Leader mondial des technologies d’avant-garde, ABB écrit aujourd’hui l’avenir de la digitalisation de l’industrie. Fort de plus de 130 ans d’expertise, ce géant suisse compte à son actif près de 135 000 employés dans plus de 100 pays.

Présent au Maroc depuis 1980, il accompagne les acteurs économiques et environnementaux du Royaume à atteindre leurs objectifs en matière de développement durable.

Engagé dans la transition énergétique et la quatrième révolution industrielle, ABB s’implique fortement dans la stratégie ambitieuse du Maroc à réduire la consommation d’énergie jusqu’à 15 % et à augmenter la part des énergies renouvelables dans le mix énergétique à 42 % en 2020.

Dans ce cadre, le Groupe s’est mis au service du Royaume pour apporter ses solutions. En plus de son siège de Casablanca, il a mis en place un atelier de turbocompresseurs à Agadir.

Au niveau national, il est ainsi devenu le fournisseur incontournable en matière de produits d’électrification, de robotique, de contrôle des mouvements, d’automation industrielle et de réseaux électriques, d’assistance technique, de formation et de surveillance à distance.

« Le Groupe satisfait ses clients en répondant efficacement et rapidement à leurs besoins et en les aidant à être plus compétitifs en matière d’énergie et de productivité durables », nous confirme Khaled Torbey, Directeur Général ABB Maroc.

Le partenaire industriel idéal pour l’événement Formule E

Disposant du plus grand parc de stations de charge rapide pour véhicules électriques au monde, ABB était incontestablement le partenaire industriel idéal pour l’édition 2018 de l’événement Formule E, qui s’est tenue à Marrakech.

En tant que partenaire officiel de ce championnat électrique régi par la FIA et, désormais, baptisé « ABB FIA Formula E », le Groupe a mis son nom et son leadership en matière d’innovation et de technologie au service de Formule E.

En effet, cette compétition sert de plateforme de test et développement des technologies d’électrification et de digitalisation en faveur de l’e-mobilité. Elle permet de repérer les manquements et d’améliorer la conception et la fonctionnalité des véhicules électriques, de l’infrastructure connexe ainsi que des plateformes digitales associées.

Grâce à leur collaboration, ABB et Formule E ont « bénéficié d’un positionnement solide pour repousser les limites de l’e-mobilité, à l’heure où des études confirment que 50 % des voitures qui seront vendues en 2030 seront électriques », nous explique M. Torbey.

La sous-station hybride, une première au Maroc !

ABB intervient également au développement de l’infrastructure électrique afin d’intégrer les énergies renouvelables, avec des objectifs de production de plus d’électricité grâce au vent et à d’autres sources d’énergies renouvelables.

Dans cette perspective, le Groupe est en train de fournir au Maroc une sous-station hybride pour un parc éolien. Première en son genre au pays, cette sous-station a nécessité un budget de 16 millions de dollars et permet de résister aux intempéries du désert et aux conditions atmosphériques maritimes.

D’après M. Torbey, « la sous-station est prévue sur une capacité de 225/33 kilovolts (kV) avec une possibilité d’extension jusqu’à 400 kV ou d’augmentation de la puissance du parc éolien jusqu’à 300 MW ».

Flexible et évolutive, cette sous-station, non seulement, renforce la présence d’ABB en Afrique, mais elle permettra également à la division « ABB Power Grids » ̶ premier fournisseur au monde de produits, de systèmes et de solutions de services dans l’énergie et l’automation ˗ de rendre les réseaux plus performants, plus intelligents et plus verts pour ses clients.

Dans un paysage énergétique en mutation, EDF accélère dans le développement du stockage de l’électricité pour devenir le leader européen du secteur. Le stockage est un levier essentiel de la transition énergétique, aux côtés de l’efficacité énergétique et des énergies nucléaires et renouvelables. Pionnier dans le domaine, le Groupe est déjà présent sur les principaux champs d’application des technologies de stockage, notamment les batteries et les STEP hydrauliques.

EDF a pour ambition de développer 10 GW de nouveaux moyens de stockage dans le monde d’ici à 2035 en plus des 5 GW déjà exploités par le Groupe. Cette accélération représente un investissement de 8 milliards d’euros sur la période 2018-2035.

