L’ONHYM et la société pétrolière CHARIOT OIL AND GAS HOLDINGS (MOROCCO) LIMITED ont signé un accord pétrolier portant sur la zone offshore nommée « Lixus Offshore » situées au large de Larache.

Pour rappel, la société CHARIOT OIL AND GAS est partenaire de l’ONHYM dans le cadre des permis de recherche « Kenitra Offshore » et
« Mohammedia Offshore » respectivement attribués en 2016 et 2017.

CHARIOT OIL AND GAS opère d’autres projets d’exploration en Namibie et au Brésil.

Afriquia SMDC a marqué une nouvelle étape dans son action en faveur des créateurs et des jeunes talents en lançant une initiative citoyenne au sein de son quartier natal Ain Sebaâ à Casablanca.

A ce titre, une gigantesque fresque murale de 1.000 m², signée le collectif «Taraza», a été dévoilée le 11 mai dernier au sein de la station-service Tafraouti.

«Le mur, qui avait été gracieusement mis à la disposition des jeunes artistes par une société voisine de la station, s’est ainsi progressivement paré de couleurs chatoyantes qui ont insufflé davantage de vie au quartier», décrit-on dans un communiqué.

Le mur a ainsi été décoré de plusieurs éléments et symboles qui caractérisent le quartier de Ain Sebaâ, à l’instar du fameux lion, ou encore de différentes représentations directement inspirées du quartier.

La révélation de cette fresque a été marquée par un concert du mythique groupe Nass El Ghiwane. «Le choix de Nass El Ghiwane n’est guère fortuit puisque ce groupe est né au sein de la même préfecture. Beaucoup de citoyens ont pu ainsi profiter de cette opération culturelle totalement gratuite et ouverte à tout le monde. Cette initiative pourra être, à terme, dupliquée au niveau d’une dizaine d’autres stations Afriquia à travers tout le Royaume», a déclaré Said El Baghdadi, directeur général de Afriquia.

CNESTEN: Journée Médias, mercredi (08/05/19) à Kénitra, sous le thème: “Le nucléaire au service du développement humain”

Le Centre national de l’énergie, des sciences et des technologies nucléaires (CNESTEN) a réussi à se positionner en tant qu’acteur majeur dans la formation et l’expertise en sciences et technologies nucléaires, a souligné, le 8 mai à Kénitra, le ministre de l’Énergie, des mines et du développement durable, Aziz Rabbah.

Ce centre, qui veille à inscrire ses activités dans le cadre des stratégies sectorielles nationales liées au développement des secteurs socio-économiques, a élargi son ouverture sur l’environnement régional et international en partageant son savoir-faire par le biais notamment de la formation, de l’expertise et des services d’analyses de laboratoires, a souligné M. Rabbah qui s’exprimait lors d’un point de presse organisé dans les locaux du CNESTEN.

Il a à cet égard indiqué que dans le cadre de l’accord intergouvernemental conclu par les États membres africains en vue de renforcer la contribution de la science et de la technologie nucléaires au développement socioéconomique sur le continent africain (AFRA) et du comité de réflexion sur l’électronucléaire et le dessalement de l’eau de mer par voie nucléaire (CRED), l’organisme a développé un réseau de partenariats assez large et diversifié à l’échelle nationale et internationale et a contribué activement à l’évaluation des capacités nucléaires nationales requises pour l’option électronucléaire.

Le directeur général du CNESTEN, M. Khalid El Mediouri, a de son côté affirmé que le centre a procédé à la signature d’une série d’accords avec des institutions œuvrant dans le domaine des sciences et technologies nucléaires dans plusieurs pays, notamment en Afrique, aux États-Unis d’Amériques, en France, l’Espagne, la Corée du sud, la Belgique ou encore la Russie.

