrence faciliter à nos clients l’accès à une santé de qualité », a déclaré le directeur général de Total Maroc. M. Bonenfant, qui s’est dit « réjouit » de cette nouvelle collaboration « naissante », a tenu à rappeler que Saham Assurance est reconnu comme l’un des leaders de l’assurance au Maroc.

Pour sa part, le directeur général de Saham Assurance a souligné que « ce partenariat à portée sociale forte s’inscrit dans la lignée d’initiatives à vocation similaire enclenchées dans d’autres secteurs d’activité, et visant à apporter confort et sécurité à des catégories socio-professionnelles disposant d’une protection sociale insuffisante en cas de coup dur ».

L’Agence marocaine pour l’énergie durable (MASEN) vient de présenter l’état d’avancement des différents projets d’énergies renouvelable par rapport aux objectifs fixés pour 2020.

Le président de MASEN, Mustapha Bakkoury a annoncé que la centrale solaire Noor d’Ourzazate recevra le mois de mars sa deuxième tranche. Concernant la centrale solaire Noor III, elle devrait être livrée en juin prochain. Egalement la quatrième extension de la centrale solaire, appelée Noor-IV, elle sera opérationnelle avant fin juin prochain. Noor-IV sera développée sur une surface de 137 hectares et disposera d’une capacité de production de 72 mégawatts.

« Nous atteindrons les 42% d’énergie renouvelable dans le mix énergétique en 2020, nous les dépasserons même », a déclaré Mustapha Bakkoury.

Le président du directoire de MASEN, a en outre, fait savoir que vers mi-2018, le Maroc aura une capacité à base du solaire de 700 MW, grâce aussi à la mise en service de Noor Laâyoune (80 MW) et Noor Boujdour (20 MW) sans oublier les 20 MW déjà installés à la centrale thermo-solaire de Aïn Beni Mathar de 472 MW.

Notons qu’une fois Noor II, Noor III et Noor IV réalisées le plus vaste complexe énergétique solaire au monde atteindra une capacité totale de 582 MW.

Le conseil de gouvernement a approuvé jeudi 22 février le projet de décret portant création du Comité stratégique de développement durable, présenté par la Secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Energie, des Mines et du Développement durable chargée du Développement durable.

Ce projet de décret vise la création d’un comité, nommé « Comité stratégique du développement durable », présidé par le chef du gouvernement et composé de tous les membres du gouvernement chargés des secteurs prioritaires dans le processus de développement durable.

Le comité sera chargé du suivi de la Stratégie nationale du développement durable, présentée lors du Conseil des ministres tenu le 25 juin 2017.

Ce projet vient concrétiser les dispositions de la loi-cadre portant Charte nationale de l’environnement et du développement durable, et dont le dernier paragraphe de l’article 15 souligne que la création d’un dispositif d’évaluation et de suivi constitue l’un des piliers de cette charte, et ce afin d’atteindre ses objectifs et de maitriser et rectifier, si nécessaire, les actions entreprises à ce sujet.

La production nationale de l’énergie électrique s’est améliorée de 3,4% à fin 2017, après 3,1% par rapport à une année auparavant, selon la Direction des études et des prévisions financières (DEPF), relevant du ministère de l’Economie et des finances.

Cette évolution est favorisée par la bonne tenue de la production de l’ONEE (+3,4%) et de celle privée (+2,4%), précise la DEPF dans sa note de conjoncture du mois de février publiée mercredi 21 février. Conjuguée à une hausse du volume des importations de cette énergie de 14,5%, l’énergie nette appelée s’est appréciée au terme de l’année 2017 de 5,1% après +2,9% un an plus tôt.

Du côté de la consommation de l’énergie électrique, son rythme de hausse s’est accéléré à +4,5% à fin 2017, après +1,9% à fin 2016, soit sa meilleure performance sur les cinq dernières années, ajoute la DEPF. Cette évolution tient au renforcement des ventes de l’énergie de très haute, haute et moyenne tension de 5%, contre +1,2% un an auparavant, alimenté essentiellement par le rebond de celles adressées au secteur productif national (+7,9% après -0,1%).

De même, la consommation de l’énergie de basse tension, adressée principalement aux ménages, s’est améliorée de 3% à fin 2017.

Le Maroc mène une stratégie ambitieuse dans le secteur énergétique s’engageant dans des projets visant le développement de ce secteur d’une valeur de 40 milliards de dollars à l’horizon 2030, dont 30 milliards consacrés aux énergies renouvelables, a indiqué le ministre de l’énergie, des mines et du développement durable, Aziz Rabbah.

