World Future Energy Summit est la plus grande conférence et exposition sur les énergies renouvelables et l’avenir des solutions, des innovations, la politique et la vision.

Elle sera la plus grande réunion de personnalités influentes au sein de l’industrie de l’énergie renouvelable et présente des solutions énergétiques de demain et les possibilités d’investissement. C’est l’occasion de faire du réseautage avec des entreprises et des professionnels pour élaborer des solutions, des idées et des occasions d’affaires.

La World Future Energy Summit aura lieu en 4 jours de lundi 16 janvier à jeudi 19 janvier 2017 à Abou Dabi.

Web : www.worldfutureenergysummit.com

 

Organisateur
Reed Exhibitions Middle East
Office No. 1001, 10th Floor, Al Rotana Complex Bldg
Abou Dabi, EAU
Tel: +971 (0)2 4917615
Fax: +971 (0)2 4917612
www.reedexpo.com

Le gouvernement marocain a procédé à la révision de la Loi relative aux énergies renouvelables afin d’attirer les investissements dans le secteur de l’énergie solaire et éolienne, écrit l’Oxford Business Group (OBG).
Les objectifs d’efficacité énergétique établis par la stratégie énergétique nationale de 2008 visent à porter la part de l’électricité renouvelable à 42 % d’ici l’horizon 2020 et à 52 % d’ici à 2030, précise l’OBG dans sa dernière analyse sur le Maroc.
Pour y parvenir, le gouvernement a apporté un amendement à la fin de l’année dernière à la Loi relative aux énergies renouvelables initialement promulguée en 2010.
Selon les experts de l’OBG, ces réformes devraient renforcer la participation des investisseurs privés à la filière grâce à un système de facturation nette de l’énergie des centrales solaires et éoliennes raccordées au réseau à haute tension.
Si les modalités exactes de ce système restent à fixer, les investisseurs ayant misé sur l’électricité verte pourront revendre leur production excédentaire, à condition de ne pas dépasser le seuil de 20 % de leur production annuelle.
Ces évolutions législatives ont également ouvert l’accès au réseau basse tension du pays, ce qui devrait encourager le développement des petites et moyennes installations d’énergie renouvelable, soulignent les analystes du cabinet d’études britannique.
Bien que les cours bas du pétrole aient permis de réduire la facture énergétique nationale de 28 % en 2015 (soit 6,6 milliards de dollars), et d’abaisser le déficit extérieur courant de près de deux points de pourcentage (soit 2,1 % du PIB), la dépendance du pays aux marchés mondiaux de l’énergie est globalement considérée comme une faiblesse, précise l’OBG.
Et d’ajouter que la consommation électrique augmente de 5 à 6 % par an depuis 1991, et alors que l’activité industrielle et la population continuent de croître, le Maroc devrait voir sa demande énergétique multipliée par cinq d’ici à 2050.
Le Maroc répond déjà à 97 % de ses besoins énergétiques par le biais d’importations. La production nationale ne pourra donc que bénéficier du développement des énergies renouvelables du pays.
Pour se donner les moyens d’atteindre ses objectifs, le Royaume s’est doté en 2009 d’un Plan solaire pour tirer parti de l’important potentiel solaire du pays, dont le rayonnement se chiffre à environ 2,6 MWh par mètre carré, précisent les auteurs de l’analyse.
Le gouvernement marocain a ainsi alloué 9 milliards de dollars au développement de projets photovoltaïques et de centrales solaires thermodynamiques à concentration. Au fil de leur déploiement, le solaire devrait représenter 14 % du mix énergétique d’ici à 2020, soit 2 GW, estime l’OBG.
Le plus important et le plus avancé de ces projets est celui de Noor, situé à Ouarzazate, dans le Sud du Maroc. Ce site de 2.000 hectares sera doté d’une capacité de 580 MW d’ici à son achèvement en 2018.

