Nador : Ouverture de la 3ème «Semaine Verte»

La 3e édition de la «Semaine Verte», une initiative de l’association «Smile» de la culture, s’est ouverte le 26 juillet à Nador avec un programme riche en activités visant la promotion de la culture environnementale et la sensibilisation à l’importance de l’efficacité énergétique et des énergies renouvelables.

 Cet évènement, qui prend fin le 1er août sous le thème «l’efficacité énergétique : l’exemple du Maroc», a été inauguré par la secrétaire d’État chargée du Développement durable, Nezha El Ouafi, en présence du gouverneur de la province de Nador, Ali Khalil, d’élus, de représentants des autorités locales et d’acteurs de la société civile.

Le lancement de cette manifestation a été marquée par l’inauguration d’un salon régional de l’efficacité énergétique et de l’environnement, organisé sur la corniche de Nador et auquel participent plusieurs coopératives et entreprises de la région, qui exposent des équipements et des solutions innovantes en matière d’énergies renouvelables, d’efficacité énergétique et d’économie circulaire. 

La Semaine Verte, organisée à l’occasion de la célébration du 20e anniversaire de la Fête du Trône, a pour objectif de sensibiliser aux enjeux environnementaux, au droit à un environnement sain et à l’importance du développement durable.  Dans une allocution à l’ouverture de cette édition, Mme El Ouafi a mis exergue les progrès réalisés par le Maroc dans le domaine des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique, notant que 35 % de l’énergie produite au Maroc proviennent de sources renouvelables, ajoutant que le Maroc figure parmi les pays pionnier en matière de transition énergétique, grâce aux Hautes orientations de SM le Roi Mohammed VI. 

Elle a aussi mis l’accent sur l’importance de la Stratégie nationale de développement durable en tant que vision intégrée pour la transition énergétique et levier du développement durable au niveau local et national, avec un intérêt particulier porté à l’efficacité énergétique. 
Mme El Ouafi a, en outre, appelé à la conjugaison des efforts de l’ensemble des intervenants institutionnels, du secteur privé et de la société civile ainsi que des citoyens pour réaliser les objectifs du développement durable, notant que la réussite de ce grand chantier nécessite la contribution de tous.

L’Office national de l’Électricité et de l’Eau potable (ONEE) et l’Agence française de Développement (AFD) ont signé, le 17 juillet, deux Conventions de financement d’un montant total de 51 millions d’Euros, dans le cadre du programme d’extension et d’amélioration des performances et de la résilience du service d’eau potable dans les provinces du Nord du Maroc.
Paraphées par le Directeur Général de l’ONEE et le Directeur de l’AFD au Maroc, les deux conventions concernent un crédit d’un montant de 50 millions d’Euros portant sur la 2ème tranche dudit Programme, dont la convention afférente à la 1ère tranche a été signée le 21 décembre 2018 entre l’AFD et l’ONEE, et une convention de subvention d’un montant d’1 million d’Euros portant sur le financement de certaines activités en accompagnement du Programme (renforcement de capacités, études spécifiques, prise en charge de contrats de sous-traitance avec des entreprises privées etc.). Ce concours financier contribue, d’une part, à généraliser l’accès à l’eau potable dans les zones rurales des provinces d’Al Hoceima, Driouch, Nador et Taounate, et, d’autre part, à renforcer la production dans les zones urbaines, augmenter l’autonomie de stockage dans les quatre provinces et aussi à améliorer les performances des installations d’alimentation en eau potable. Ce programme qui bénéficiera, au titre de ses deux tranches, à une population d’environ 300.000 habitants, dont près de la moitié en milieu rural et l’autre en milieu urbain, favorisera la résilience au changement climatique des quatre provinces concernées et permettra de mobiliser des ressources superficielles. 

