L’ambassadeur du Maroc en Italie, Youssef Balla, a mis en exergue les atouts du Royaume dans le domaine des énergies renouvelables, l’évolution dynamique de ce secteur et les perspectives de son développement, lors d’une réunion organisée par la Confédération des entreprises italiennes de la région Frioul-Vénétie Julienne ” Confindustria Alto Adriatico” à Pordenone, au nord-est de l’Italie.
Dans son intervention lors de cette rencontre organisée lundi soir sur le thème « Relance économique et transition écologique : le cas du Maroc », M. Balla a souligné les efforts déployés par le Royaume pour développer les énergies renouvelables, et les réalisations accomplies par le Maroc dans le domaine de l’efficacité énergétique, faisant remarquer que le Royaume a un objectif ambitieux, qui est de porter la part des énergies renouvelables à plus de 52% de son mixe énergétique à l’horizon 2030.
Il a indiqué qu’à la faveur de sa stratégie énergétique, le Maroc a lancé une dynamique de développement intégré pour de nombreux secteurs, rappelant que le nouveau plan électrique 2021-2030 repose entièrement sur les énergies propres et renouvelables.
Par ailleurs, l’ambassadeur a indiqué que le Royaume n’a pas été épargné par les répercussions de la crise sanitaire, notant en revanche que certains secteurs tels que l’agroalimentaire et l’automobile ont fait preuve de résilience et ont connu une croissance positive en 2020.
Il a ajouté que cette croissance positive est la preuve de la force économique du Maroc, grâce à l’adoption de nombreux plans et à la mise en œuvre de réformes profondes, en plus de la stabilité politique dont jouit le Royaume, ainsi que les grands chantiers de développement qui y ont été lancés.
M. Balla a rappelé, de même, que la nouvelle stratégie «Green Génération» pour la période 2020-2030, accorde une grande importance au développement de l’agriculture solidaire visant à consolider les acquis cumulés au cours des dix dernières années, en donnant la priorité à l’élément humain, afin de faire émerger une classe moyenne agricole.
D’autre part, M. Bella a souligné le rôle que joue le Maroc en tant que locomotive de développement économique sur le continent africain, mettant en avant les relations distinguées du Royaume avec ses partenaires africains.
Il a souligné, de même, que les relations entre le Maroc et l’Italie sont historiques, solides et multidimensionnelles, notant qu’elles sont renforcées au fil du temps et ont connu un nouvel élan après la signature du partenariat stratégique multidimensionnel en 2019 à Rabat.
L’ambassadeur a mis l’accent sur le rôle crucial qui incombe aux hommes d’affaires dans le renforcement des relations entre les deux pays et dans la réalisation d’un développement durable et global dans la région méditerranéenne, qui connaît actuellement des transformations majeures.
La rencontre, qui a connu la participation d’hommes d’affaires, d’opérateurs économiques et de responsables, a été l’occasion de discuter des défis, des modèles, des opportunités et des perspectives dans le domaine de la transition écologique aussi bien au Maroc qu’en Italie.
La startup “Light’in Maroc” pour l’éclairage intelligent et performant 100% marocain a vu le jour, a annoncé l’Institut de recherche en énergie solaire et énergies nouvelles (IRESEN).
Le projet, retenu dans le cadre de la première édition de l’appel à projets “Green Inno Boost” lancé par l’IRESEN, donnera lieu à la mise en place d’une unité de fabrication des luminaires LED intelligents, a indiqué l’institut dans un communiqué. “Projet innovant et fruit d’un partenariat public-privé inédit, ‘Light’in Maroc’ permettra d’optimiser la consommation énergétique liée à l’éclairage public grâce à une nouvelle solution technologique.
Dans le cadre de sa dynamique de soutien à la valorisation des projets de recherche et d’innovation dans le domaine des technologies vertes, IRESEN accompagne la création de la startup “Light’in Maroc”, portée par le consortium Université internationale de Rabat (UIR), Green energy park (GEP) et Lamalif, en accordant un financement et de l’appui technologique aux porteurs de projets.