La première phase du projet, baptisée Noor I, a été lancée en février. D’une capacité de 160 MW, cette centrale peut stocker jusqu’à trois heures de production et alimenter en électricité 650.000 habitants depuis l’aube jusqu’à trois heures après le coucher du soleil.
D’après l’OBG, seules quelques centrales de ce type existent dans le monde. Mais cette technologie intéresse de plus en plus, car elle permet de produire de l’énergie même en l’absence d’ensoleillement, d’où des mécanismes tarifaires plus compétitifs que ceux des panneaux solaires.
La seule autre centrale thermo-solaire en service au Maroc est celle d’Ain Beni Mathar (470 MW). Achevée en 2010, elle combine énergie solaire et thermique. Son développement a été financé à hauteur d’environ 75 % (381 millions de dollars) par des prêts de la Banque africaine de développement.
Selon l’OBG, le Maroc ne compte pas s’arrêter au solaire pour compléter son mix énergétique. La capacité éolienne du pays devrait passer de 800 MW en 2015 à 2 GW en 2020.
Avec ses 3.500 kilomètres de côtes le long de l’Océan atlantique et de la Méditerranée, ses montagnes de l’Atlas et du Rif, le Maroc enregistre des moyennes annuelles de vitesse de vent élevées en différents points de son territoire.
Les zones aux alentours de Tanger et de Tétouan se prêtent particulièrement bien au développement de parcs éoliens, vu leur proximité du réseau électrique national et la vitesse du vent de 8,11 mètres par seconde à 10 mètres au dessus du niveau du sol.
Les capacités marocaines seront également renforcées grâce à une filiale de l’entreprise énergétique nationale d’Abu Dhabi (TAQA), appelée TAQA Morocco. Elle devrait prochainement entamer la construction d’un parc éolien de 140 MW près de Tanger. Une première phase de 60 MW devrait voir le jour en 2017.

Nareva est à la tête de la plus grande réalisation éolienne du Maroc, appelée Tarfaya, situé près de la ville éponyme dans le sud du pays. A son achèvement en 2014, ce parc fournissait une capacité supplémentaire de 300 MW, en sus des 200 MW générés par les trois autres parcs éoliens déjà exploités par cette entreprise dans le royaume.
Le site de Tarfaya permet d’économiser 900.000 tonnes en émissions de dioxyde de carbone, et environ 200 millions de dollars en importations d’hydrocarbures chaque année.
Grâce à ces projets énergétiques de grande envergure, ainsi qu’à l’organisation de la 22e édition de la Conférence des parties à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques, le Maroc a pu gagner en visibilité en tant que producteur d’énergie renouvelable, souligne l’étude de l’OBG.
Alors que l’UE envisage sérieusement de signer avec le Maroc un accord d’importation d’électricité renouvelable en vue d’intégrer les deux marchés énergétiques, le Royaume a toute latitude pour asseoir sa bonne réputation en la matière, affirme le cabinet britannique.

La réalisation du premier « Triporteur Frigorifique Solaire Marocain », s’est concrétisé suite un projet de recherche financé par l’Institut de recherche en énergie solaire et énergies nouvelles (IRESEN).
La réalisation de cette solution de réfrigération, de conservation et de transport à zéro-émission de CO2, est le résultat d’un consortium entre la Faculté des Sciences Ben Msik de l’Université Hassan II de Casablanca et l’Université Moulay Ismail de Meknès, en partenariat avec InterAfrique, en réponse à un appel à projet R&D InnovPV 2013, a indiqué l’IRESEN dans un communiqué.
Le projet financé par IRESEN à hauteur de 2,8 millions DH, s’est concrétisé en cette fin d’année 2016 par la réalisation du premier triporteur frigorifique solaire marocain, dont la réfrigération et la mobilité sont alimentées à 100% par le soleil grâce à des modules photovoltaïques flexibles intégrés.
« L’autre innovation de ce projet réside dans l’utilisation du bois de palmiers dattiers pour la réalisation de l’isolation du réfrigérateur solaire », fait savoir l’IRESEN, notant que ce matériau local est abondant sous forme de déchets dans les oasis.
Ainsi les parties renouvelables des palmiers dattiers marocains ont présentées des propriétés thermo-physiques d’isolation à fort potentiel et ont pu servir à la fabrication des séparations isolantes du réfrigérateur.
Cette solution est à la fois « vectrice de développement économique et social », offrant une alternative aux systèmes existants et une importance en terme d’acquisition et d’exploitation tout en respectant pleinement l’environnement.
Le prototype du « Frigo roulant Solaire » alimenté à l’énergie solaire, a été présenté en marge de la COP22 en novembre dernier à Marrakech et a suscité l’intérêt des chercheurs, des industriels mais aussi du grand public. La prochaine étape sera de préparer les modèles de valorisation et d’industrialisation du triporteur.

