Tenue, mardi (16/04/19) à Rabat, de la cérémonie de signature des conventions de financement des projets de recherche et développement en présence du ministre de l’énergie, des mines et du développement durable, Aziz Rabbah dans le cadre de l’appel du projet “Green INNO-PROJECT” et des projets d’innovation lancés par l’institut de Recherche en énergie Solaire et énergies Nouvelles (IRESEN) au titre de l’année 2018, pour le financement de projets collaboratifs portés par les universités et entreprises marocaines et Étrangères

Les conventions de financement de vingt projets dédiés aux énergies renouvelables ont été signées, le 16 avril à Rabat, entre l’Institut de recherche en énergie solaire et en énergies nouvelles (IRESEN) et plusieurs partenaires scientifiques et industriels.
Les projets sélectionnés par l’IRESEN touchent de nombreux domaines allant du stockage à la mobilité électrique, en passant par l’énergie solaire photovoltaïque, l’efficacité énergétique et la biomasse.
Ces projets ont été développés dans le cadre d’un partenariat entre des universités et des instituts de recherche du Maroc et de l’étranger d’une part, et des entreprises opérant dans le domaine industriel d’autre part. Seize parmi eux sont des projets collaboratifs de recherche appliquée qui relèvent du domaine de la recherche et développement, et quatre sont des projets d’innovation destinés à la commercialisation. Dans le secteur du bâtiment par exemple, il est question, entre autres, de projets portant sur « le développement d’un système de gestion de l’énergie pour les bâtiments intelligents » et sur « l’éco-construction durable basée sur la valorisation des déchets fibreux pour la fabrication des briques ».
En agriculture, les projets retenus visent « la conception et la réalisation d’une station expérimentale agro-photovoltaïque intelligente pour une agriculture résiliente au changement climatique », ou encore « le développement de nouveaux biocombustibles issus des résidus des unités de trituration d’olives au Maroc ».
Un budget de 30 millions DH est alloué au financement de ces projets portés par 23 universités et 22 entreprises marocaines travaillant en partenariat avec dix universités étrangères, a déclaré à la presse le directeur général de l’IRESEN, Badr Ikken, en marge de la cérémonie de signature qui s’est déroulée au siège du ministère de l’Énergie, des Mines et du Développement durable.
Les projets sélectionnés vont contribuer à « la promotion des compétences dans notre pays, tout en développant la recherche appliquée, l’innovation et l’industrialisation de solutions technologiques » qui vont faire du Maroc « un exemple en matière de développement des technologies vertes », a expliqué M. Ikken.

De son côté, le ministre de l’Énergie, des Mines et du Développement durable, Aziz Rebbah, a souligné que les nombreux partenariats dédiés à l’énergie et à l’industrialisation énergétique que l’IRESEN noue avec les universités, les entreprises et les centres de recherche internationaux, témoignent de l’attractivité du Royaume en tant que plateforme de production et de recherche scientifique en la matière. La cérémonie de signature des conventions s’est tenue en présence d’un parterre d’universitaires, de chercheurs et de chefs d’entreprises.

L’Agence marocaine pour l’efficacité énergétique (AMEE) a clôturé, le 12 avril, la phase pilote de son projet d’accompagnement de quatre établissements de formation en ingénierie pour l’intégration dans leurs cursus d’un module portant sur l’efficacité énergétique en industrie.
Le programme de développement et de déploiement de ce module a été mené dans sa phase pilote avec l’École nationale supérieure des mines de Rabat, la Faculté des sciences et techniques de Tanger et les Écoles nationales des sciences appliquées de Tanger et d’Al Hoceïma.