Depuis sa création, en tant qu’institution publique œuvrant à favoriser l’utilisation de l’énergie nucléaire à des fins pacifiques dans les domaines scientifiques, médicaux, industriels et agricoles, le centre a renforcé son positionnement et étendu la portée de ses activités et compétences afin de pouvoir répondre aux besoins nationaux croissants, a-t-il dit, soulignant que chaque année, le CNESTEN accueille en formation plus de 200 professionnels africains et déploie une trentaine d’expertises techniques issues d’institutions africaines.

M. El Mediouri a par la même occasion passé en revue les objectifs fixés en termes de renforcement de l’utilisation des sciences et techniques nucléaires dans les programmes et stratégies sectorielles et l’amélioration du niveau de sureté et sécurité radiologique et nucléaire au niveau national, notant que le centre se penche actuellement à élaborer sa vision stratégique à l’horizon 2030 et prépare son plan d’actions triennal 2020-2022, conformément à la nouvelle loi organique des finances.

Abordant la contribution du centre au développement des secteurs socio-économiques, le directeur a mis l’accent sur le développement et l’élargissement de l’utilisation des produits radio-pharmaceutiques en médecine nucléaire pour le dépistage et le traitement de nombreuses maladies métaboliques et cancéreuses.

Les efforts de cet établissement ont permis de structurer le cadre réglementaire des produits radio-pharmaceutiques au Maroc qui sont actuellement soumis aux dispositions du Code du médicament et de la pharmacie, a-t-il noté, faisant savoir que grâce aux efforts du centre, le prix d’une dose d’Iode 131, substance la plus utilisée en médecine nucléaire au Maroc, a diminué de 13.000 à 3.000 dirhams.

Le champ d’intervention du CNESTEN, a-t-il poursuivi, comprend également la gestion des déchets radioactifs à l’échelle nationale. A cet effet, le centre a développé des compétences qualifiées et une infrastructure appropriée lui permettant de soutenir la lutte contre les effets néfastes des rayonnements ionisants conformément aux lois et normes en vigueur.

L’organisme est reconnu par l’Agence internationale de l’énergie atomique (IAEA) en tant que centre régional désigné dans quatre domaines, à savoir la radioprotection, l’hydrologie isotopique, la nutrition humaine et les contrôles non destructifs en milieu industriel. Le réacteur nucléaire du CNESTEN est désigné par l’IAEA pour dispenser des formations à distance en Afrique, à l’instar des réacteurs de l’Argentine en Amérique du Sud, la Corée du Sud en Asie et la France en Europe.

Le secrétaire général du ministère de l’Énergie, des mines et du développement durable, Mohamed Ghazali, a affirmé, le 3 mai à Rabat, la volonté de son département de renforcer le système de contrôle de la disponibilité et de la qualité des hydrocarbures raffinés et du gaz naturel carburant (GNC), depuis la mise à la consommation jusqu’à la mise à la disposition du consommateur final.

Cette démarche vise à mettre en place un système de traçabilité basé sur les technologies modernes avancées pour définir les responsabilités des différents intervenants dans la chaîne de distribution des produits en question, a précisé M. Ghazali qui intervenait à l’ouverture d’une Journée de concertation placée sous le thème du « contrôle rationnel des produits pétroliers liquides ».

Aujourd’hui, la question du contrôle de qualité des hydrocarbures, en particulier des produits pétroliers, s’impose fortement eu égard au développement des pratiques et des techniques adoptées dans des expériences réussies, a-t-il dit, appelant dans ce sens à une réflexion multidimensionnelle dans le cadre d’une approche participative faisant intervenir l’ensemble des parties prenantes.

Abordant le volet réglementaire et législatif régissant le secteur, le responsable a fait savoir que le ministère devra apporter davantage d’amendements à la loi 67.15 modifiant et complétant le dahir portant loi n°1-72-255 du 18 Moharrem 1393 (22 février 1973) sur l’importation, l’exportation, le raffinage, la reprise en raffinerie et en centre emplisseur, le stockage et la distribution des hydrocarbures.