La transition énergétique au Maroc a commencé à porter ses fruits, et la part de l’éolien et du solaire dans la puissance électrique installée, qui n’était que de 2% début 2009, a atteint 13% en 2016, a fait observer le ministre qui s’exprimait, mercredi à Casablanca, lors de la première édition du Congrès international du Froid, de l’Air conditionné et du Chauffage (CIFAC).

Le Maroc accorde un grand intérêt à la formation dans le domaine des énergies renouvelables, avec le développement d’un réseau de centres de formation dans les métiers des énergies renouvelables et l’efficacité énergétique, a-t-il ajouté soulignant qu’en matière d’efficacité énergétique, le Maroc a mis en œuvre une stratégie visant à atteindre 20% d’économie en énergie à l’horizon 2030.

Après avoir mis l’accent sur les politiques adoptées par le Maroc en matière de lutte contre les effets négatifs du changement climatique et ses efforts pour atteindre l’efficacité énergétique, le ministre s’est réjoui de la décision des professionnels du secteur du Froid, de l’Air conditionné et du Chauffage de créer leur association.

La création de cette association permettra de renforcer la concertation entre les professionnels du secteur et les pouvoirs publics, a-t-il ajouté, soulignant que son département est prêt à fournir tout le soutien nécessaire pour promouvoir ce secteur vu les défis que posent les changements climatiques et la nécessité impérative de changer de cap en matière énergétique en s’orientant davantage vers les énergies propres et en optant pour l’efficacité énergétique.

La première édition du Congrès international du Froid, de l’Air conditionné et du Chauffage (CIFAC) est organisée par la revue des professionnels de la climatisation du froid et du chauffage sous l’égide du ministère de l’énergie, des mines et du développement durable, et du ministère de l’aménagement du territoire national, de l’urbanisme de l’habitat et de la politique de la ville avec le soutien de la ville de Casablanca.

Vivo Energy Maroc a procédé, le 26 février, à l’ouverture du premier magasin de l’enseigne de distribution Leader Price au sein de la station-service Manar à Casablanca. Ce projet est le fruit d’un partenariat avec le groupe OCS Maroc et sa filiale LP Distribution.

Vivo Energy Maroc innove avec une solution intelligente de « Smart Shopping », en faisant des magasins de proximité Leader Price Express la première chaîne de distribution internationale au sein d’une station-service au Maroc.

Idéalement situé à l’intersection du Boulevard Yacoub El Mansour et de la route El Jadida à Casablanca, Leader Price Express propose une offre de proximité efficace et qualitative, 24heures/24 et 7jours/7.

« Vivo Energy Maroc est pionnier dans le développement d’alliances avec de grandes enseignes internationales dans son réseau de stations-service. Nous passons aujourd’hui avec ce partenariat à une autre étape, celui de la distribution moderne. Notre partenaire a été choisi pour la qualité de son service et de son offre pour répondre aux attentes de nos clients et contribuer à offrir une expérience complète et intégrée », a déclaré Asaf V. Sasaoglu, Président Directeur Général de Vivo Energy Maroc.

Ce choix stratégique de l’entreprise de s’orienter vers des alliances diversifiées avec les meilleures marques internationales a pour but de continuer à se rapprocher de ses clients avec des offres compétitives, et de répondre à leurs besoins en renouvelant leur quotidien.

L’expérience client et son amélioration continue demeurent au cœur de la stratégie de différenciation de Vivo Energy Maroc. Son ambition est de devenir l’entreprise la plus respectée au niveau national et continental tout en répondant aux standards internationaux de qualité les plus exigeants.

La production nationale de l’énergie électrique s’est améliorée de 3,4% à fin 2017, après 3,1% par rapport à une année auparavant, selon la Direction des études et des prévisions financières (DEPF), relevant du ministère de l’Economie et des finances.

Cette évolution est favorisée par la bonne tenue de la production de l’ONEE (+3,4%) et de celle privée (+2,4%), précise la DEPF dans sa note de conjoncture du mois de février publiée mercredi 21 février.

Conjuguée à une hausse du volume des importations de cette énergie de 14,5%, l’énergie nette appelée s’est appréciée au terme de l’année 2017 de 5,1% après +2,9% un an plus tôt.

Du côté de la consommation de l’énergie électrique, son rythme de hausse s’est accéléré à +4,5% à fin 2017, après +1,9% à fin 2016, soit sa meilleure performance sur les cinq dernières années, ajoute la DEPF.

Cette évolution tient au renforcement des ventes de l’énergie de très haute, haute et moyenne tension de 5%, contre +1,2% un an auparavant, alimenté essentiellement par le rebond de celles adressées au secteur productif national (+7,9% après -0,1%).

De même, la consommation de l’énergie de basse tension, adressée principalement aux ménages, s’est améliorée de 3% à fin 2017.