Le Maroc et le Conseil mondial de l’Eau lancent la 7ème édition du Grand Prix mondial Hassan II de l’Eau, l’une des plus prestigieuses distinctions internationales dans le secteur de l’eau.

Le ministère de l’Équipement, du transport, de la logistique et de l’eau a indiqué que ce prix organisé sous le thème général “Coopération et solidarité dans les domaines de la gestion et du développement des ressources en eau“, récompensera les projets, les œuvres et les initiatives qui s’inscrivent dans le cadre du thème spécifique “la sécurité de l’eau dans les territoires pour le développement durable et la sécurité alimentaire“.

L’objectif est d’encourager les efforts visant à renforcer les liens existants entre la sécurité hydrique, la sécurité alimentaire et le développement durable, ainsi que de promouvoir les approches ou techniques ayant apporté des réponses aux problèmes en relation avec ces domaines interdépendants, notamment lorsqu’elles s’inscrivent dans une dimension territoriale.

Le Prix, dont la valeur est estimée à 500.000 dollars US, sera remis lors d’une cérémonie spéciale programmée à l’occasion de la session plénière d’ouverture du Forum mondial de l’Eau, prévue en mars 2022 à Dakar, au Sénégal.  Le gagnant recevra, aussi, un trophée et un certificat, alors que la valeur du Prix était de 100 000 dollars lors des six éditions précédentes.

Les modalités de candidature et les informations supplémentaires relatives à la 7ème édition sont publiées sur le site officiel du ministère et celui du Conseil mondial de l’Eau. Les candidatures, dont le formulaire est disponible en ligne sur le site : www.hassan2gwwp.org, sont à soumettre au secrétariat du Grand Prix mondial Hassan II de l’Eau avant le 31 décembre 2021.

Le Prix est attribué à une personne, un groupe de personnes, une institution ou une organisation ayant accompli une importante contribution dans les domaines du développement et de l’utilisation des ressources en eau, au niveau tant scientifique qu’économique, technique, environnemental, social, institutionnel, culturel ou politique.

Le Comité permanent de cette édition, présidé par le ministère de l’Équipement, du transport, de la logistique et de l’eau du Maroc, est composé de Loïc Fauchon, président du Conseil mondial de l’Eau, Ahmed Reda Chami, président du Conseil économique, social et environnemental (CESE), Driss Dahak, ex-secrétaire général du gouvernement et membre de l’Académie du Royaume du Maroc, Rui Godinho, président de l’Association portugaise des services d’eau et d’assainissement, Nouzha Chekrouni, professeur, ex-ministre et ex-ambassadeur, et Guy Fradin, conseiller spécial du Président du Conseil Mondial de l’Eau.

Créé en 2002 et attribué pour la première fois lors du 3ème Forum mondial de l’Eau de Kyoto au Japon , en 2003, le Grand Prix Mondial Hassan II de l’Eau est une initiative menée conjointement par le Royaume du Maroc et le Conseil mondial de l’Eau, à la mémoire de Feu Sa Majesté le Roi Hassan II pour sa vision éclairée et stratégique en matière de protection et de gestion intégrée et durable des ressources en eau, ainsi que ses actions en faveur de la coopération internationale.

M.Abderrahim El Hafidi, Directeur Général de l’Office National de l’Electricité et de l’Eau Potable (ONEE) et Président de l’Union Arabe de l’Electricité (UAE), a présidé les 7 et 8 septembre 2021, la 55èmesession du Conseil d’Administration et une réunion extraordinaire de l’Assemblée Générale l’Union.

Les Directeurs Généraux d’une vingtaine de compagnies arabes de l’électricité, membres de l’UAE, ont pris part à ces rencontres qui, en raison du contexte sanitaire mondial, se sont tenues en mode virtuel.

Cette réunion a constitué une opportunité pour les membres de l’UAE pour échanger autour des avancées des travaux de restructuration et de modernisation de l’Union et qui s’inscrivent dans la continuité de l’ambitieuse feuille de route mise en place par le Directeur Général de l’ONEE depuis que ce dernier a été porté à la Présidence de l’UAE en décembre 2018. L’objectif de cette feuille de route est de construire une vision commune du marché arabe de l’électricité et permettre à l’UAE de renforcer son rôle dans le secteur mondial de l’énergie.

Pour atteindre ses objectifs, l’UAE s’est attelé à la préparation d’un plan stratégique qui trace les missions, étapes et démarches à entreprendre. Le but étant le développement et l’amélioration des performances, la maîtrise des ressources et l’efficience.

L’ensemble de ces défis à relever par l’UAE sont d’autant plus ambitieux eu égard aux conditions difficiles liées à la pandémie sanitaire au niveau mondial. En effet, la pandémie qui a également impacté le secteur de l’électricité, a poussé les entreprises à prendre de nouvelles mesures et innover pour continuer à assurer la continuité d’approvisionnement dans les meilleures conditions tout en appliquant des mesures de précaution pour protéger la sécurité des clients et des utilisateurs.

Ces réunions ont été aussi l’occasion d’inviter tous les membres ainsi que leurs partenaires à participer à la prochaine Conférence Générale de l’Union, qui se tiendra du 20 au 22 mars à Doha au Qatar. Un événement très attendu dans le secteur, qui rassemblera des conférenciers et personnalités de renom qui débattront de la thématique: ” Vers une vision commune pour un avenir prometteur pour l’électricité dans le Monde Arabe “. Une exposition sera organisée en marge et sera l’occasion pour les partenaires d’exposer leurs savoir-faire.