 

L’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE) vient de réaliser des projets de télégestion au niveau de sept adductions régionales (Al Hoceima, Taza, Oujda, Sidi Kacem, Ouezzane, Berkane et Tétouan) et de télégestion pilote de distribution d’eau au niveau de la ville de Khémisset pour un coût global de 100 millions DH. Ces projets s’inscrivent dans le cadre de la stratégie de l’ONEE pour l’amélioration des performances des ouvrages de production et de distribution en matière d’économie d’eau et d’énergie moyennant la modernisation de ses installations par des outils numériques de dernière génération, indique l’Office dans un communiqué.
A travers ces projets, l’ONEE permet de contrôler la qualité de l’eau et améliorer le service client en temps réel, d’optimiser les coûts de la production par la réduction des charges d’exploitation (personnel, énergie, réactifs), d’améliorer le rendement des adductions par la maîtrise des débordements et des fuites d’eau et de disposer d’un outil de mesure et de pilotage à distance des installations de production de l’eau, ainsi que d’introduire la télé-relève au niveau d’un réseau de distribution de grande taille pour suivre les performances du réseau (débit de nuit, pressions, niveaux des réservoirs), précise le communiqué.
L’Office poursuit ainsi la modernisation de ses installations par la réalisation de la télégestion dans huit autres adductions dans le cadre d’un programme d’amélioration des performances, d’envergure, d’un coût global de 1,11 milliard DH.
En plus de la télégestion des adductions, ce programme concerne aussi la réhabilitation des ouvrages de production et de réseaux de distribution, et l’acquisition de groupes de pompages, des débitmètres et des unités mobiles de recherche des fuites d’eau, conclut le communiqué.

ENGIE, à travers ses filiales ENGIE Ineo et ENGIE Cofely Maroc, a été retenu par la société de développement local CASA TRANSPORT pour une partie de l’aménagement de la nouvelleligne de tramway T2 et du prolongement de la ligne T1 à Casablanca, au Maroc. L’ensembledes contrats signés par le Groupe porte sur un total de 192 millions DH, soit environ 18millions d’euros.

Dans ce cadre, le dispositif « Navineo » sera mis en place par ENGIE sur la nouvelle ligne T2 et le prolongement de la ligne T1. Ce système permettra de réguler l’exploitation en tempsréel depuis le poste de contrôle, de fournir des informations sur les temps d’attente et deproposer un affichage aux stations et à bord des rames pour informer les voyageurs.

ENGIE réalisera également, sur les deux lignes, les systèmes de signalisation ferroviaire (gestion sécuritaire des circulations et des aiguillages…) et l’installation de lavidéosurveillance, l’interphonie, la sonorisation, le contrôle d’accès, la détection incendie…

La première ligne de tramway casablancais T1 sera prolongée d’1,8 km (pour atteindre au total 23,5 km et 37 stations), et offrira des temps de parcours plus courts. La ligne T2 seramise en service fin 2018. Longue de 22,5 km, elle comportera 33 stations, sera dotée de deuxpoints de correspondance avec la ligne T1 et desservira 9 arrondissements (soit un total d’1 million d’habitants).

Les contrats remportés par ENGIE illustrent l’expertise du Groupe et sa capacité à créer et développer des solutions efficaces et innovantes au service des villes et territoires connectés,à travers le monde.

En tant que pionnier de la révolution énergétique, ENGIE considère le transport comme un axe majeur du développement des territoires. La transformation vers une mobilité moinsémettrice de CO2, moins polluante et plus fluide, est aujourd’hui essentielle, notamment dansles villes, où vivront 3 habitants sur 4 en 2050. Pour cela, ENGIE développe notamment desactivités de conseil en planification urbaine et des solutions pour les transports collectifs(électrification, signalisation, aide à l’exploitation, information voyageurs).