Les ambitions d’EDF portent sur l’ensemble des marchés du stockage de l’électricité au service du bon fonctionnement de l’équilibre du système électrique, des clients particuliers et entreprises et des territoires. Le Groupe vise notamment à être le leader en France et en Europe sur le marché des clients particuliers avec sa gamme d’offres d’autoconsommation intégrant des batteries. Le continent africain est également un marché prioritaire pour le groupe qui a l’objectif de développer un portefeuille d’1,2 million de clients « off-grid » (sans accès à l’électricité) à l’horizon 2035 en s’appuyant sur des partenariats locaux.

Des réalisations concrètes dans les douze prochains mois :

– La mise en service d’au moins trois projets de batteries pour la performance et l’équilibre de système électrique;

L’extension de notre offre d’accès à l’électricité avec des panneaux solaires et des batteries au Ghana, après le 
succès rencontré en Côte d’Ivoire (déjà 15 000 installations).

Démultiplier les forces du Groupe Face au développement rapide des technologies de stockage, EDF renforce également sa capacité de Recherche et Développement et d’innovation dans le domaine. L’investissement de recherche sur le stockage pour le système électrique est doublé pour atteindre 70 millions d’euros sur la période 2018-2020.

En parallèle, EDF Nouveaux Business consacrera dans les deux ans à venir 15 millions d’euros, soit un tiers de ses investissements, aux projets et start-up liés au stockage électrique et à la flexibilité. 
Jean-Bernard Lévy, Président-Directeur Général d’EDF, a déclaré que « Les technologies de stockage de l’électricité sont appelées à transformer radicalement le secteur de l’énergie.

Le Plan Stockage Electrique d’EDF s’appuie sur l’expertise de l’ensemble des métiers du Groupe et sur 25 années d’investissement en R&D. La nouvelle frontière que le groupe dessine est celle d’un système énergétique 100% dé-carboné à l’horizon 2050. De par leur ampleur, le Plan Stockage Electrique, comme le Plan Solaire, confirment la capacité d’EDF à entraîner tout un écosystème compétitif pour concrétiser notre avenir sans carbone.»

Les moyens de renforcer la coopération bilatérale entre le Maroc et l’Inde ont été au centre d’entretiens, le 10 avril à New Delhi, entre le ministre de l’Energie, des mines et du développement durable, Aziz Rabbah et des responsables indiens du secteur de l’énergie.

Lors de cette réunion, M. Rabbah a passé en revue la stratégie nationale des énergies renouvelables qui ambitionne la production de 42% des besoins énergétiques de sources renouvelables d’ici 2020 et 52% d’ici 2030, mettant en avant l’importance de la création d’un centre marocco-indien d’excellence dans le domaine des énergies renouvelables pour établir un échange fructueux d’expériences et d’expertises entre les deux pays et avec le continent africain, sur la base de quatre axes qui concernent la formation continue, la formation initiale, la gouvernance énergétique et les rencontres B to B.

Pour sa part, M. Kumar Singh a rappelé les succès réalisés par le Maroc et l’Inde dans la fertilisation des terres agricoles, exprimant son souhait que ces succès puissent s’étendre à d’autres secteurs économiques dans la perspective de consolider davantage la coopération entre les deux pays.

Le responsable indien a appelé à accorder de l’importance au volet économique dans le développement du secteur de l’énergie au vu de son rôle important dans la création d’emploi, affirmant la nécessité de mettre en avant les atouts communs des deux pays et d’encourager les entreprises marocaines et indiennes à mettre en place des joint-ventures, relevant que le Maroc, qui a des liens privilégiés avec l’Europe, est à même d’offrir à l’Inde une plateforme d’accès aux marchés prometteurs du vieux Continent.

A l’issue de cette réunion, les deux parties ont signé un mémorandum d’entente visant à mettre en place les bases d’un partenariat institutionnel pour promouvoir et consolider la coopération technique en matière d’énergies renouvelables dans l’intérêt des deux pays.

Ce mémorandum vise également à développer les technologies des énergies renouvelables, à renforcer les capacités, à former le personnel technique et scientifique, à échanger des informations techniques, à organiser des ateliers communs et à réaliser des recherches et des projets conjoints dans ce domaine.