Par ce concours financier, dont l’enveloppe globale mobilisée auprès de l’AFD pour le secteur de l’accès à l’eau potable et de l’assainissement a déjà atteint environ 3 milliards de Dirhams, l’ONEE et l’AFD ont confirmé leur volonté commune de renforcer les liens de coopération qui les lient. 

Le Directeur général de l’Office National de l’Électricité et de l’Eau Potable (ONEE), Abderrahim El Hafidi, a été élu président de l’Association Marocaine de l’Eau Potable et de l’Assainissement (AMEPA) pour un mandat de quatre ans, lors d’une Assemblée Générale Mixte (Extraordinaire et Élective), de l’AMEPA tenue le 23 juillet à Rabat.

Cette AGM a été également marquée par l’élection du nouveau bureau et par la validation du programme d’action qui concrétise la nouvelle vision stratégique de l’Association à moyen et long terme.
L’Assemblée Générale Extraordinaire a porté sur la présentation et l’adoption de la feuille de route relative au rétablissement de la situation juridique de l’AMEPA, ainsi que la déclaration de cessation d’activités des anciens membres du bureau. 

Quant à l’Assemblée Générale Ordinaire Élective, elle a été axée sur la présentation et délibérations du rapport moral et du rapport financier ainsi que la présentation et délibérations de la note de cadrage relative au programme d’actions futur de l’AMEPA.

Créée en 1997, l’AMEPA regroupe plus de 130 membres représentant des opérateurs des secteurs publics et privés (ONEE, Régies, concessionnaires) et des entreprises d’ingénierie et de travaux du secteur de l’eau potable et de l’assainissement, notamment des producteurs, des distributeurs, des industriels et des bureaux d’études.
Plateforme de réflexion, d’échange et de capitalisation d’expériences, l’AMEPA propose un centre d’information ainsi que des mesures d’accompagnement et d’appui à ses membres. 

En outre, l’AMEPA participe aux principaux événements et congrès internationaux liés au secteur de l’eau et de l’assainissement, organise des missions de prospection à l’étranger et développe des partenariats avec plusieurs organismes internationaux. 

L’Office National de l’Électricité et de l’Eau Potable (ONEE) a annoncé, le 24 juillet à Casablanca, avoir lancé la 20e saison consécutive de sa campagne « Plages Propres » sous la thématique « Lutte contre la pollution plastique dans les mers et océans ».

Cette campagne ayant pour objectifs l’amélioration de la qualité des installations, l’hygiène et la propreté des plages en passant par la sensibilisation des estivants, notamment sur la problématique des déchets plastiques dans la mer, s’inscrit dans le cadre de l’opération « Littoral Durable » de la Fondation Mohammed VI pour la Protection de l’Environnement qui vise la mise à niveau environnementale continue du littoral national.
Partenaire de la première heure des opérations « Plages Propres », l’Office axe ses actions autour de la sensibilisation des différents acteurs, la mise en place d’infrastructures de base, la sécurité et la couverture sanitaire, l’hygiène et la propreté ainsi que l’animation.

Quatre plages parrainées sont labélisées « Pavillon Bleu » confortant les efforts consentis , annuellement par l’ONEE, les Communes et le tissu associatif, en matière de gestion environnementale durable.
Pour cette année, le hissage du Pavillon Bleu a eu lieu le 9 juillet à la plage de Sidi Moussa à Aglou dans la région de Tiznit, une station balnéaire qui présente la particularité d’avoir obtenu le fanion écologique dès la première année de sa candidature, précieux étendard qui continue de flotter depuis 8 ans. 
Pour cette 20e saison de l’opération « Littoral Durable », l’Office a mis en place quatre grandes actions à savoir « collecte des déchets plastiques du littoral », « Concept « HandiBoundif » », « Concept « Zooms transparences bleues » » et « Plages sans mégots ».

