La Fédération de L’Energie et l’IRESEN organisent, le 20 septembre 2019, en marge du Solar Décathlon Africa au Green and Smart Building Park à Ben Guérir, la deuxième édition du Workshop sur les Smart Grid sous le thème

« La digitalisation et les énergies renouvelables:  pour une gestion intelligente des réseaux électriques ».

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 secrétaire d’État chargée du développement durable, Mme Nezha El Ouafi, s’est entretenue, le 10 août en Corée du Sud, avec Ousman Jarju, Directeur de la division de programmation par pays du Fonds vert pour le climat (FVC), des moyens de renforcer la coopération entre le Royaume et le FVC.
Cette entrevue, tenue en marge de la Conférence de Programmation Mondiale du FVC, a été une occasion d’élaborer un programme de travail pour les prochaines années à la faveur de la position privilégiée dont jouit le Maroc dans les programmes du Fonds dans la région et du leadership du Royaume aux niveaux régional et international dans les domaines du développement durable et de la conservation de l’environnement.
Mme El Ouafi a saisi cette opportunité pour jeter la lumière sur la dynamique que connait le secteur au Maroc sous l’impulsion de SM le Roi Mohammed VI, et mis en exergue les divers chantiers lancés au Royaume, notamment la stratégie nationale de développement durable (SNDD).
Les deux parties ont, par ailleurs, discuté des attentes du Maroc vis-à-vis du Fonds vert pour le climat, notamment en ce qui concerne la préparation de projets d’investissement climatique et la facilitation de l’accès au financement, afin de soutenir la dynamique que connait le Maroc aux niveaux local et continental.

Total vient fraîchement d’inaugurer sa millième station-service à énergie solaire dans le monde. Une plateforme située aux abords de la ville de Marrakech qui accueille 134 m² de panneaux photovoltaïques.

De quoi lui permettre de produire annuellement 45 MegaWatt-heure d’électricité et, par conséquent, de réduire ses émissions de CO₂ de 30 tonnes par an. Faut-il souligner que cette inauguration dans le Royaume conforte la feuille de route du géant pétrolier et gazier qui entend pourvoir en panneaux solaires 5 000 de ses stations de par le monde. Un projet lancé fin 2016, qui s’est déployé dans 57 pays et qui devrait, selon l’opérateur, monter en puissance dans les prochains mois pour atteindre un rythme d’environ 1 000 stations par an.

Par ailleurs, des projets de solarisation de diverses installations industrielles ou bureaux du groupe pétrolier ont été identifiés. Ils représenteraient une puissance globale supérieure à 200 MWc, soit l’équivalent de l’électricité consommée par une ville de 200 000 habitants.

Le groupe pétrolier qui met en exergue la notion de changement climatique dans sa stratégie et qui compte anticiper les nouvelles tendances du marché de l’énergie en développant un portefeuille d’activités dans l’électricité dite à bas carbone. L’objectif étant que ce dernier représente 15 % à 20 % de ses ventes à horizon 2040. À ce jour, la capacité brute de production d’électricité à bas carbone de Total dans le monde s’élève à près de 7 gigawatt, dont plus de 3 gigawatt à partir d’énergies renouvelables.

Une centaine d’étudiants venus d’une vingtaine de pays du monde représentant les premiers participants au “Solar Decathlon Africa” se sont réunis le 21 août à Benguerir (dans le but d’entamer la phase de construction et d’assemblage des maisons intelligentes et durables dont la conception a duré plus d’un an.
Durant cette phase, dont le lancement a été donné par les représentants de l’Institut de Recherche en Energie Solaire et Energies Nouvelles (IRESEN), l’Université Mohammed VI Polytechnique et la Province de Rhamna, les équipes estudiantines entameront la construction de maisons alimentées exclusivement par l’énergie solaire, performantes et énergétiquement efficientes avec des architectures modernes durables inspirées de l’héritage africain.