C’est dans ce cadre que le directeur général de l’IRESEN, Badr Ikken, le directeur du GEP, Zakaria Naimi, le Président Directeur Général de Lamalif GROUP, Moulay Lakbir Ismaili Alaoui et le vice-président de l’UIR, Abdelaziz Benjouad, se sont réunis au siège de l’UIR pour formaliser l’intégration de la société Lamalif Group dans le consortium du projet “Light’in Maroc”, à travers la signature de la convention attributive de financement de l’IRESEN à la startup.
“Avec l’intégration de Lamalif Group au consortium, le projet renforce ses chances de succès industriel et s’inscrit pleinement dans la dynamique de rapprochement entre le monde industriel et le monde de la recherche scientifique appliquée”. L’IRESEN soutient le transfert des technologies vers l’industrie et l’émergence de startups industrielles dans le domaine des technologies vertes.
L’Université internationale de Rabat offre des formations d’excellence dans différents domaines, notamment l’architecture et les énergies renouvelables, et se veut une université citoyenne en s’intégrant dans la politique nationale menée dans le cadre du développement durable.
Green Energy Park est une plateforme de recherche et de formation en technologies solaires et leurs applications, située dans la ville verte de Benguerir.
Lamalif Group est un leader national dans l’aménagement urbain et l’éclairage public qui compte à son actif 50.000 points lumineux installés dans l’ensemble du Maroc et 90.000 points gérés en maintenance.
En marge de la tenue, le 24 juin 2021,  de la 3ème session du Conseil de l’Autorité Nationale de Régulation de l’Electricité, M. Abdellatif BARDACH, président de l’ANRE, s’est réjoui des recommandations de la Commission spéciale du Nouveau Modèle de Développement (NMD) et s’est félicité de l’importance accordée à l’ANRE dans le paysage énergétique national.
L’ANRE, à travers ses instances Président, Conseil, Comités et équipe opérationnelle a saisi cette occasion pour affirmer sa mobilisation totale en faveur de la réussite du Nouveau Modèle de Développement Sous la Haute Conduite de Sa Majesté le Roi et du déploiement de ses préconisations notamment sur le volet énergétique.
Le Conseil de l’ANRE s’est ensuite penché sur les implications du Nouveau Modèle de développement sur le Plan d’Action Stratégique de l’ANRE et surtout les modalités d’alignement de ce dernier avec les recommandations du Nouveau Modèle de Développement. A cet égard, il a été décidé de mettre en place un comité interne, présidé par le Président du Conseil, dédié spécialement au suivi de ce chantier national.
De même, le Conseil a fait le point sur l’état d’avancement des travaux des Comités de travail juridique, technique et financier actifs depuis novembre 2020, pour faire aboutir des chantiers importants à l’écosystème énergétique entre autres, la séparation comptable de l’activité de transport de l’ONEE par rapport à ses autres activités et l’élaboration des tarifs d’utilisation des réseaux électriques.
L’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE) effectue les derniers tests techniques et analytiques pour l’exploitation de la nouvelle station mobile dédiée à la déminéralisation de l’eau à M’hamid El Ghizlane dans la province de Zagora.
L’opération de déminéralisation se fera au niveau du trou d’eau “Boulahma” avec un débit de 15 litres par seconde, a annoncé le directeur régional de l’ONEE à Drâa-Tafilalet- branche Eau, notant que cette action s’inscrit dans le cadre des efforts déployés pour l’amélioration de la qualité de l’eau potable dans la région.
Compte tenu de la nature complexe de cette station et de la technologie de pointe utilisée, ces tests réalisés sous la supervision d’une commission technique ad hoc se poursuivront jusqu’à ce que la qualité des eaux produites par la station soit en conformité avec les normes de qualité en vigueur.
L’exploitation effective de cette station et son raccordement au réseau de distribution du centre sont prévus pour le 27 juin courant, permettant ainsi de répondre aux besoins de la population de M’hamid El Ghizlane en eau potable de qualité.
Un nouvel accord de financement de 37,5 millions d’euros a été signé, le 23 juin, entre l’Office National de l’Électricité et de l’Eau Potable (ONEE) et la Banque Européenne d’Investissement (BEI) .