L’AMSSNuR organise un atelier national pour la promotion de la convention sur la sûreté nucléaire

L’Agence marocaine de sûreté et de sécurité nucléaires et radiologiques (AMSSNuR) a organisé, le 17 juillet à Rabat, un atelier national pour la promotion de la convention sur la sûreté nucléaire (CSN) auprès de l’ensemble des acteurs nationaux concernés.

A cette occasion, le directeur général de l’AMSSNuR, Khammar Mrabit a affirmé que le but de la convention sur la sûreté nucléaire, ratifiée par le Maroc en mai 2019, est d’atteindre un niveau élevé de sûreté dans les installations nucléaires, soulignant que cet atelier, organisé en coopération avec l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), « représente une plateforme de partage d’expériences en faveur de l’amélioration du niveau de sûreté et de sécurité nucléaires et de la protection de l’Homme, de l’environnement et de la société ».

Dans son intervention lors de cette rencontre, M. Mrabit a rappelé que l’AMSSnUR a mis en œuvre en 2017, une stratégie claire et concertée pour mettre à niveau le cadre réglementaire national, qui a abouti à l’élaboration et l’implantation de toute la réglementation et la documentation nécessaires en matière de sécurité nucléaire.

A cet égard, le directeur général de l’AMSSNuR a affirmé que la ratification de cette convention, qui est en adéquation avec la loi n°142-12 relative à la sûreté et à la sécurité nucléaires et radiologiques et portant création de l’agence, permettra au Maroc de bénéficier de l’expérience de plus de 88 parties contractantes, réparties en sept groupes, dont la moitié ne dispose pas de centrale électronucléaire. M. Mrabit a en outre mis en avant le rôle de l’AMSSNuR pour garantir le respect de la conformité de la sûreté et de la sécurité nucléaires et radiologiques, des activités et des installations mettant en jeu des sources de rayonnements ionisants.

Pour sa part, le responsable de la sûreté nucléaire à l’AIEA, Miroslav Svab, a estimé que « la ratification de la convention sur la sûreté nucléaire constitue une grande réussite pour le Maroc dans la promotion de la sûreté nucléaire dans le monde entier ».
Tout en saluant l’organisation de cette rencontre, M. Svab a mis en exergue l’importance de cette convention, qui incite les États contractants à fixer un niveau élevé de sûreté, ajoutant que ce genre d’ateliers sont de nature à mettre en évidence l’importance de la convention sur la sûreté nucléaire et à initier l’élaboration de rapports d’information sur les mesures prises pour réaliser les obligations de la convention.

Cet atelier a connu la participation des représentants des départements des affaires étrangères, de l’environnement, de l’intérieur, de la santé, du centre national de l’énergie, des sciences et des techniques (CNESTEN), de l’office national de l’électricité, de l’eau potable (ONEE), du centre national de radioprotection (CNRP) ainsi que des experts internationaux de l’AIEA .

La production nationale de l’énergie électrique continue sur son élan à fin mai 2019, affichant une hausse de 27,4%, après avoir progressé de 5,8% il y a une année, selon la Direction des études et des prévisions financières (DEPF), relevant du ministère de l’Économie et des finances.

Citant des données de l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE), la DEPF explique, dans sa note de conjoncture de juillet 2019, que cette dynamique s’est nourrie, essentiellement de la bonne tenue de la production privée (+52,5%). L’énergie produite par l’ONEE a reculé de 23,2% à fin mai 2019, après une hausse de 11,2% l’année précédente. 

Compte tenu de ces évolutions et d’une augmentation du volume de l’énergie nette appelée de 5,2%, le volume des importations de l’énergie électrique a reculé de 93% au terme des cinq premiers mois de 2019, après un repli de 20,7%, il y a une année.

La consommation de l’énergie électrique a affiché une légère reprise de 0,2% à fin mai 2019, après une baisse de 0,2% un an plus tôt, recouvrant une hausse des ventes de l’énergie de basse tension de 5,9% (après +3% à fin mai 2018), atténuée par le recul des ventes de l’énergie de très haute, haute et moyenne tension de 1,5%. 