Le défi actuel des équipes est de finaliser leurs constructions en seulement 3 semaines avant l’ouverture officielle du village solaire au grand public le 13 septembre prochain.
Lors de la finale de cette compétition, chaque équipe sera évaluée sur la base de dix épreuves, notées sur 100 chacune. 

L’équipe cumulant le maximum de points sur mille sera sacrée lauréate.
Organisé sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI par l’Université Mohammed VI Polytechnique et l’IRESEN avec le soutien du Ministère de l’Énergie, des Mines et du Développement Durable, le “Solar Decathlon Africa” est la plus grande compétition estudiantine au monde pendant laquelle plus de 1.000 étudiants doivent concevoir et construire des maisonnettes intelligentes fonctionnant uniquement à l’énergie solaire. Ces maisonnettes seront ensuite évaluées par un jury de professionnels sur 10 critères (décathlon) pour désigner les gagnants.

Pour rappel, le ministère de l’Énergie, des Mines et du Développement durable, l’IRESEN et le Département de l’énergie des États-Unis ont signé en novembre 2016 un protocole d’accord pour collaborer au développement de Solar Decathlon Africa, une compétition qui intégrera des caractéristiques locales et régionales uniques tout en respectant la philosophie, les principes et le modèle du concours américain.

Grâce à l’impulsion donnée par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le Maroc place l’action climatique au cœur de sa politique nationale, a souligné, le 20 août à Songdo en Corée du Sud, la Secrétaire d’État chargée du développement durable, Mme Nezha El Ouafi.
« Conscient que le changement climatique constitue le défi le plus important de notre époque, le Royaume du Maroc, grâce à l’impulsion donnée par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, place l’action climatique au cœur de sa politique au niveau national », a souligné Mme El Ouafi dans une allocution prononcée lors de la deuxième journée de de la Conférence de Programmation Mondiale du Fonds vert pour le climat (FVC), tenue du 19 au 23 août.

Ainsi, la politique climatique nationale trouve son ancrage institutionnel dans la Stratégie Nationale de Développement Durable (SNDD) adoptée par le Maroc en juin 2017 et qui constitue la convergence des différentes stratégies de développement sectorielles du pays en matière de développement durable et de lutte contre le changement climatique, a expliqué la Secrétaire d’Etat. Et d’ajouter qu’une stratégie de développement sobre en carbone à l’horizon 2030 et 2050 est en cours d’élaboration et coordonnera les objectifs d’atténuation de toutes les stratégies et tous les plans d’action sectoriels.

Rappelant que le Maroc a soumis en septembre 2016 une CDN (contribution déterminée au niveau national) ambitieuse en vue du potentiel d’atténuation en matière d’énergies renouvelables dont dispose le Royaume ainsi que son cadre de gouvernance favorable, Mme El Ouafi a relevé que cette CDN, jugée compatible avec l’objectif des 1,5°C ciblé par l’Accord de Paris et s’inscrivant dans une perspective intégrée allant au-delà du changement climatique, affiche une ambition de réduction totale de 42% des émissions de gaz à effet de serre (GES) d’ici 2030 par rapport à un scénario normal des affaires. 

En matière d’adaptation, le Maroc a mis en avant dans sa CDN, plusieurs objectifs chiffrés couvrant la majorité des secteurs vulnérables, a-t-elle indiqué, faisant savoir que les mesures d’atténuation entreprises par le Maroc couvrent plusieurs domaines notamment l’énergie, l’agriculture, le transport, l’habitat, l’industrie, les forêts, les déchets, l’eau, les infrastructures, etc.
La Secrétaire d’Etat a relevé que l’ambition du Maroc en matière d’atténuation des GES repose, dans une large mesure, sur une importante transformation du secteur de l’énergie (capacité, production, consommation, innovation…), ajoutant que cette transformation est menée avec la plus grande détermination politique et vise à réduire la grande dépendance énergétique du pays aux importations, à accroître l’utilisation de sources d’énergie renouvelable et à répondre à la demande croissante en énergie pour soutenir le développement socio-économique et le bien-être de sa population.

