La production de l’énergie électrique, au niveau national, s’est accrue de 1,3% au terme du premier semestre de 2024, après une légère baisse de 0,6% un an auparavant, selon la Direction des études et prévisions financières (DEPF) relevant du ministère de l’Economie et des Finances.

Cette progression s’explique par le raffermissement notable de la production des énergies renouvelables relatives à la loi 13-09 de 47,9%, explique la DEPF dans sa note de conjoncture de juillet. En revanche, la production privée d’électricité a quasiment stagné (-0,2%) et celle de l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE) a reculé de 7,3%. 

S’agissant des échanges du secteur de l’énergie électrique avec l’extérieur, le volume importé s’est accru de 40,1% au S1-2024, au lieu d’une hausse de 50,4% à la même période de l’année précédente. Concernant le volume exporté, il s’est replié de 20,5% (après -38,4%). Du côté du volume de l’énergie appelée nette, il a maintenu quasiment le même taux de croissance enregistré l’année précédent, soit +2,7%.

Quant à la consommation de l’énergie électrique, elle a reculé de 1,2% à fin juin 2024 au lieu d’une hausse de 3,7% un an auparavant.

Cette baisse est imputable à la diminution des ventes de l’énergie de “très haute, haute et moyenne tension, hors distributeurs” de 6,2% et ce, malgré l’accroissement des ventes de l’énergie électrique adressée aux distributeurs et aux ménages.



La sécurité hydrique et énergétique constitue une priorité majeure du projet de Loi de Finances (PLF) au titre de l’exercice 2025, selon la note d’orientation dudit projet adressée par le Chef du Gouvernement aux départements ministériels.

“Afin de relever les défis actuels et futurs liés à la sécurité hydrique, alimentaire et énergétique, et en application des Hautes Orientations données par Sa Majesté le Roi Mohammed VI lors de Son discours à l’occasion du 25e anniversaire de Son intronisation, visant à garantir l’eau potable à tous les citoyens et couvrir 80% au moins des besoins d’irrigation sur tout le territoire national, le Gouvernement poursuivra la mise en œuvre du programme national pour l’approvisionnement en eau potable et l’irrigation 2020-2027”.
Pour ce faire, l’Exécutif veillera sur l’achèvement du programme de construction des barrages, tout en donnant la priorité aux projets de barrages programmés dans les zones identifiées par des précipitations importantes, et l’accélération de la réalisation des grands projets de transfert de l’eau.

En parallèle, le Gouvernement accélérera l’achèvement des usines de dessalement d’eau de mer, selon son programme spécifique, qui vise à mobiliser plus de 1,7 milliard de mètres cubes d’eau par an. Ces stations permettront au pays, d’ici 2030, de couvrir plus de la moitié de ses besoins en eau potable, en plus d’irriguer de vastes zones agricoles, ce qui contribuera à améliorer la sécurité alimentaire du pays.

Ainsi, le Gouvernement poursuivra la mise en œuvre de la stratégie “Génération Green” pour valoriser les acquis du secteur agricole et assurer sa résilience face au changement climatique afin d’améliorer la productivité agricole et le niveau de production céréalière.

L’Exécutif prévoit également le lancement de projets d’agriculture solidaire de la nouvelle génération, notamment dans les zones montagneuses et oasiennes.

Par ailleurs, compte tenu du rôle joué par les stations d’épuration des eaux, d’une part, et par le traitement et la réutilisation des eaux, d’autre part, dans la couverture des besoins de l’irrigation, le Gouvernement envisage de développer une industrie nationale dans le domaine du dessalement de l’eau, de former des ingénieurs et techniciens spécialisés, d’encourager l’implantation d’entreprises marocaines spécialisées dans la construction et l’entretien des stations de dessalement tout en encourageant l’innovation et l’investissement dans les nouvelles technologies dans le domaine de la gestion de l’eau.