Une délégation africaine de haut niveau a visité les « impressionnantes » installations du complexe Noor Ouarzazate, qui est totalement opérationnel, a-t-on appris auprès de l’Agence marocaine pour l’énergie durable (MASEN).

Les hommes d’affaires et officiels de la délégation, qui ont été aussi reçus par le président directeur général de MASEN à Ouarzazate, se sont particulièrement penchés sur l’impact du projet solaire de Ouarzazate, tant sur le plan social qu’économique. Cette visite, organisée à l’initiative du ministère des Affaires étrangères et de la coopération internationale, doit « insuffler une nouvelle dynamique aux relations maroco-africaines ». 

Conduite par le ministre délégué chargé de la Coopération africaine, Mohcine Jazouli, cette délégation regroupe de nombreuses personnalités africaines influentes, telles que l’ancien président nigérian et ancien président de l’Union africaine, le ministre des Finances du Lesotho, l’Envoyé spécial pour l’investissement du président de la République d’Afrique du Sud et d’autres personnalités africaines influentes. 

Le PDG de l’Agence marocaine pour l’énergie durable (MASEN), Mustapha Bakkoury, a pris part, le 17 juillet au siège de l’ONU à New York, à une réunion sur l’accélération des investissements dans les énergies propres en Afrique pour soutenir l’action pour le climat, à l’occasion du Forum politique de haut niveau des Nations-Unies pour le développement durable (FPHN).

Cette rencontre, organisée par la Commission économique des Nations-Unies pour l’Afrique (CEA), a réuni des ministres et responsables africains du secteur de l’énergie et des finances ainsi que des parties prenantes clés, avec comme objectif d’explorer des solutions innovantes pour accélérer les investissements à long terme dans les énergies propres en Afrique et identifier des projets spécifiques d’investissement d’impact dans le continent. 

La réunion a ainsi permis d’engager une discussion pour identifier un ensemble de projets d’énergies renouvelables en Afrique qui pourraient être soutenus par l’initiative “Obligation ODD7” de la CEA, ce qui contribuera à l’action climatique du Sommet sur l’action pour le climat convoqué par le Secrétaire général de l’ONU en septembre prochain, et du Forum sur le financement du développement qui se tiendra durant la même période.

L’initiative « Obligation ODD7 » envisage la collaboration entre les institutions financières panafricaines et les institutions financières mondiales pour l’émission des obligations sur les marchés internationaux financiers et l’utilisation des revenus de ces obligations pour octroyer des prêts aux sociétés investissant dans le secteur de l’électricité en Afrique, en particulier celles engagées dans les projets de partenariats public-privé pour la production d’électricité à partir des ressources renouvelables.
Intervenant à cette occasion, M. Bakkoury a souligné le besoin d’une transition énergétique au niveau du continent africain, transition qui résulterait d’une nouvelle stratégie énergétique compétitive. 

Pour le PDG de MASEN, la compétitivité énergétique devrait être basée sur un nouveau mix durable, dans le sens où il n’existe pas de contradiction entre développement et préservation de l’environnement. Au niveau financier, a noté M. Bakkoury, il est important de chercher les montages les plus adaptés pour fournir les capitaux nécessaires, mais aussi de tenir compte de la particularité et de la durée des projets d’énergie renouvelable qui nécessitent des capitaux conséquents et qui s’inscrivent sur le long terme. De son côté, la Secrétaire exécutive de la Commission économique des Nations-Unies pour l’Afrique, Vera Songwe, a insisté sur l’importance d’accélérer les investissements dans les énergies propres dans le continent africain, soulignant l’engagement de la CEA à œuvrer avec les pays africains pour amorcer la transition vers les énergies vertes et renouvelables.