S’agissant de la relation du Maroc avec le Fonds Vert pour le Climat, Mme El Ouafi a noté que le Royaume est en cours de finalisation de son programme pays avec le Fonds qui constitue un document évolutif présentant les priorités d’investissement du pays en matière de changement climatique. 
Le Maroc a également lancé, il y a quelques mois, un processus inclusif et exhaustif pour mettre à jour sa CDN et identifier les possibilités de rehausser l’ambition dans les secteurs clés, a-t-elle rappelé, affirmant que ce processus permettrait de renforcer le portefeuille de projets d’investissement avec le Fonds Vert pour le Climat.
La Conférence de programmation mondiale du Fonds Vert pour le Climat constitue une plateforme pour un dialogue de haut-niveau sur les plans de programmation des pays et des entités avec le FVC en rassemblant toutes les autorités désignées ou points focaux, les entités accréditées et les autres parties prenantes du FVC.

Les moyens de renforcer la coopération entre le Maroc et la Jordanie dans les secteurs de l’énergie et des mines ont été au centre des entretiens, tenus le 26 août à Amman, entre le ministre de l’Energie, des Mines et du Développement durable, Aziz Rabbah et le président de la commission de régulation des secteurs de l’énergie et des mines en Jordanie, Farouq Hiyari.
Les deux parties ont examiné, ainsi, les moyens d’échanger les expériences et expertises en matière de régulation, de contrôle et de normes à respecter lors de l’attribution des autorisations d’exercice des différentes activités se rapportant aux secteurs de l’énergie et des mines, de nature à garantir la sécurité d’approvisionnement en énergie, fournir des prestations de qualité et améliorer la plus-value des deux secteurs.
A cette occasion, les deux responsables ont convenu d’échanger les visites entre les spécialistes des deux pays et de fixer le cadre de la coopération commune. Lors de cette réunion, M. Rabbah a passé en revue la structuration des secteurs de l’énergie et des mines, les cadres de régulation, de contrôle et de prospection de l’avenir des secteurs dans le Royaume, mettant l’accent sur l’importance de ce genre de rencontres dans le renforcement de la coopération et de l’échange des expertises et expériences entre les deux pays.
De son côté, le responsable jordanien a présenté l’état des lieux et les perspectives des secteurs de l’énergie et des mines dans son pays et les législations réglementant le secteur, ainsi que le rôle de la commission de régulation dans le contrôle de la sécurité et de la qualité des prestations fournies.

Le Maroc importe moins d’énergie électrique dans un contexte marqué par une bonne amélioration de la production nationale. Au premier semestre, les importations ont même reculé de 92% selon la DEPF. Cette situation s’explique en partie par la forte hausse de la production nationale qui a bondi de 25,1% sur la même période, après +6% un an auparavant. L’amélioration de la production nationale s’explique par la hausse de la production privée de 49,1%, après +3% un an auparavant et de celle de la production des projets développés dans le cadre de la loi 13-09 (+64,3%), explique la DEPF dans sa note de conjoncture du mois d’août. Dans ce contexte, l’énergie nette appelée a augmenté de 5,3% à fin juin, après +0,1% un an plus tôt.

Le 04 août 2019 au siège du Ministère de l’Energie, des Mines et du Développement Durable (MEMDD), s’est tenue une réunion en présence de M. Mohammed GHAZALI, Secrétaire Général du Département de l’Energie et des Mines et de hauts responsables du Ministère de l’Energie, des Mines et du Développement Durable, avec une délégation composée de membres de la commission de l’Energie et du Commerce du Congrès américain, présidée par M. Frank PALLONE et ce, dans le cadre de leur visite au Maroc du 03 au 05 août 2019. 