En outre, l’Exécutif s’engagera à accélérer la réalisation du projet d’interconnexion électrique pour le transfert de l’énergie renouvelable des régions du sud vers le centre et le nord, tout en accélérant le transfert de l’électricité produite à partir des sources d’énergie renouvelable du sud au nord-ouest du pays avec une capacité d’environ 3.000 mégawatts d’ici 2027.

Selon la même perspective, le PLF-2025 constitue une étape fondamentale vers l’accélération de la mise en œuvre des projets visant à augmenter la contribution des énergies renouvelables à plus de 52% de la capacité électrique installée à l’horizon de 2030, fait savoir la note, relevant que la capacité totale installée d’énergies renouvelables a atteint plus que 45% du mix énergétique électrique à fin 2023.

Par ailleurs, l’exploitation officielle de plusieurs centrales éoliennes va commencer au cours de l’année 2024, en parallèle du lancement de nombreux projets d’énergie solaire, notamment ceux liés à la centrale solaire “Noor Midelt 1” d’une capacité de production de 800 mégawatts et “Noor Atlas” d’une capacité de production de 300 mégawatts.
Le Gouvernement envisagera également le lancement de nouvelles filières énergétiques, en matière de développement de l’hydrogène vert, en parallèle avec l’accroissement de l’utilisation du gaz naturel dans la production d’énergie, dans le but de réduire la dépendance aux produits pétroliers et aux combustibles solides.



Le coup d’envoi des travaux de renforcement du réseau d’eau et d’assainissement liquide dans la province de Taza a été donné vendredi pour un coût global de 84 millions DH, à l’occasion du 25e anniversaire de l’accession de Sa Majesté le Roi Mohammed VI au trône de Ses glorieux ancêtres.

Lancés par le gouverneur de la province de Taza, Mustapha El Maaza, ces projets comprennent des travaux de désinfection liquide pour la ville de Taza (canal de collecte, Oued Defali et Oued Taza) d’une valeur de 38,9 MDH, ainsi que la pose de canaux d’alimentation en eau potable entre les réservoirs du Maghreb et de l’Oriental, d’une valeur de 21,6 MDH.

Il s’agit également des travaux de réhabilitation et de rénovation de Defali 1 et 2, Djéouna et Anemli, d’une valeur financière de 12,4 MDH, ainsi que la rénovation et réhabilitation du réseau de distribution d’eau potable de la ville de Taza pour une valeur financière de 11,2 MDH.
Le projet de pose de canaux de raccordement à l’eau potable entre les réservoirs du Maghreb et de l’Oriental vise à alimenter la région centrale en eau potable, à transférer l’eau du barrage vers les zones d’expansion orientale pour alimenter la région orientale en eau potable.

Il s’agit aussi d’améliorer la qualité de l’eau et la distribution équitable de cette denrée entre les quartiers de Taza par la pose d’environ 13,2 km de canaux, y compris les dispositifs hydrauliques et la construction d’installations annexes.

La réhabilitation et la rénovation des forages de Dafali 1, 2, Djéouna et Anemli vise à améliorer l’autoproduction (60 litres par seconde), à sécuriser l’approvisionnement en eau potable, à entretenir les installations et à améliorer les conditions d’exploitation.

Le projet consiste en le forage de Djéouna 2 d’une profondeur de 600 mètres, les forages de Dafali 1 et 2 d’une profondeur de 470 mètres chacun, et à équiper les quatre forages d’eau en matériel hydraulique et électrique par la mise en place de pompes à 200 mètres pour Defali 1, 2 et Djéouna 1, et à 120 mètres pour Anemli.

Le projet de rénovation et de réhabilitation du réseau de distribution d’eau potable de la ville de Taza, qui prévoit la pose de près de 13 kilomètres de canaux, y compris des dispositifs hydrauliques et la construction d’installations annexes, vise à améliorer le rendement du réseau d’eau potable pour atteindre 80 % en 2028, à réduire les pertes d’eau, à renouveler les réseaux et les réceptions vétustes, à réduire le nombre de fuites, à préserver les trottoirs et les routes restaurés, ainsi qu’à assurer la réhabilitation urbaine de la ville.