Dans ce contexte, il a passé en revue les modifications apportées à cette loi en 2015 visant entre autres l’instauration d’une base juridique afin de renforcer les missions du ministère chargé de l’Énergie relatives au contrôle de la qualité des produits pétroliers liquides, du raffinage jusqu’aux points de vente.
Le chef de la division de la distribution des produits pétroliers au sein du ministère, Sadki Zakaria, a de son côté présenté un exposé sur le secteur pétrolier au niveau national, relevant une évolution notable de la consommation des produits pétroliers ces dernières années, avec une prévision en augmentation à l’horizon 2030.

Selon les dernières statistiques, la consommation nationale en produits pétroliers s’est élevée à 11,6 millions de tonnes en 2017, soit plus de 7% par rapport à 2016, avec une facture pétrolière de l’ordre de 57,8 milliards de dirhams.
M. Sadki a par la même occasion mis en exergue la situation actuelle des contrôles de la chaîne d’approvisionnement, soulignant à cet égard la nécessité d’explorer les possibilités et les pratiques innovantes existantes en matière de contrôle de la disponibilité pour prioriser l’approvisionnement du marché intérieur, réprimer les fraudes et standardiser le processus de contrôle.

Au cours de cette journée organisée par le ministère de l’Énergie, des mines et du développement durable, trois expériences en la matière ont été présentées. Il s’agit de la société Intertek Morocco qui a mis en avant le suivi de la conformité des hydrocarbures, de l’importation à la consommation.

La société SGS Morocco qui aborde le rôle des programmes de protection de l’intégrité des carburants dans l’amélioration de la qualité des hydrocarbures et la sécurisation de la chaîne d’approvisionnement, outre l’expérience de la société SAP North West Africa limited, portant sur l’intégration des nouvelles technologies couplées aux méthodes physiques actuelles pour procéder au suivi de la qualité des hydrocarbures tout au long de la chaîne de valeur.

Région de Laayoune : M. Rabbah visite un poste de transformation électrique et la station éolienne de Tarfaya

Le ministre de l’Énergie, des mines et du développement durable, Aziz Rabbah, a effectué, le 30 avril, une visite de terrain dans plusieurs projets énergétiques et miniers réalisés au niveau de la région de Laâyoune-Sakia El Hamra. Il s’agit de la centrale solaire Noor Laâyoune I dans la commune de Dcheira, du complexe de phosphate à Boucraâ, de l’usine de transformation de phosphate, du parc éolien de Foum El Oued, outre la station électrique de Laâyoune.

S’agissant de la centrale Noor Laâyoune I, sa réalisation a nécessité une enveloppe budgétaire de plus de 1,3 milliard de dirhams. D’une puissance projetée de 80 MW extensible, cette centrale a été implantée à proximité de la ville de Laâyoune, sur un site d’une superficie totale de 1.580 ha, relevant de la commune rurale de Dcheira.

Le choix du site du complexe solaire au niveau de Laâyoune est essentiellement lié au fort ensoleillement caractéristique des lieux. En effet, la région de Laâyoune jouit d’un important gisement solaire, avec une moyenne annuelle de l’irradiation globale horizontale (GHI) assez importante se situant dans une plage entre 2100 et 2250 kWh/m².

Quant au parc éolien de Foum El Oued, réalisé pour un investissement de 800 MDH et mis en service en 2013, il dispose d’une capacité de 50 MW.
Pour ce qui est de la centrale électrique de Laâyoune, il est mis en service depuis 2017 après la fin des travaux d’extension. D’une capacité de 72 MGW, elle permet de répondre à une hausse de la demande et de renforcer la stabilité du réseau dans région de Laâyoune-Sakia El Hamra.

A cette occasion, M. Rabbah a souligné que cette visite a été l’occasion de faire le point sur les projets d’envergure mis en œuvre dans les domaines énergétiques et miniers à l’échelle de la région.
A cet égard, il a expliqué que ces investissements importants répondent aux besoins en matière d’énergie dans les secteurs des industries, de la pêche maritime, de l’agriculture et des mines, en plus de leur accompagnement de l’expansion des centres urbains dans la région.