L’accord, paraphé par le Directeur Général de l’ONEE, Abderrahim El Hafidi, et la Représentante Résidente de la BEI au Maroc, Anna Barone, porte sur le financement de projets d’alimentation en eau potable.
Ce concours financier contribuera à la mise à niveau, la réhabilitation et l’optimisation des infrastructures de production et de distribution d’eau potable de plusieurs localités à travers le Royaume.
Ce Projet accompagnera le renforcement de la résilience des petites et moyennes agglomérations marocaines dans un contexte marqué par le changement climatique et permettra d’améliorer la qualité des services d’approvisionnement en eau potable et l’optimisation de l’utilisation des ressources en eau dans les localités concernées.
Antoine Frérot, Président-Directeur général du Groupe Veolia, vient d’annoncer la nomination de Chouhaid Nasr au poste de Directeur Pays Maroc, à compter du 1er juillet 2021, en remplacement de François De Rochambeau qui demeure Président non exécutif.
Nommé Directeur Pays, Chouhaid Nasr intègre le Comité Exécutif de la zone Afrique et Moyen-Orient de Veolia. Il reste par ailleurs Directeur Général de REDAL et pourra s’appuyer dans cette fonction sur Othmane Hamouda, nommé Directeur Général Adjoint de REDAL en remplacement de Oussama Bennani qui part à la retraite en fin de mois.
Cette promotion interne de compétences marocaines démontre la volonté du Groupe Veolia de privilégier des talents nationaux capables de répondre aux exigences liées au Top management.
Avant de prendre la direction générale de REDAL, Chouhaid Nasr a notamment passé 8 années chez Amendis, dont 4 en tant que Directeur Général. A Tanger-Tétouan comme à Rabat-Salé, il a obtenu des résultats significatifs, démontrant que le modèle de gestion déléguée des services essentiels est plus que jamais facteur de progrès dans l’eau et l’électricité face à l’expansion des territoires urbains, la croissance démographique et le développement économique au Maroc.
Dans un pays qui est à la fois une référence et un vecteur de croissance durable pour le continent Africain, Chouhaid Nasr va porter haut et fort l’ambition du groupe Veolia d’être le champion mondial de la transformation écologique.
Le groupe Veolia a pour ambition de devenir l’entreprise de référence de la​ transformation écologique. Présent sur les cinq continents avec près de 179 000 salariés, le Groupe conçoit et déploie des solutions utiles et concrètes pour la gestion de l’eau, des déchets et de l’énergie qui participent à changer radicalement la donne. Au travers de ses trois activités complémentaires, Veolia contribue à développer l’accès aux ressources, à préserver les ressources disponibles et à les renouveler. En 2020, le groupe Veolia a servi 95 millions d’habitants en eau potable et 62 millions en assainissement, produit près de 43 millions de mégawattheures et valorisé 47 millions de tonnes de déchets. Veolia Environnement (Paris Euronext : VIE) a réalisé en 2020 un chiffre d’affaires consolidé de 26,010 milliards d’euros. www.veolia.com
La 3e réunion ministérielle sur l’Énergie de l’Union pour la Méditerranée (UpM) s’est tenue, le 14 juin par visioconférence, avec la participation du Maroc.
Cette rencontre de haut niveau, organisée sous la présidence du Portugal, a connu la participation des ministres des pays méditerranéens en charge de l’énergie ainsi que de la Commissaire européenne à l’énergie, Kadri Simpson. Elle a été l’occasion d’examiner les progrès accomplis dans la réalisation des objectifs de la déclaration ministérielle de 2016, en vue de l’adoption d’une nouvelle déclaration ministérielle de l’UpM sur l’énergie, indique le ministère de l’Energie, des Mines et de l’Environnement dans un communiqué.
A cet égard, le ministre de l’Energie, des Mines et de l’Environnement, Aziz Rabbah, qui a représenté le Royaume à cette réunion, a passé en revue les nouveautés du secteur de l’énergie au Maroc, et les perspectives de son développement dans le contexte la pandémie de la Covid-19, tout en mettant en exergue les chantiers et les programmes réalisés ou en cours, visant à accélérer la transition énergétique au Maroc, en particulier ceux concernant l’électricité, les énergies propres prometteuses, comme l’hydrogène vert, la généralisation des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique, et le soutien de la recherche scientifiques et de la formation.