A cette occasion, le directeur provincial de l’Office National de l’Eau et de l’Electricité (ONEE) – branche Eau régional à Taza, Mohamed Saidi, a présenté un exposé sur les projets d’alimentation en eau potable dans la province de Taza, qui comprennent des projets d’une valeur de plus de 156 MDH dans les commune de Matmata et Bouhlou et l’alimentation en eau potable d’un centre et de 51 douars dans les communes de Beni Ftah, M’sila, Smia, Bab Boudir, Zerarda et Galdamane.

L’ONEE de Taza -Branche eau, a programmé des projets d’une valeur financière estimée à environ 499 MDH portant sur le doublement de la capacité de production du système de Bab Louta dans la province Taza (400 MDH) et l’alimentation en eau potable de 102 douars pour un coût d’environ 99 MDH.



Une enveloppe budgétaire de près de 250 millions DH a été mobilisée pour la mise en œuvre de plusieurs projets relatifs à l’approvisionnement en eau potable et à l’assainissement liquide au niveau de la ville de Dakhla.

Ainsi, le wali de la région de Dakhla-Oued Eddahab, gouverneur de la province d’Oued Eddahab, Ali Khalil, accompagné notamment du directeur régional des provinces Sahariennes de l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE), -Branche Eau-, Mohamed Boubekri, du directeur général de la Société Dakhla Aménagement et Développement, Khalid Zouhari et des élus, a donné, le 29 juillet, à l’occasion du 25e anniversaire de la glorieuse Fête du Trône, le coup d’envoi à deux projets relatifs à la mise à niveau du réseau de distribution d’eau potable et celui d’assainissement liquide, s’inscrivant dans le cadre du programme prioritaire de mise à niveau de la ville de Dakhla.

Le premier projet relatif à la réhabilitation du réseau de distribution d’eau potable, consiste à mettre à niveau le réseau de distribution d’eau potable, pour un montant global de plus de 72,32 MDH.

Ce projet, dont la durée de réalisation sera de 8 mois, sera réalisé dans le cadre d’un partenariat entre la wilaya de Dakhla, le Conseil régional, le Conseil communal, le Conseil provincial d’Oued Eddahab, l’ONEE -Branche Eau- et la Société Dakhla Aménagement et Développement.

Il porte sur la réhabilitation de 79 km de conduites d’eau potable et 7.323 branchements, en vue d’améliorer le rendement du réseau de distribution et minimiser les pertes d’eau, à même de parvenir à une solution définitive et durable pour approvisionner la ville de Dakhla en eau potable.

Le second projet, quant à lui, consiste à mettre à niveau le réseau d’assainissement liquide dans plusieurs quartiers de la ville, dont ”Al Massira”, ”Al Wakala”, ”Oum Tounssi”, ”Al Amal” et “El Kassam”.

Mobilisant une enveloppe budgétaire de plus de 112,35 MDH, ce projet dont la durée de réalisation est estimée à 7 mois, prévoit la mise en place de 53 Km de canaux dédiés à l’assainissement liquide et 2.150 raccordements.

De même, le wali et la délégation l’accompagnant se sont enquis du projet relatif au renforcement de l’approvisionnement de la ville de Dakhla en eau potable (Tranche urgente), nécessitant une enveloppe budgétaire de 64 MDH, dont le taux d’avancement des travaux a atteint plus de 90%.

Porté par l’ONEE -Branche Eau-, en partenariat avec la wilaya de la région et la commune de Dakhla, ce projet consiste à équiper et raccorder deux nouveaux forages et à renouveler la conduite d’adduction d’eau reliant le réservoir de 1.000 m3 à Taourta au réservoir de 500 m3 au quartier Nahda sur un linéaire de 19 Km, en plus de la réalisation d’un réservoir semi enterré d’une capacité de 1.500 m3 au niveau du même quartier.