La stratégie mise en place par le Maroc en matière des énergies renouvelables est « la plus ambitieuse » dans la région du Moyen-Orient et d’Afrique du nord (MENA), a souligné le Middle-East Institute (MEI), basé à Washington. Conscient de l’importance des énergies renouvelables pour le développement durable, le Royaume a élaboré un plan national novateur et distingué dans la région, a fait observer le MEI dans une analyse signée Michael Hochberg, estimant que les pays du Moyen-Orient doivent s’inspirer du modèle marocain pour relever les défis en matière d’infrastructures et de développement, notamment. L’analyse, intitulée « L’essor de l’énergie renouvelable au Maroc, un exemple pour la région », a relevé que des projets d’envergure ont été lancés dans le Royaume pour notamment répondre à la demande croissante sur l’électricité à travers la mise en service de la première centrale « Noor I » du projet solaire « Noor-Ouarzazate », le plus grand complexe du monde, en rappelant que le Maroc sera, dès 2018, en mesure de produire 580 mégawatts, ce qui reviendra à alimenter 1,1 million de foyers Marocains en électricité, et de réduire les émissions carbones de 760 000 tonnes par an.

La Fondation Mosquée Hassan II s’est vu bénéficier d’une « labélisation COP22 » pour l’ensemble de ses nouvelles initiatives. En effet, la Fondation veut, avec le support de la Société d’Investissements Énergétiques (SIE), réhabiliter tous ses édifices à savoir la Mosquée Hassan II, la médiathèque, le hammam, le musée, les bâtiments administratifs et le parking.

Ce projet d’optimisation énergétique consiste donc à introduire des mesures à la fois d’énergies renouvelables et d’efficacité énergétique, l’objectif majeur étant de baisser considérablement les dépenses liées à la consommation d’énergie et d’eau de la Fondation. Et pour mener à bien ce projet, la Fondation Mosquée Hassan II a lancé un appel à manifestation d’intérêt (AMI), en partenariat avec la SIE, pour identifier des soumissionnaires désirant offrir leur service selon une approche de garantie de résultat.

La réalisation du premier « Triporteur Frigorifique Solaire Marocain », s’est concrétisé suite un projet de recherche financé par l’Institut de recherche en énergie solaire et énergies nouvelles (IRESEN).

La réalisation de cette solution de réfrigération, de conservation et de transport à zéro-émission de CO2, est le résultat d’un consortium entre la Faculté des Sciences Ben Msik de l’Université Hassan II de Casablanca et l’Université Moulay Ismail de Meknès, en partenariat avec InterAfrique, en réponse à un appel à projet R&D InnovPV 2013, a indiqué l’IRESEN dans un communiqué.

Le projet financé par IRESEN à hauteur de 2,8 millions DH, s’est concrétisé en cette fin d’année 2016 par la réalisation du premier triporteur frigorifique solaire marocain, dont la réfrigération et la mobilité sont alimentées à 100% par le soleil grâce à des modules photovoltaïques flexibles intégrés.

« L’autre innovation de ce projet réside dans l’utilisation du bois de palmiers dattiers pour la réalisation de l’isolation du réfrigérateur solaire », fait savoir l’IRESEN, notant que ce matériau local est abondant sous forme de déchets dans les oasis.
Ainsi les parties renouvelables des palmiers dattiers marocains ont présentées des propriétés thermo-physiques d’isolation à fort potentiel et ont pu servir à la fabrication des séparations isolantes du réfrigérateur.

Cette solution est à la fois « vectrice de développement économique et social », offrant une alternative aux systèmes existants et une importance en terme d’acquisition et d’exploitation tout en respectant pleinement l’environnement.

Le prototype du « Frigo roulant Solaire » alimenté à l’énergie solaire, a été présenté en marge de la COP22 en novembre dernier à Marrakech et a suscité l’intérêt des chercheurs, des industriels mais aussi du grand public. La prochaine étape sera de préparer les modèles de valorisation et d’industrialisation du triporteur.