Par ailleurs, le ministre a souligné que les pays de la région euro-méditerranéenne sont désormais obligés d’intensifier leur coopération dans le secteur de l’énergie, en instaurant un partenariat énergétique global et en renforçant la coopération Nord-Sud, en vue de développer l’industrie énergétique et réaliser l’intégration des marchés de l’électricité, des énergies renouvelables, de l’efficacité énergétique et du gaz naturel.
A ce sujet, il a fait part de l’entière disposition du Royaume à soutenir toute initiative contribuant au renforcement de la coopération dans le domaine de la transition énergétique vers les énergies propres et l’efficacité énergétique.
Au terme de cette réunion, il a été procédé à l’adoption de la nouvelle déclaration ministérielle de l’Union pour la Méditerranée sur l’énergie. Cette nouvelle déclaration ambitionne d’appuyer les initiatives actuelles et déterminer le cadre de coopération régionale pour la prochaine période, tout en plaidant en faveur de nouvelles mesures communes en vue de renforcer la sécurité énergétique et accélérer la transition énergétique.

Présentation vendredi (10/10/14), de la fiche technique des centres de tri et de recyclage des déchets ménagers dans toutes les préfectures du Grand Casablanca.

Le “Campus du Savoir” d’Oujda a accueilli, les 18 et 19 juin, la 3ème édition de l’Atelier national des déchets et de la biomasse, visant à promouvoir des solutions innovantes pour développer le secteur de valorisation des déchets au Maroc.
Cet évènement, organisé par l’association Cluster Valbiom Maroc, connaît la participation de nombreux chercheurs et experts du Maroc et de l’étranger, en présentiel et en distanciel, en vue d’échanger les expériences et les expertises et proposer aux décideurs et aux entreprises des solutions en matière de gestion, de traitement et de valorisation et de recyclage des déchets, à l’échelle nationale et dans la région de l’Oriental en particulier.
Zakaria Madani, directeur général du Cluster Valbiom Maroc, a indiqué que cette rencontre scientifique permettra à différents acteurs d’échanger les recherches et les expériences et concrétiser des projets collaboratifs innovants dans le domaine des déchets.
Cette initiative s’inscrit dans le cadre des axes stratégiques du Cluster Valbiom Maroc, qui compte pour membres des entreprises, des universités et instituts de recherche et des institutions, et sert aussi les objectifs stratégiques du Maroc en matière de promotion de l’économie verte et du développement durable, a-t-il relevé.
La deuxième journée de cet évènement sera marquée par l’organisation de la phase finale de la première édition du «Valbiom Innov’Days», un concours pour startups visant à soutenir les projets innovants à fort potentiel de développement et d’impact environnemental et socio-économique.
La compétition, lancée avec le soutien du ministère de l’Industrie, du commerce, de l’économie verte et numérique, s’inscrit dans le cadre du plan d’action 2020-2021 du cluster Valbiom pour l’accompagnement des acteurs industriels nationaux et le soutien à l’innovation.
Neuf finalistes, sur un total de 80 startups participantes, ont été sélectionnées et doivent être départagées par un grand jury pour choisir les meilleurs projets, qui auront notamment accès à la Plateforme d’innovation mutualisée du cluster et de ses partenaires.
Trois thématiques ont été ciblées par ce concours, à savoir «Énergie, déchets, biomasse, environnement», «Technologies, industrie, mécatronique» et «Ecoconstruction et bâtiment durable».
Le programme de cette rencontre prévoit des conférences plénières, notamment sur la Stratégie nationale de réduction et de valorisation des déchets et le projet régional de valorisation et de recyclage des déchets et des ateliers sur les thématiques «Déchets, énergie, environnement», «Technologies vertes» et «Ecoconstruction».
La production de l’énergie électrique a augmenté de 5,4% au terme des quatre premiers mois de 2021, après un retrait de 6,2% à fin avril 2020, indique la Direction des études et des prévisions financières (DEPF) relevant du ministère de l’Economie, des finances et de la réforme de l’administration.