Ce projet permettra d’atténuer considérablement le déficit en matière d’eau potable à Dakhla, dans la perspective d’assurer son alimentation en eau potable à partir de la grande station de dessalement mutualisée (agriculture/eau potable), dont les travaux sont en cours de réalisation et sa mise en service prévue fin 2025.



La préservation et la valorisation des ressources en eau comme levier pour le développement durable, est le thème d’un colloque scientifique organisé, le 27 juillet à Béni Mellal, à l’initiative de la Wilaya de la région Béni Mellal-Khénifra.

Cette rencontre qui s’inscrit dans le cadre des activités des journées culturelles, artistiques et sportives, organisées, en marge des festivités marquant la célébration de la glorieuse Fête du Trône a pour but d’examiner la question de la rareté de l’eau ainsi que les moyens de transcender cette problématique en vue d’améliorer la gestion et la rationalisation de cette denrée vitale.

Cette rencontre est aussi une opportunité pour les acteurs territoriaux et les organismes de la société civile de présenter leurs visions respectives sur cette problématique et d’y élaborer des solutions durables.

Intervenant à cette occasion, le Wali de la région Béni Mellal-Khénifra, gouverneur de la province de Béni Mellal Khatib El Hebil a évoqué le grand intérêt et soutien apporté conformément aux Hautes Instructions Royales à la question de l’eau dans notre pays, soulignant que la préservation des ressources en eau est tributaire de la mise en place d’une gouvernance durable en tant qu’impératif qui s’impose.

Il a déploré la situation préoccupante de l’eau en raison du changement climatique et du manque de précipitations, ainsi que de la forte pression sur les ressources en eau, avant de passer en revue un ensemble de mesures urgentes prises et mises en œuvre au niveau régional, visant la gestion rationnelle des ressources en eau et la sensibilisation à la nécessité de préserver cette ressource vitale.

Il a également précisé que des efforts colossaux sont en cours pour accélérer la réalisation des projets prévus dans le cadre du Programme National d’Approvisionnement en Eau Potable et d’Irrigation 2020-2027.

Pour sa part, le président du Conseil régional, Adil Barakat a rappelé le problème du déficit hydrique et son impact direct sur les réserves en eau et sur le secteur agricole de la région, soulignant que le problème de la pénurie d’eau figure au centre des priorités du conseil élu.

Il a dans ce sens passé en revue les efforts déployés par le Conseil, notamment en lui réservant tout un axe dans le cadre du programme de développement régional, le but étant de faire face aux impacts des changements climatiques et de mobiliser les ressources en eau à travers la construction et la réhabilitation de petits barrages et lacs collinaires.

Dans son intervention à cette occasion, le président du Conseil de l’Agence du bassin hydraulique de l’Oum Er Rbia (ABHOER) a évoqué le rôle consultatif du conseil à travers l’examen et la soumission d’avis sur les questions liées à l’eau, citant le Plan directeur d’aménagement intégré des ressources en eau en tant que document de référence qui servira de guide dans l’utilisation et la gestion durable des ressources hydriques pour les années à venir.

Ce colloque scientifique, organisé sur deux jours, vise à sensibiliser à l’importance de l’eau et au problème de la raréfaction de cette denrée, en plus d’examiner un ensemble de mesures pratiques prises dans le cadre des politiques proactives mises en œuvre à l’échelle de la région de Béni Mellal-Khénifra, et qui visent dans leur ensemble à préserver l’eau et à assurer un approvisionnement durable aux habitants de la région.



 

L’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE) a annoncé que la Centrale thermique de Dakhla a été certifiée à la norme ISO 14001-V2015, en Système de management de l’environnement (SME). 

La certification a été délivrée dans le cadre de la mise en place d’un SME dans les centrales thermiques de l’ONEE dans les régions du Sud, au terme d’un audit qui a évalué les processus de gestion, opérationnels et de support de la centrale.