Le ministre a également mis en avant les chantiers phares et structurants lancés par SM le Roi Mohammed VI au niveau de Laâyoune-Sakia El Hamra, notant que les projets d’énergies renouvelables déjà mis en œuvre ou en cours de réalisation permettront de faire de la région un hub des énergies propres, grâce à son énorme potentiel dans les domaines de l’éolien et solaire. En outre, il a rappelé que les investissements dans le domaine du phosphate ont atteint 20 milliards DH, ajoutant que cela couvre la nouvelle industrialisation du phosphate, dont le port et le stockage, outre 3 MMDH destinés au développement durable.

M. Rabbah a aussi noté que 60 entreprises locales s’activent dans l’économie minière et bénéficient donc de la dynamique que connait la région dans ce secteur, précisant qu’entre 60 et 80% des collaborateurs dans ces projets sont issus de la région, y compris des ouvriers, des ingénieurs, des chefs de services et des contrôleurs.

M. Aziz Rabbah lors de la présentation de la seconde revue en profondeur de la politique énergétique nationale

Le développement de l’efficacité énergétique nécessite l’accroissement de la part des investissements du secteur privé, tout en poursuivant les différentes réformes et en consolidant le rôle de l’autorité nationale de régulation de l’électricité (ANRE), selon une étude présentée, le 7 mai à Rabat.

Cette étude, intitulée « Seconde revue en profondeur de la stratégie énergétique du Maroc » et réalisée dans le cadre de la coopération du ministère de l’Énergie, des Mines et du Développement durable avec l’Agence internationale de l’Énergie (AIE), en concertation avec des acteurs publics et privés, recommande la pleine opérationnalisation de l’ANRE, avec l’accès au réseau, l’ouverture du marché et le renforcement de la planification du système, de son fonctionnement et de la qualité de son approvisionnement.

Présentée par le directeur exécutif de l’AIE, Fatih Birol, l’étude plaide pour la consolidation des missions de l’Agence marocaine pour l’efficacité énergétique (AMEE), afin de garantir la réalisation des objectifs nationaux en la matière, d’inciter l’efficacité énergétique par des prix plus fondés sur les coûts et de renforcer le respect des normes de construction.

La nécessité de tirer profit des énergies renouvelables pour contribuer dans d’autres secteurs, tels que le logement, l’industrie ou les transports et de mettre en place une nouvelle stratégie sur l’efficacité énergétique à l’horizon 2030, allant au-delà d’une approche graduelle, avec l’engagement de toutes les composantes, figurent parmi les solutions proposées par ce document, qui porte, entre autres, sur les programmes, les projets et les réformes lancés dans le cadre de la stratégie énergétique nationale, ainsi que sur les objectifs fixés dans les domaines des énergies renouvelables, de l’efficacité énergétique, des énergies fossiles, de l’électricité, de la recherche et développement et du changement climatique.

S’exprimant à cette occasion, le ministre de l’Énergie, des Mines et du Développement durable, Aziz Rabbah a indiqué ces recommandations permettront de renforcer l’attractivité de la stratégie énergétique marocaine, converger vers une gouvernance plus efficiente du secteur et de relever le défi de la résilience énergétique.

Les résultats de cette analyse, qui s’inscrivent dans la vision stratégique, seront des clefs pour accélérer la transition énergétique du Maroc, qui impliquera une évolution de la politique énergétique vers une politique déterminée par l’offre et d’une production propre et décentralisée, a fait savoir M. Rabbah.

La mise en œuvre de la stratégie énergétique a permis, également, de développer une expertise nationale au niveau des institutions publiques et privées, ce qui a permis de lancer des réformes importantes ciblées en matières législative, réglementaire et institutionnelle, a-t-il poursuivi.