Ce projet, mené avec l’appui de la Coopération internationale Allemande GIZ, a pour objectif, d’une part, de contribuer aux efforts déployés en vue de doter le pays de compétences nécessaires en quantité et en qualité dans ce domaine et, d’autre part, de développer une expertise nationale capable de relever le challenge visé par le Royaume en matière d’économie d’énergie et de préservation de l’environnement.
Dans le détail, ce programme consiste au développement d’un module de formation en « Efficacité énergétique en industrie » basé sur des pratiques internationales adaptées au contexte industriel marocain ainsi qu’au renforcement des capacités des enseignants via une formation des formateurs pour pouvoir l’intégrer, par la suite, dans leurs cursus.

L’adoption de l’approche multi-établissements durant la phase pilote de ce projet vise principalement à répondre à l’objectif d’asseoir un cadre favorable pour l’initiation du réseautage, de synergie et d’échange entre les établissements partenaires, a expliqué le Directeur général de l’AMEE, Said Mouline.
L’efficacité énergétique requiert un travail de réglementation, d’accompagnement technique et financier ainsi que des actions de formation et de sensibilisation, a indiqué M. Mouline à cette occasion, soulignant que la formation est primordiale pour disposer de compétences spécialisées dans ce domaine qui joue un rôle déterminant dans la compétitivité des entreprises et de l’économie.

« Aujourd’hui c’est le cycle de formation des formateurs que nous avons clôturé. Les établissements d’ingénierie partenaires disposent, désormais, de formateurs capables de dispenser des cours théoriques et des formations pratiques dans le domaine de l’efficacité énergétique en industrie », a-t-il assuré, soulignant, à cet égard, l’importance de mettre les formations et les méthodes pédagogiques en réseau en vue de faciliter les échanges aussi bien entre les établissements d’ingénierie qu’avec les partenaires internationaux.

« Nous croyons que c’est par la formation que nous allons parvenir à renforcer les capacités, à avoir les experts et les spécialistes de demain dans ce domaine », a-t-il soutenu, notant que l’AMEE dispose d’un centre de formation qui accompagne non seulement les établissements nationaux mais également ceux d’autres pays du continent.

En développant la formation dans le domaine de l’efficacité énergétique, a-t-il insisté, l’on contribue aussi bien à la réduction de la facture énergétique des entreprises, au développement de leur compétitivité et à la promotion de l’économie verte et de l’emploi. Pour sa part, le Secrétaire général du ministère de l’Énergie, des mines et du développement durable, Mohammed Ghazali, a indiqué que l’efficacité énergétique est un pilier essentiel de la stratégie énergétique du Royaume, notant que « tout le savoir, toute l’approche et toute l’industrie de cette efficacité énergétique reposera essentiellement sur les ressources humaines, d’où l’importance de disposer de compétences qualifiées dans ce domaine ».

Le Maroc ambitionne d’atteindre des économies d’énergie de 15% à 20%, a rappelé M Ghazali, relevant que pour réaliser cet objectif, l’accent doit être mis sur l’industrie, un secteur qui représente, à lui seul, 38% de la facture énergétique nationale.
Il a également souligné que le Maroc ambitionne non seulement d’atteindre une optimisation de la consommation énergétique mais aussi de créer tout un modèle économique d’efficacité énergétique propre aux Marocains à travers lequel il contribuera à la compétitivité des entreprises industrielles et à la création d’emplois et d’une valeur ajoutée substantielle dont les retombées profiteront à l’ensemble de l’économie nationale.

Le « Réseau Forma Indus » a pour objectifs de renforcer les compétences, assurer la démultiplication des formations et des formateurs, garantir la professionnalisation, mutualiser les moyens et les services et adapter les dispositifs de formation à l’évolution des pratiques professionnelles et aux disposions réglementaires.

Le secteur de l’énergie électrique a enregistré, à fin février 2019, une augmentation de sa production nationale de 27,1%, après +7,7% un an auparavant, selon la Direction des études et des prévisions financières (DEPF).

Cette dynamique a bénéficié de la progression de la production privée de 53,7% après +0,5% à fin février 2018 et de celle des projets développés dans le cadre de la loi 13-09 (+135,4%), atténuée par un recul de la production de l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE) de 22,3%, précise la DEPF dans sa note de conjoncture d’avril 2019.