Cette reconnaissance illustre l’engagement constant de l’ONEE envers la durabilité environnementale par la réduction des impacts écologiques, la diminution des émissions, l’optimisation de la consommation d’énergie et la gestion responsable des déchets, souligne la même source, notant qu’elle s’inscrit dans la vision du Royaume du Maroc, qui place le développement durable au cœur de sa politique nationale, visant à concilier croissance économique et protection de l’environnement.

La réussite de l’audit reflète également, selon l’Office, l’implication de tous les collaborateurs par la prise d’initiatives en vue d’améliorer les performances environnementales conformément à la politique de l’ONEE dans ce domaine.

La Centrale de Dakhla, dotée d’une puissance installée de 76 MW, est la troisième à obtenir cette distinction après la Centrale de Tan Tan -115,5 MW – en mars 2023 et la Centrale de Laâyoune -93 MW- en février 2024.



Le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, a présidé, le 30 juillet à M’diq, une réunion du comité de pilotage du Programme national d’approvisionnement en eau potable et d’irrigation 2020-2027.

Cette réunion a été axée sur les moyens de renforcer la dynamique de mise en œuvre de ce programme et d’actualiser ces différents axes, de manière à accélérer la réalisation des investissements à caractère urgent à entreprendre dans le secteur de l’eau, ainsi que sur l’examen des priorités contenues dans le Discours Royal adressé à la Nation à l’occasion du 25è anniversaire de la Fête du Trône.

Au début de cette réunion, M. Akhannouch a mis l’accent sur la teneur du Discours Royal qui a tracé les grands axes à même de permettre de relever les défis liés à la problématique de l’eau, ainsi que sur l’appel du Souverain à la nécessité d’une mise à jour continue des leviers de la politique nationale de l’eau et d’une mise en œuvre des différents projets dans un total respect des délais fixés et sans aucun retard.

En droite ligne avec les Hautes Instructions Royales, le gouvernement ne ménagera aucun effort pour veiller à la concrétisation optimale de l’ensemble des volets du Programme national d’approvisionnement en eau potable et d’irrigation 2020-2027, en vue d’assurer la mise en œuvre de l’ensemble de ses projets avec la célérité et l’efficience requises et réaliser ses objectifs d’atténuer les effets du stress hydrique, en phase avec les aspirations de Sa Majesté le Roi.

Lors de cette réunion, le Chef du gouvernement a exhorté les différents départements gouvernementaux concernés à relever la cadence des investissements liés à l’eau et de leur mise en œuvre, selon le calendrier arrêté, affirmant que le comité de pilotage intensifiera ses réunions pour suivre de près le déroulement des différents programmes arrêtés.

Cette réunion s’est déroulée en présence du ministre de l’Intérieur, Abdelouafi Laftit, du ministre de l’Equipement et de l’Eau, Nizar Baraka, et du ministre de l’Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts, Mohamed Sadiki.



La contribution et l’engagement de la jeunesse africaine contre le changement climatique et ses défis ont été au centre d’une rencontre organisée, le 19 juillet à Rabat, dans le cadre de la Conférence régionale de la jeunesse en Afrique (RCOY-Afrique).

Tenue pour la première fois au Maroc, cette conférence a été initiée par la Faculté de gouvernance, sciences économiques et sociales de l’Université Mohammed VI Polytechnique (FGSES-UM6P), en partenariat avec le Fonds des Nations unies pour l’enfance (UNICEF), l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID), le ministère de la Jeunesse, de la Culture, et de la Communication et le ministère de la Transition énergétique et du Développement durable.

S’exprimant à cette occasion, la présidente du Conseil national des droits de l’homme, Amina Bouayach, a souligné que les efforts de lutte contre les changements climatiques sont des opérations de protection des droits de l’homme et de promotion de développement inclusif, ajoutant que le Conseil est engagé à promouvoir la participation des jeunes des douze régions du Maroc, qui sont “les protagonistes d’aujourd’hui et de demain par leurs initiatives, leur mobilisation et leur motivation”.