Elle a, par ailleurs, déploré le fait que près de 600 millions de personnes n’ont toujours pas accès à l’électricité en Afrique, en soulignant l’urgence de remédier à cette problématique qui impacte négativement d’autres secteurs clés liés à la réalisation des Objectifs de développement durable (ODD).

Vivo Energy Maroc a lancé en partenariat avec le Comité National de Prévention des Accidents de la Circulation (CNPAC), une vaste opération de sensibilisation à la sécurité routière dans les stations-service Shell du 12 au 14 juillet 2019.

Placée sous le thème de #CODEWAHED, elle vise à sensibiliser en cette période estivale les automobilistes au respect d’un seul et unique code de la route pour la sécurité de tous. 

Sept stations-service Shell situées sur des axes autoroutiers stratégiques qui connaissent un trafic important pendant la période des vacances participent à cette opération.

Durant les trois journées de sensibilisation, les animateurs partagent avec plus de 10 000 automobilistes des conseils sur les comportements à risque à éviter sur la route, tels que l’excès de vitesse ou encore l’usage du téléphone portable au volant. Les animateurs incitent également les usagers de la route à rejoindre le mouvement #CODEWAHED. Ils s’engagent ainsi à respecter un seul et unique code de la route pour la sécurité de tous. 

« #CODEWAHED est un mouvement né sur le web, qui a ensuite été largement relayé sur la télévision marocaine. Pour nous, la continuité était de le faire vivre dans nos stations. Surtout à cette période de l’année, où il y a un trafic routier intense lié aux départs en vacances et aux arrivées des MRE. 

La secrétaire d’État chargée du Développement durable, Nezha El Ouafi, vient d’être nommée présidente du Réseau des femmes ministres et hauts fonctionnaires de l’Environnement pour l’Afrique (AFWMLE), lancé en 2015 et hébergé par le bureau régional du PNUE à Nairobi.
Cette nomination qui récompense les efforts de la secrétaire d’État et du Maroc, sous la conduite de SM le Roi Mohammed VI, va redynamiser le réseau en capitalisant sur les acquis et créant plus de synergie et de convergences avec les différentes initiatives entreprises au niveau africain et mondial.

Le Maroc assure actuellement, en la personne de Mme El Ouafi, le poste de président du Forum régional africain pour le Développement durable (FRADD), suite à son élection en avril 2019, lors de la 5e session du FRADD, organisée les 17 et 18 avril 2019 à Marrakech, sous le Haut patronage de SM le Roi, sous le thème « donner des moyens d’action aux populations et assurer l’inclusion et l’égalité ».

La secrétaire d’État est également vice-présidente du bureau de la conférence ministérielle africaine sur l’environnement (CMAE), suite à son élection à ce poste lors de 16ème session ordinaire de la CMAE, tenue du 12 au 16 juin 2017, à Libreville au Gabon.

Ce réseau des femmes ministres et hauts fonctionnaires de l’environnement pour l’Afrique, qui est hébergé par le Bureau Régional du programme des Nations unies pour l’Environnement (PNUE) en Afrique à Nairobi, a été lancé officiellement en 2015, à l’occasion de la 15e session de la CMAE en Égypte. L’AFWMLE fait partie d’un Réseau mondial des Femmes ministres et hauts fonctionnaires de l’environnement (NWMLE).

Le réseau a mis en œuvre un plan d’action 2015-2017 qui a eu des résultats fructueux ayant trait notamment à l’appui à l’adoption de la politique de la CMAE sur le genre et la création du Réseau africain des femmes entrepreneures dans le secteur de l’énergie (WEE). Il a été renforcé en mars 2019 par le lancement du Réseau des Femmes Africaines Environnementalistes (NAWE).

L’AFWMLE sera en effet un outil pour garantir une prise de décision équilibrée en matière d’intégration de l’aspect genre dans le processus de mise en œuvre des politiques de l’environnement et du développement durable au niveau local, régional et global pour faire face aux défis environnementaux émergents notamment ceux liés aux effets pervers du Changement climatique.