Pour sa part, la consommation de l’énergie électrique s’est appréciée de 1% à fin février 2019 contre +3,7% il y a une année, fait savoir la même source, notant que cette évolution recouvre une quasi-stagnation des ventes de l’énergie de très haute, haute et moyenne tension et une hausse de celles de l’énergie de basse tension de 4,8%.

Par ailleurs, la note fait ressortir que le solde des échanges de l’énergie électrique avec l’Algérie et l’Espagne s’est replié de 135,1% à fin février 2019, suite au recul du volume de l’énergie importée de 93,5%, allégé par le renforcement de celle exportée de 1788,3%, dans un contexte d’une hausse de l’énergie nette appelée de 3,7%, après +4,4% un an plus tôt.

Atelier portant sur l’exemplarité de l’état dans l’efficacité Énergétique organisé, lundi (15/04/2019) à Rabat, en présence de M. Aziz Rebbah, le Ministre de l’Energie, des Mines et du Développement Durable, M. Ahmed Baroudi, Directeur Général de la Société d’Investissements énergétiques, M. Said Mouline, Directeur Général de l’Agence Marocaine pour l’efficacité énergétique, M. Badr Ikken, Directeur Général de l’institut de Recherche en énergie Solaire et énergies Nouvelles, et d’autres personnalités.

La réussite de la transition énergétique passe avant tout par l’engagement des administrations et des établissements publics en la matière, a affirmé, le 15 avril à Rabat, le ministre de l’Énergie, des mines et du développement durable, Aziz Rebbah.

S’exprimant à l’ouverture d’un atelier sur l’exemplarité des administrations et des établissements publics dans le domaine de l’efficacité énergétique, M. Rebbah a indiqué que l’engagement de l’Etat dans cette dynamique contribuera dans la prise de conscience des citoyens pour adopter des actions respectueux à l’environnement.

La société avec toutes ses composantes est concernée par cette question pour plusieurs raisons notamment la baisse de la facture électrique, a-t-il dit, ajoutant que la politique énergétique au Maroc a vu la mise en place du programme de mise à niveau énergétique des mosquées et l’installation d’équipements permettant de réaliser des économies en énergie au niveau de l’éclairage public.

De son côté, le directeur général de la société d’investissements énergétiques (SIE), Ahmed Baroudi a souligné l’importance de quatre secteurs prioritaires dans le but de réussir efficacité énergétique notamment le bâtiment public, l’éclairage public, l’industrie et le transport, en vue de développer des modèles propres tout en s’inscrivant dans l’objectif d’atteindre 20% d’ici 2030 en matière d’économie d’énergie.
M. Baroudi a, dans ce sens, rappelé que la SIE est devenue une société de services énergétique étatique, ce qui est de nature à permettre de faciliter l’exécution des projets de performance énergétique au profit des secteurs public et privé et contribuer à la consolidation de l’écosystème national.

Le directeur général de l’Institut de recherche en énergie solaire et énergie nouvelles (IRESEN), Badr Ikken a, de son côté, mis en avant l’engagement de l’Etat en matière de réduction des coûts énergétiques dont notamment le remplacement progressif des véhicules essence et diesel de l’Etat par des véhicules électriques.

M. Ikken a également mis en exergue le projet du cadastre solaire qui permet d’établir une cartographie en s’appuyant sur des données 3D des bâtiments et de communiquer au public sur le potentiel du photovoltaïque dans les toitures, facilitant l’installation de panneaux solaires.

Organisé par le ministère de l’Énergie, des mines et du développement durable en partenariat avec la société d’investissements énergétiques, l’atelier a pour objectif de présenter les efforts déployés par le ministère dans le domaine de l’efficacité énergétique et d’encourager l’exemplarité de l’administration publique en la matière, ainsi que de partager la vision du ministère afin d’opérationnaliser la démarche de l’exemplarité de l’administration et des institutions publiques.