Au début de cette réunion, M. Mohammed GHAZALI et M. Frank PALLONE se sont félicités de l’excellence des relations historiques qui unissent le Royaume du Maroc et les États-Unis d’Amérique, et ont appelé au renforcement des axes de coopération entre les deux pays, notamment dans les domaines de l’énergie et du développement durable et l’échange des bonnes pratiques en matière de la législation.

Par la suite, M. Mohammed GHAZALI a présenté les principaux axes de la stratégie énergétique du Maroc, lancée en 2009 par Sa Majesté Le Roi Mohamed VI et les différentes étapes de la mise en œuvre de cette stratégie, en mettant l’accent sur les projets développés dans les domaines des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique, leurs modes de financement, le rôle du partenariat public privé dans la concrétisation de ces projets et l’ouverture opérée par les contributions du secteur privé dans les projets des énergies renouvelables, ainsi que vers les projets en cours de développement pour le renforcement de l’intégration régionale. 

Au cours de cette rencontre, elles ont été également rappelées les mesures d’accompagnent de la mise en œuvre de la stratégie énergétique, en particulier les cadres législatifs, réglementaires et institutionnels instaurés et les nouvelles réformes engagées, ainsi que les efforts déployés pour le renforcement de la Recherche et Développement (R&D).

Par ailleurs, des échanges fructueux entre les membres de la délégation américaine et la partie marocaine ont été effectués, et qui ont porté essentiellement sur les sources d’énergies renouvelables au Maroc, le développement du réseau national d’électricité pour accompagner la montée en puissance de ces énergies, les réalisations en matière d’efficacité énergétique, l’avenir des énergies fossiles, l’impact de développement des projets des énergies renouvelables sur les prix d’électricité payés par le citoyen, le problème des intermittences de ces énergies et la nécessité de développer des projets de production flexibles. 

Au terme de cette réunion, la délégation américaine a exprimé sa satisfaction vis-à-vis de l’exposé donné et de la qualité des échanges. Elle a également salué les efforts déployés par le Maroc en matière des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique ainsi que les objectifs atteints en la matière, tout en précisant que le Maroc est considéré comme un modèle au niveau régional dans ces domaines et en exprimant le souhait de s’inspirer du cadre législatif et réglementaire mis en place par le Maroc en la matière.

De son côté M. Mohammed GHAZALI a invité la partie américaine à mutualiser les efforts pour le développement et la consolidation du partenariat entre les deux pays dans les secteurs de l’énergie et du développement durable, en suscitant les sociétés américaines à investir au Maroc, notamment pour appuyer la mise en place d’un écosystème national dans le domaine des énergies renouvelables et l’efficacité énergétique.

Un nouveau contrat-programme entre l’État et l’Office National de l’Électricité et de l’Eau Potable (ONEE), couvrant la période 2019-2023, est en cours de préparation.

Les principes directeurs pour la préparation de ce nouveau contrat-programme, imprégné par les profondes mutations que connaissent les secteurs de l’électricité et de l’eau au Maroc, ont été présentés par le directeur général de l’ONEE, Abderrahim El Hafidi, lors d’une réunion en fin de semaine dernière avec les responsables de l’Association marocaine des entreprises de canalisation (AMEC), indique l’ONEE dans un communiqué.

Pour la période 2019-2023, l’ONEE a mis en place un plan d’équipement ambitieux en phase avec les orientations stratégiques d’un portefeuille d’investissements de l’ordre de 51,6 MMDH, poursuit la même source, faisant savoir que pour le volet eau potable, l’enveloppe prévue est de 20,9 milliards de dirhams, alors que 4,6 milliards de dirhams seront consacrés à l’activité assainissement liquide.