Les solutions innovantes pour anticiper les défis posés par les changements climatiques passent par le renforcement des mécanismes de participation des jeunes, des femmes et des enfants, a-t-elle soutenu, faisant observer que le CNDH agit et plaide pour l’inclusion des jeunes en favorisant les espaces et les opportunités, et encourage leur participation à tous les niveaux.

De son côté, la directrice de la jeunesse au ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, Kenza Abourmane, a noté qu’il est essentiel de considérer le rôle de la jeunesse dans les politiques de développement durable, d’éco-responsabilité et de protection de l’environnement.

Le Département de la Jeunesse a intégré la protection de l’environnement dans ses programmes et ses activités conformément à la Sage Vision Royale, en accordant une priorité aux questions environnementales et aux défis climatiques dans les politiques nationales en mettant en avant l’importance d’inclure les jeunes dans le développement socio-économique, culturel et politique.

Pour sa part, la représentante de l’Unicef au Maroc, Speciose Hakizimana, a salué le Leadership de SM le Roi Mohammed VI qui a fait de la transition énergétique et de la gestion des effets du changement climatique des priorités absolues, relevant que le Royaume a entrepris des mesures de grande envergure pour faire face à la crise climatique, avec le développement des énergies renouvelables, le Plan Maroc Vert et le Plan climat national 2030.

L’Unicef s’emploie à donner aux jeunes les moyens de participer activement aux débats sur le climat, en leur fournissant les outils nécessaires pour défendre leurs intérêts au sein de leurs communautés, auprès des décideurs locaux et dans le cadre des négociations mondiales, a-t-elle fait observer.

Cette conférence de trois jours vise à renforcer la stratégie panafricaine d’action des jeunes pour le climat, à travers des ateliers qui traitent de thématiques diverses, telles que la finance et l’entrepreneuriat verts, les solutions d’adaptation des communautés au changement climatique, les menaces pesant sur l’écosystème, et la raréfaction de ressources primordiales comme l’eau et les denrées alimentaires.

RCOY-Afrique est un événement annuel traitant du changement climatique sous l’égide de YOUNGO, le groupe officiel des enfants et des jeunes de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques. Cet évènement est organisé avant la Conférence globale de la jeunesse et la Conférence des Parties, et intervient après les Conférences Locales de la jeunesse.



Vivo Energy Maroc, vient d’inaugurer son nouveau centre « Shell Helix Centre d’entretien automobile » hors station-service à Casablanca. Ce centre automobile multiservice offre des prestations de tôlerie, peinture, pneumatique, lavage, ainsi que des services rapides tels que le remplacement de plaquettes de frein et la vidange, le tout sans rendez-vous préalable. Cette ouverture s’inscrit dans le cadre de la stratégie de développement de Vivo Energy Maroc visant à se rapprocher continuellement de ses clients. 

« Pour lancer ce nouveau concept à Casablanca, nous avons déployé une équipe qualifiée et dédiée, ainsi que des équipements modernes. Notre objectif est de fournir tous les services essentiels dont nos clients ont besoin pour l’entretien ou la réparation de leurs véhicules. Nous nous engageons à renforcer notre relation de proximité avec nos clients, en offrant des services fiables et de haute qualité. Nous poursuivrons une stratégie d’amélioration continue pour garantir une satisfaction client optimale », a précisé Tarik Barakat, Directeur Lubrifiants chez Vivo Energy Maroc.

Situé au cœur de Casablanca, sur le boulevard Moulay Driss 1er, ce nouveau centre, réalisé en partenariat avec le garage MYD, une référence de services automobiles existant depuis plus de 25 ans, est équipé des dernières technologies et dispose d’une grande capacité d’accueil. Les équipes de Vivo Energy Maroc déploient tous les efforts nécessaires en termes d’accompagnement, de formation et de suivi pour garantir la plus haute qualité de service au sein de ce centre. Conçu comme un « One Stop Shop », il propose une gamme complète de services visant à rendre l’entretien automobile plus efficace et moins contraignant. Une véritable amélioration de l’expérience client, qui demeure la priorité de Vivo Energy Maroc. 