Le Royaume, à travers ces orientations stratégiques, vise l’appropriation des technologies prometteuses de valorisation des ressources énergétiques renouvelables et le développement d’un tissu industriel national orienté vers la durabilité, en mesure d’accompagner les projets de développement des énergies renouvelables, en plus d’assurer la compétitivité requise à l’export et donner une impulsion forte à la recherche et développement et à l’innovation technologique.

En marge de la COP 22 en novembre 2016, le Maroc est devenu le premier pays africain à être membre associé de l’AIE, un organisme international composé de 30 pays et qui assure, entre autres, un rôle de conseil auprès de ses membres, avec plus de 200 experts de l’énergie.

M. Aziz Rabbah lors de la présentation de la seconde revue en profondeur de la politique énergétique nationale

Le développement de l’efficacité énergétique nécessite l’accroissement de la part des investissements du secteur privé, tout en poursuivant les différentes réformes et en consolidant le rôle de l’autorité nationale de régulation de l’électricité (ANRE), selon une étude présentée mardi 7 mai à Rabat.

Cette étude, intitulée « Seconde revue en profondeur de la stratégie énergétique du Maroc » et réalisée dans le cadre de la coopération du ministère de l’Énergie, des Mines et du Développement durable avec l’Agence internationale de l’Énergie (AIE), en concertation avec des acteurs publics et privés, recommande la pleine opérationnalisation de l’ANRE, avec l’accès au réseau, l’ouverture du marché et le renforcement de la planification du système, de son fonctionnement et de la qualité de son approvisionnement.

Présentée par le directeur exécutif de l’AIE, Fatih Birol, l’étude plaide pour la consolidation des missions de l’Agence marocaine pour l’efficacité énergétique (AMEE), afin de garantir la réalisation des objectifs nationaux en la matière, d’inciter l’efficacité énergétique par des prix plus fondés sur les coûts et de renforcer le respect des normes de construction.

La nécessité de tirer profit des énergies renouvelables pour contribuer dans d’autres secteurs, tels que le logement, l’industrie ou les transports et de mettre en place une nouvelle stratégie sur l’efficacité énergétique à l’horizon 2030, allant au-delà d’une approche graduelle, avec l’engagement de toutes les composantes, figurent parmi les solutions proposées par ce document, qui porte, entre autres, sur les programmes, les projets et les réformes lancés dans le cadre de la stratégie énergétique nationale, ainsi que sur les objectifs fixés dans les domaines des énergies renouvelables, de l’efficacité énergétique, des énergies fossiles, de l’électricité, de la recherche et développement et du changement climatique.

S’exprimant à cette occasion, le ministre de l’Énergie, des Mines et du Développement durable, Aziz Rebbah a indiqué ces recommandations permettront de renforcer l’attractivité de la stratégie énergétique marocaine, converger vers une gouvernance plus efficiente du secteur et de relever le défi de la résilience énergétique.

Les résultats de cette analyse, qui s’inscrivent dans la vision stratégique, seront des clefs pour accélérer la transition énergétique du Maroc, qui impliquera une évolution de la politique énergétique vers une politique déterminée par l’offre et d’une production propre et décentralisée, a fait savoir M. Rebbah.

La mise en œuvre de la stratégie énergétique a permis, également, de développer une expertise nationale au niveau des institutions publiques et privées, ce qui a permis de lancer des réformes importantes ciblées en matières législative, réglementaire et institutionnelle, a-t-il poursuivi.
Le Royaume, à travers ces orientations stratégiques, vise l’appropriation des technologies prometteuses de valorisation des ressources énergétiques renouvelables et le développement d’un tissu industriel national orienté vers la durabilité, en mesure d’accompagner les projets de développement des énergies renouvelables, en plus d’assurer la compétitivité requise à l’export et donner une impulsion forte à la recherche et développement et à l’innovation technologique.

En marge de la COP 22 en novembre 2016, le Maroc est devenu le premier pays africain à être membre associé de l’AIE, un organisme international composé de 30 pays et qui assure, entre autres, un rôle de conseil auprès de ses membres, avec plus de 200 experts de l’énergie.