La fédération de l’Energie a organisé, le vendredi 19 avril 2019, la restitution provisoire des résultats de l’étude sur la Mobilité Durable au Maroc.

Les résultats définitifs de cette étude feront l’objet d’un séminaire de présentation aux membres et partenaires de la Fédération début juin 2019.

La Fédération de l’Energie, a tenu, le 18 avril 2019 à Casablanca, son Assemblée Générale Ordinaire Elective. Après avoir approuvé les rapports moral et financier de l’exercice 2018, les membres de la Fédération de l’Energie ont réélu à l’unanimité, M. Rachid Idrissi Kaitouni à la présidence de la Fédération de l’Energie pour un nouveau mandat de 3 années portant sur la période 2019-2022.

Pour rappel, la Fédération de l’Energie est la représentante et la porte-parole des entreprises et organismes opérant dans le secteur de l’énergie au Maroc. Elle fait partie des Fédérations de la Confédération Générale des Entreprises du Maroc (CGEM).

La Fédération de l’Energie, a tenu, le 18 avril 2019, son Assemblée Générale Ordinaire Élective au siège de la CGEM. Après avoir approuvé le rapport moral et le rapport financier de l’exercice 2018, les membres de la Fédération ont réélu à l’unanimité, M. Rachid IDRISSI KAITOUNI à la présidence de la Fédération de l’Energie pour un nouveau mandat de 3 années portant sur la période 2019-2022.

IRESEN: Cérémonie de signature des conventions de financement des projets collaboratifs et d’innovation

Les conventions de financement de vingt projets dédiés aux énergies renouvelables ont été signées, le 16 avril à Rabat, entre l’Institut de recherche en énergie solaire et en énergies nouvelles (IRESEN) et plusieurs partenaires scientifiques et industriels.
Les projets sélectionnés par l’IRESEN touchent de nombreux domaines allant du stockage à la mobilité électrique, en passant par l’énergie solaire photovoltaïque, l’efficacité énergétique et la biomasse.

Ces projets ont été développés dans le cadre d’un partenariat entre des universités et des instituts de recherche du Maroc et de l’étranger d’une part, et des entreprises opérant dans le domaine industriel d’autre part. Seize parmi eux sont des projets collaboratifs de recherche appliquée qui relèvent du domaine de la recherche et développement, et quatre sont des projets d’innovation destinés à la commercialisation. Dans le secteur du bâtiment par exemple, il est question, entre autres, de projets portant sur « le développement d’un système de gestion de l’énergie pour les bâtiments intelligents » et sur « l’éco-construction durable basée sur la valorisation des déchets fibreux pour la fabrication des briques ».

En agriculture, les projets retenus visent « la conception et la réalisation d’une station expérimentale agro-photovoltaïque intelligente pour une agriculture résiliente au changement climatique », ou encore « le développement de nouveaux biocombustibles issus des résidus des unités de trituration d’olives au Maroc ».

Un budget de 30 millions DH est alloué au financement de ces projets portés par 23 universités et 22 entreprises marocaines travaillant en partenariat avec dix universités étrangères, a déclaré à la presse le directeur général de l’IRESEN, Badr Ikken, en marge de la cérémonie de signature qui s’est déroulée au siège du ministère de l’Énergie, des Mines et du Développement durable.

Les projets sélectionnés vont contribuer à « la promotion des compétences dans notre pays, tout en développant la recherche appliquée, l’innovation et l’industrialisation de solutions technologiques » qui vont faire du Maroc « un exemple en matière de développement des technologies vertes », a expliqué M. Ikken.

De son côté, le ministre de l’Énergie, des Mines et du Développement durable, Aziz Rebbah, a souligné que les nombreux partenariats dédiés à l’énergie et à l’industrialisation énergétique que l’IRESEN noue avec les universités, les entreprises et les centres de recherche internationaux, témoignent de l’attractivité du Royaume en tant que plateforme de production et de recherche scientifique en la matière. La cérémonie de signature des conventions s’est tenue en présence d’un parterre d’universitaires, de chercheurs et de chefs d’entreprises.