Cette évolution a été tirée, particulièrement, par le raffermissement de la production privée de 5% et de celle de l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE) de 10,1%, explique la DEPF dans sa récente note de conjoncture, précisant que comparée à fin avril 2019, la production de l’énergie électrique a marqué un léger repli de 1,2%.
Parallèlement, le volume importé de l’énergie électrique a reculé de 33,4% à fin avril 2021, après une augmentation de 111,2% l’année précédente, alors que le volume exporté s’est renforcé de 30,3%, après -69,1%, dans un contexte d’augmentation de l’énergie nette appelée de 4,5%.
S’agissant de la consommation de l’énergie électrique, elle s’est accrue de 5,4% au titre des quatre premiers mois de cette année, après un retrait de 1% à fin mars 2021 et de 2,4% un an auparavant. Cette évolution a résulté de la hausse des ventes de l’énergie de “très haute, haute et moyenne tension” de 6,8% et de celles de basse tension de 1,6%.
Comparativement à fin avril 2019, les ventes de l’énergie électrique ont progressé de 1,7%, incorporant une augmentation des ventes de l’énergie de “très haute et haute tension”, utilisée principalement par le secteur manufacturier, de 9,4%, de celles de moyenne tension de 2,7% et de celles de basse tension de 6,8%.
Le Maroc figure parmi une trentaine de pays annoncés comme “champions mondiaux” du Dialogue de haut niveau des Nations-Unies sur l’énergie, une réunion au sommet convoquée en septembre prochain à l’initiative du Secrétaire général de l’ONU.
Selon les Nations-Unies, les champions mondiaux seront le fer de lance du plaidoyer, et sensibiliseront et inspireront des engagements et des actions sur les cinq thèmes choisis pour le Dialogue. Ils contribueront ainsi à éclairer un plan d’action mondial pour parvenir à une énergie propre pour tous à l’horizon 2030. Ceci permettra d’atteindre l’objectif de développement durable (ODD) n°7 dans les délais convenus et stimuler une action climatique décisive, accélérant les efforts pour atteindre la neutralité carbone d’ici 2050, un objectif prioritaire des Nations-Unies cette année, a indiqué le Département des Affaires économiques et sociale de l’ONU (UN-DESA).
Sur les cinq thèmes choisis, trois portent sur l’avancement de progrès substantiels sur l’accès à l’énergie ; la transition énergétique ; et la réalisation des ODD grâce à des transitions énergétiques justes et inclusives. Les deux derniers thèmes, qui sont transversaux, sont axés sur les moyens d’atteindre ces objectifs cruciaux à travers l’innovation, la technologie et les données, et le financement et l’investissement.
Les champions mondiaux joueront également, selon l’ONU, un rôle clé dans la mobilisation d’engagements volontaires sous la forme de pactes énergétiques que les États membres, les entreprises, les villes et d’autres parties prenantes présenteront pour le dialogue de haut niveau. Les pactes alimenteront également la Conférence sur le climat COP26 en novembre.
UN-Energy, le mécanisme interinstitutions des Nations-Unies pour la collaboration dans le domaine de l’énergie, soutiendra également la mobilisation des pactes énergétiques.
Dans le cadre du processus préparatoire du Dialogue de haut niveau, les Champions mondiaux co-organiseront également une série de forums thématiques au niveau ministériel, pour stimuler l’engagement et l’action. Les forums fonderont leurs travaux sur les rapports des groupes de travail techniques, chacun suggérant les actions clés nécessaires pour parvenir à une énergie propre pour tous dans leur domaine thématique pertinent, selon la même source.
Outre le Maroc, les autres pays qui joueront un rôle important dans cet effort sont le Brésil, Chili, Chine, Colombie, Danemark, République dominicaine, Finlande, Allemagne, Honduras, Islande, Inde, Italie, Japon, Kenya, Malawi, Maurice, Nauru, Pays-Bas , Nigeria, Pakistan, Panama, Pologne, Portugal, Russie, Arabie Saoudite, Espagne, Émirats Arabes Unis, Royaume-Uni et l’Union européenne.