D’autres mesures seront déployées à moyen terme dans le cadre des négociations en cours entre l’État et l’ONEE pour finaliser le contrat-programme 2019-2023, dont le plan d’équipement a été approuvé lors du Conseil d’Administration de l’Office qui s’est tenu en juillet 2019.
Lors de cette réunion, M. El Hafidi a également présenté la nouvelle vision de l’Office en tant qu’entreprise stratégique accompagnant le développement du pays, se caractérisant principalement par la mise en place d’une feuille de route d’optimisation et de réforme qui constitue une projection des axes prioritaires de l’ONEE s’étendant à 2030.

En terme de bilan au titre des 20 dernières années, l’ONNE a réalisé dans les domaines de l’au potable et de l’assainissement liquide une enveloppe globale s’élèvant à 53,5 milliard de dirhams, a-t-il souligné. Cette importante rencontre avec les responsables de l’AMEC a également été l’occasion d’échanger autour de la question relative aux instances de paiement fournisseurs. A ce propos, des explications ont été fournies aux entreprises aussi bien sur les faits générateurs ayant abouti à cette situation que sur le plan d’action élaboré par l’ONEE pour résorber une part importante des arriérés de paiement à court terme.

A l’issue de la rencontre, M. El Hafidi a souligné l’engagement de l’ONEE à renforcer les relations avec les entreprises marocaines opérant dans le secteur de l’eau et de l’assainissement et ce, dans l’objectif de contribuer au développement socio-économique que connaît le pays sous l’impulsion de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.

Une délégation conduite par le directeur général de l’Office national des hydrocarbures et des mines (ONHYM), Mme Amina Benkhadra, a pris part, le 7 août à Abuja, à une réunion avec la Commission de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), organisée par la Nigerian National Petroleum Corporation (NNPC), pour présenter l’état d’avancement du projet de Gazoduc Nigeria-Maroc qui desservira également plusieurs pays de l’Afrique de l’Ouest.

L’objectif de cette réunion d’information à laquelle ont participé les représentants de la NNPC, le Directeur chargé de l’énergie et des mines de la Commission de la CEDEAO, le Chef de cabinet du Président de la Commission de la CEDEAO, des experts de la cette organisation régionale ainsi que l’ambassadeur du Maroc au Nigeria, est de présenter officiellement le projet de Gazoduc Nigeria-Maroc et d’examiner les modalités de coopération entre la CEDEAO et les deux parties pour la réalisation de ce projet.

Le Directeur de l’énergie et des mines de la CEDEAO a indiqué dans son intervention que l’énergie constitue une priorité pour l’organisation et que celle-ci a développé une stratégie visant l’instauration d’un marché intérieur intégré de l’énergie, affirmant à la même occasion que la CEDEAO se réjouit de l’initiative du Maroc et du Nigeria en ce qui concerne le gazoduc reliant les deux pays et desservant plusieurs pays de l’Afrique de l’Ouest.

Il a souligné à cet égard les excellentes relations qui lient le Maroc à la CEDEAO et à ses États membres et a déclaré que la CEDEAO est disposée à travailler de concert avec le Nigeria et le Maroc pour la réalisation de ce projet structurant.

Le Directeur de l’énergie et des mines de la CEDEAO, qui souhaite que le Gazoduc Nigeria-Maroc prenne en compte les projets en étude dans la sous-région pour développer des synergies, a souligné que le Gazoduc Nigeria-Maroc en tant que projet trans-régional fédérateur, contribuera à atteindre les objectifs d’intégration et d’accélération du développement économique poursuivis par la CEDEAO, mais aussi à assurer des débouchés pour le gaz produit en Afrique de l’Ouest vers les marchés européens.

La réunion, au cours de laquelle un exposé sur les principales conclusions de l’étude sur le projet de Gazoduc conduite par un cabinet de consulting international, a été présenté aux participants, a aussi porté sur les modalités de collaboration de la CEDEAO à la réalisation de ce projet.
Par ailleurs, un Mémorandum d’entente entre la NNPC/ONHYM et la CEDEAO portant sur les modalités de cette coopération sera proposé à la signature entre les deux parties.