La 5e session du Forum régional africain pour le développement durable (FRADD) se tiendra du 16 au 18 avril à Marrakech, sous le thème « Autonomiser les personnes et assurer l’inclusion et l’égalité », selon la Commission économique pour l’Afrique (CEA).

Le FRADD est une plateforme intergouvernementale convoquée par la CEA, en collaboration avec la Commission de l’Union africaine (UA), la Banque africaine de développement (BAD) et le système des Nations Unies, pour examiner les progrès accomplis, partager les expériences et les leçons tirées en vue d’accélérer la mise en œuvre des Objectifs de Développement Durable (ODD) et de l’Agenda 2063.
Les ODD sont 17 objectifs fixés à l’horizon 2030 qui donnent la marche à suivre pour parvenir à un avenir meilleur et plus durable pour tous. Ils répondent aux défis mondiaux auxquels le monde est confronté, notamment ceux liés à la pauvreté, aux inégalités, au climat, à la dégradation de l’environnement, à la prospérité, à la paix et à la justice.

L’Agence marocaine pour l’efficacité énergétique (AMEE) a remporté, le 2 avril02 avril, le Prix Morseff de l’efficacité énergétique. Cette consécration de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) couronne les efforts consentis par l’agence dans l’ensemble de ces activités et programmes d’efficacité énergétique, notamment les programmes régionaux qui visent à encourager les initiatives locales, et cherchent à optimiser la capacité des acteurs locaux à contribuer aux objectifs énergétiques du Maroc à l’horizon 2030.

En effet, l’AMEE ne cesse d’encourager l’utilisation rationnelle de l’énergie à l’échelle locale à travers :

– Un appui à la gouvernance locale, notamment, par le développement d’une structure de pilotage et de gestion nationale, l’accompagnement d’équipes énergie municipales, et l’appui aux décideurs locaux ;

– Le transfert de savoir-faire par le renforcement des capacités institutionnelles et personnelles requises pour la mise en œuvre d’actions planifiées, tout en consolidant l’offre locale en matière d’enseignement et de formation professionnelle ;

– L’accès à l’information, la sensibilisation et l’orientation du citoyen, en l’occurrence, par le soutien aux actions de communication locales, le développement d’outils destinés aux communes et l’établissement d’« espaces info énergie » ; et par,

– Le développement de modèles institutionnels financiers permettant aux collectivités d’investir dans les technologies énergétiques durables, à travers notamment un appui à la structuration de partenariats public-privé (PPP).

D’un montant global de 110 millions d’EUR, MorSEFF est la ligne de financement de l’énergie durable destinée aux entreprises privées marocaines.

Se félicitant des résultats probants et reluisants de ce programme qui offre des subventions d’investissement qui sont financées via des dons de la Facilité d’Investissement pour le Voisinage de l’Union européenne (FIV), le Directeur général de l’AMEE, Saïd Mouline, a déclaré à cette occasion que « l’AMEE a accompagné le Morseff depuis le début en sensibilisant les acteurs publics et privés ».

Mettant en avant l’importance du levier financier pour la réussite de la stratégie d’efficacité énergétique, le Directeur général de l’AMEE a rappelé les tournées organisées, notamment, « avec la CGEM pour sensibiliser les investisseurs et montrer qu’il y a des outils non seulement techniques, mais aussi des outils financiers pour accompagner cette politique d’économie d’énergie ».

Dressant le bilan de la première partie du programme MorSEFF, M. Mouline a considéré que « les seize investissements marocains dans l’énergie durable qui ont été récompensés constituent, aujourd’hui, des success-stories ».« Ce sont des entreprises qui ont pu économiser de l’énergie, qui ont pu réduire leur facture énergétique et leurs émissions de gaz à effet de serre ».