Les deux pays ont également souligné l’importance de l’Alliance solaire internationale et son rôle de premier plan dans le développement des solutions appropriées en la matière, affirmant leur volonté commune de concrétiser les objectifs de l’Alliance à travers le développement et la généralisation des solutions de l’énergie solaire par le biais du financement, de la recherche et du renforcement des capacités.

M. Rebbah s’est également entretenu avec le ministre indien du pétrole et du gaz, M. Dhamendra Pradhan avec lequel il a fait part de la volonté du Royaume, qui a fait de grands progrès dans le domaine de l’énergie, d’élargir sa coopération avec l’Inde, notamment en ce qui concerne le développement de l’exploitation de ses ressources énergétique.

Lors d’échanges après une projection vidéo sur l’Institut et l’Alliance solaire internationale et ses objectifs, M. Rebbah a indiqué que le Maroc, qui s’assigne l’objectif de parvenir à une production de 6000 Mw d’électricité, aspire également à assurer 52% de ses besoins énergétiques à partir des énergies renouvelables à l’horizon 2030.

Les travaux de la 16e réunion ministérielle du Forum international de l’énergie se sont ouverts, le 11 avril à New Delhi, avec la participation de 72 pays, dont le Maroc.

Le Royaume prend part à ce Forum, organisé sur trois jours sous le thème « L’avenir de la sécurité énergétique mondiale », avec une délégation présidée par le ministre de l’Energie, des mines et du développement durable, Aziz Rabbah, et composée du second de l’ambassadeur du Maroc en Inde, Hassan Alaoui Mostefi et des responsables centraux du ministère.

Intervenant à l’ouverture de cette réunion, le secrétaire général du Forum international de l’énergie, Sun Zheng a indiqué que cet événement international se veut une plateforme pour adopter des recommandations et des politiques susceptibles de développer la coopération dans le domaine de l’énergie et de poursuivre le travail déjà accompli.

Il a affirmé la nécessité d’activer les mécanismes de dialogue concernant l’avenir énergétique entre les pays producteurs et consommateurs, appelant à réfléchir à de nouvelles politiques pour inciter l’investissement dans le secteur de l’énergie au niveau mondial.

Pour sa part, le Premier ministre indien, Narendra Modi a fait savoir que le monde connaît actuellement des changements importants dans le secteur de l’énergie avec une forte hausse de la demande des économies émergentes en ressources énergétiques, notamment en Afrique et en Asie.

Il a fait remarquer que l’Inde sera le moteur de la demande mondiale en énergie au cours des 25 prochaines années, appelant à une tarification raisonnable sur le marché mondial pour trouver un juste équilibre entre les intérêts des producteurs et ceux des consommateurs.

De son côté, le ministre indien du Pétrole et du gaz naturel, Dharmendra Pradhan a relevé que ce Forum qui se tient en Inde, troisième consommateur mondial d’énergie, vise à examiner les moyens susceptibles de mieux organiser ce secteur qui est le moteur même de tout développement économique et social.

La tenue de ce Forum intervient dans une conjoncture économique marquée par de grands changements au niveau mondial, estimant que ce conclave constitue une opportunité pour les pays exportateurs et importateurs pour mener réflexion sur un partenariat équitable et efficient.

Le Forum international de l’énergie, organisé tous les 2 ans, est une plateforme importante pour consolider les relations commerciales dans le domaine de l’énergie et des énergies alternatives et instaurer des partenariats stratégiques entre les différents intervenants du secteur énergétique.

Le ministère délégué chargé des affaires générales et de la gouvernance a lancé, jeudi à Rabat, l’application « Mahatati », une plateforme digitale dédiée à la consultation et la comparaison des prix des carburants.

A travers cette solution, mise en place en collaboration avec le Groupement des pétroliers du Maroc (GPM), le ministère ambitionne de mettre à la disposition du citoyen une information fiable à propos des prix des carburants.

Disponible en versions arabe et française, l’application « Mahatati » permet aux citoyens (particuliers ou professionnels) un accès libre, gratuit et en temps réel aux prix des carburants dans les différentes stations de service à l’échelle nationale, grâce à sa conception innovante et intuitive.

De même, cette application offre, à travers la géolocalisation, la possibilité d’identifier les stations de service les plus proches et l’ensemble des produits et services que celles-ci proposent.