Le Président directeur général de Nareva, M. Ahmed Nakkouch, a été nommé nouveau président du Conseil d’administration (CA) de LafargeHolcim Maroc, lors de sa réunion tenue le 16 décembre.
M. Nakkouch, qui a été également coopté en tant qu’administrateur, a occupé plusieurs postes de hautes responsabilités, notamment en tant que directeur général de l’Office national de l’électricité (ONE) de 2001 à 2006.
Lors de la réunion du CA, M. Mohammed Kabbaj a annoncé sa démission de ses fonctions de président dudit Conseil d’administration.
Le CA a témoigné à M. Kabbaj toute sa reconnaissance pour son immense engagement à la présidence du groupe LafargeHolcim Maroc pendant 21 ans et lui a rendu un vibrant hommage. Il a aussi demandé à M. Kabbaj de le faire bénéficier de son expertise et de sa vision en tant que membre du Conseil d’administration de LafargeHolcim Maroc.

SM le Roi Mohammed VI a présidé, mardi 13 décembre au Palais Royal de Casablanca, une séance de travail consacrée au projet de gazoduc, reliant le Nigéria au Maroc à travers plusieurs pays d’Afrique de l’ouest, indique un communiqué du Cabinet royal dont voici le texte intégral :

« Sa Majesté Le Roi Mohammed VI a présidé ce jour, au Palais Royal de Casablanca, une séance de travail consacrée au projet de gazoduc, reliant le Nigéria au Maroc à travers plusieurs pays d’Afrique de l’ouest, qui a été initié à Marrakech lors de la rencontre tenue entre les deux chefs d’état en marge de la Cop 22 et finalisé à Abuja.
Cette séance de travail qui intervient après la cérémonie officielle présidée par Sa Majesté le Roi et le président du Nigéria, a connu la participation de hauts responsables nigérians désignés par le président de la république fédérale de Nigeria, son Excellence M. Muhammadu Buhari.
Elle s’inscrit dans le cadre des mesures concrètes visant à promouvoir ce projet régional structurant pour l’ensemble des pays de la région.
Ce gazoduc de portée stratégique, susceptible d’être relié au marché européen, favorisera l’émergence d’une zone nord-ouest africaine intégrée et permettra à la région d’atteindre l’indépendance énergétique, d’accélérer les projets d’électrification au bénéfice des populations et de développer des activités économiques et industrielles importantes.
Les discussions ont porté sur la faisabilité technique et le financement du projet.
Cette séance de travail a réuni, du côté marocain, le Chef du gouvernement, M. Abdelilah Benkirane, les Conseillers de Sa Majesté le Roi , MM. Fouad Ali El Himma et Yassir Zenagui, le ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération, M. Salaheddine Mezouar, le ministre de l’Economie et des Finances, M. Mohamed Boussaid, le ministre de l’Energie, des Mines, de l’Eau et de l’Environnement par Intérim, Moulay Hafid Elalamy, le Président-Directeur Général du Groupe OCP, M. Mostafa Terrab, la directrice générale de l’Office national des Hydrocarbures et des Mines, Mme Amina Benkhadra, le Président du Directoire de l’Agence Marocaine des Energies Renouvelables (MASEN), M. Mustapha Bakkoury et le directeur de l’Office National de l’Electricité et de l’Eau Potable, M. Ali Fassi Fihri ; et du côté nigérian, M. Ahmed Abubakar Rufai, Conseiller du Président nigérian, M. Said Farouk Garba, directeur général chargé de l’ingénierie et des services techniques à la Nigerian National Petroleum Corporation (NNPC), M. Ahmed Ali Adamu, directeur général chargé du droit commercial à la à la Nigerian National Petroleum Corporation (NNPC), M. Ibrahim Audu, Ingénieur de projet à la Nigeria Gas Processing and Transportation Company (NGPTC), M. Usman Yusuf, directeur général des Ressources, du Gaz et de l’Energie, et M. Ibraheem Folorunsho Ajadi, chargé d’affaires à l’ambassade de la République Fédérale du Nigeria à Rabat ».