« Avec ce nouveau centre, nous consolidons notre concept « Shell Helix Centre d’entretien automobile », qui complète notre offre de services. Il permet à nos clients de bénéficier d’un entretien et de réparations automobiles de qualité sans rendez-vous préalable. Le Shell Helix Service Centre représente une avancée significative pour améliorer l’expérience client, en offrant des services fiables et une attention particulière à leurs besoins », a déclaré Salwa Benslimane, Directrice Marketing chez Vivo Energy Maroc.

Cette nouvelle ouverture témoigne de l’engagement de Vivo Energy Maroc à s’engager dans une stratégie globale de proximité avec ses clients. Avec un maillage territorial de plus de 430 stations-service Shell à travers le Royaume, Vivo Energy Maroc poursuit avec la montée en gamme de services associés à la maintenance en dehors de son réseau propre. L’entreprise enrichit en permanence une offre complète et dynamique de produits et de services, tant dans ses stations-service qu’en dehors. Ambitionnant d’être l’entreprise leader et la plus respectée dans le secteur de l’énergie, Vivo Energy Maroc vise à assurer une couverture nationale tout en respectant les standards internationaux de qualité les plus exigeants.



En préparation de la saison de pic de trafic routier, Vivo Energy Maroc lance sa campagne de sensibilisation à la sécurité routière « Vigilance, Roulez Prudence ». Cette initiative, organisée en partenariat avec l’Agence Nationale de la Sécurité Routière (NARSA) et La Société Nationale des Autoroutes du Maroc (ADM), s’est tenu du 12 au 14 juillet dans plusieurs stations-service Shell du réseau autoroutier de Vivo Energy Maroc. 

Inscrit dans le cadre du mouvement citoyen #CodeWahed, l’opération prévoit diverses actions de sensibilisation à la sécurité routière à travers un programme interactif et ludique.

La campagne coïncide avec la période estivale particulièrement connue pour son pic de trafic autoroutier à l’occasion des départs en vacances d’été et de l’arrivée des Marocains résidents à l’étranger. Elle a pour principal objectif de sensibiliser les conducteurs et passagers aux dangers de la route.

Au menu de cette édition, des actions de sensibilisation et d’éducation conduites par des animateurs formés par Vivo Energy Maroc et la NARSA seront déployées dans sept stations-service du réseau autoroutier national. L’opération prévoit également la distribution de kits contenant un guide de la sécurité routière destinés aux enfants et aux parents, un kit de coloriage ainsi que d’autres articles de sensibilisation.

« Notre engagement pour la sécurité routière est un axe fondamental de notre responsabilité citoyenne et de notre culture d’entreprise. Avec l’opération ‘Vigilance, Roulez Prudence’, nous visons à sensibiliser un maximum d’automobilistes pendant cette période de fort trafic. La collaboration avec la NARSA et ADM est essentielle pour renforcer nos efforts de sensibilisation et de prévention des accidents de la route. » a déclaré Matthias de Larminat, Directeur Général de Vivo Energy Maroc.

« La campagne « Vigilance, Roulez Prudence » est un pilier de notre partenariat avec Vivo Energy Maroc. Chaque année, cette initiative contribue à sensibiliser les conducteurs sur l’importance de la sécurité routière. Nous sommes reconnaissants du dévouement de Vivo Energy Maroc à cette cause nationale » a déclaré Benacer Boulaajoul, Directeur de l’Agence Nationale de la Sécurité Routière.

Vivo Energy Maroc est fortement attachée à l’ancrage d’une forte culture de la sécurité routière en interne comme en externe. Depuis plusieurs années, l’entreprise a mis en place un programme intégral de sécurité routière qui vise à promouvoir un changement culturel dans les comportements des usagers sur la route. Ce programme est destiné non seulement à ses collaborateurs mais aussi au grand public, avec une attention particulière accordée aux enfants. En collaboration avec ses partenaires, Vivo Energy Maroc continue de travailler pour améliorer la sécurité sur les routes marocaines.