Créée en 1987, l’UAE compte parmi ses membres la majorité des entreprises électriques des pays arabes. Basée à Amman en Jordanie, l’UAE a pour mission principale le renforcement et le développement du secteur électrique dans les domaines de la production, du transport et de la distribution. L’UAE coordonne également les centres d’intérêt des pays membres et joue un rôle de facilitateur des échanges et actions de coopération entre eux.

L’Union compte 19 pays membres à savoir, l’Algérie, l’Arabie Saoudite, le Bahreïn, l’Egypte, les Emirats Arabes Unis, l’Irak, la Jordanie, le Koweït, le Liban, la Libye, le Maroc, la Mauritanie, la Palestine, le Qatar, le Soudan, le Sultanat d’Oman, la Syrie, la Tunisie et le Yémen.

Les travaux de l’UAE sont menés par 6 commissions chargées de la planification, de la coordination d’exploitation des interconnexions arabes, des énergies renouvelables, de l’ingénierie et production, des ressources humaines et de la distribution.

Lydec a réalisé un chiffre d’affaires (CA) de plus de 1,81 milliard de dirhams au titre du deuxième trimestre 2021, en hausse de 6,8% par rapport à la même période de l’année précédente.

Cette tendance s’explique par une reprise des ventes par rapport au deuxième trimestre 2020 (+11%) qui était fortement impacté par un confinement généralisé en lien avec la pandémie.

Néanmoins, les ventes de fluides sur T2-2021 restent encore inférieures à celles constatées en T2-2019 dues à la poursuite des effets de la pandémie sur les ventes électricité, note la même source, relevant que les recettes de travaux et de maîtrise d’œuvre ont affiché, quant à elles, une baisse de 14,2% par rapport à la même période de l’année précédente.

Dans le détail, le CA électricité au 2ème trimestre de l’année s’est établi à plus de 1,10 MMDH en hausse de 13,2% par rapport à la même période de l’année précédente, mais en retrait de 3,1% par rapport à 2019.

Sur la même période, le CA d’eau potable a atteint 364 millions de dirhams, en hausse de 5,5% par rapport au 2ème trimestre 2020.

Les investissements de la Gestion Déléguée se sont élevés, pour leur part, à 203 MDH, en retrait de 7,7% par rapport au 2ème trimestre de l’année 2020. En cumul depuis le début de l’année, ces investissements enregistrent une baisse de 23,8% pour s’établir à 285 MDH, impactés par les fortes précipitations du début d’année et des retards de mise en œuvre ou d’autorisations administratives.

A fin mars 2021, Lydec précise que le niveau d’endettement net a atteint 1,286 MMDH, en baisse de 30% par rapport à l’année dernière qui était fortement impactée par les effets de la crise sanitaire sur les encaissements clients.

Le ministère de l’Aménagement du territoire national, de l’urbanisme, de l’habitat et de la politique de la ville a signé, le 7 septembre à Rabat, une convention-cadre de partenariat avec la Société d’ingénierie énergétique (SIE), pour l’amélioration de la performance énergétique de ses bâtiments.

S’inscrivant dans le chantier de l’exemplarité de l’administration, un axe primordial de la stratégie nationale du développement durable, ce partenariat vise à mettre à profit l’expérience de la SIE, en tant que Super ESCO s’activant dans plusieurs secteurs en lien avec l’efficacité énergétique, afin d’implémenter des mesures permettant d’améliorer la performance énergétique des bâtiments du ministère.

Les mesures prévues par la convention-cadre sont de nature à réduire le niveau de consommation de l’énergie fossile, à développer l’efficacité énergétique et à renforcer le recours aux énergies renouvelables dans les bâtiments de ce département.

Ainsi, la convention-cadre porte sur des solutions technologiques relatives à l’efficacité énergétique afin de rationaliser la consommation de l’énergie, à l’autoproduction des énergies renouvelables, au traitement et à la valorisation des énergies

«Notre ministère entreprend plusieurs démarches pour mettre en œuvre la charte de l’exemplarité de l’administration», explique à ce propos Mme Soraya Khalil, directeur de la qualité et des affaires techniques au ministère.

«Cette convention-cadre nous permettra de nous pencher sur la performance énergétique des bâtiments du ministère, pour en faire un exemple à suivre en termes de durabilité, d’économie d’énergie et de traitement et valorisation des déchets», explique la responsable. «Notre ambition est de généraliser cette initiative à tous les bâtiments au Royaume et d’accélérer la cadence de ce chantier».

De son côté, le directeur développement au SIE Ahmed Bouzid, a indiqué que cette convention-cadre s’inscrit dans le développement de l’efficacité énergétique de l’ensemble des établissements et bâtiments relevant du ministère au niveau national, ajoutant que la Société assure la mission de chef d’ouvrage délégué et se charge de la mise à niveau énergétique des bâtiments.

En vertu de cette convention-cadre, la SIE mènera des études énergétiques et réalisera les projets relatifs à la mise à niveau de l’éclairage et à l’usage des panneaux photovoltaïques, en plus d’ateliers de formation destinés au personnel, afin d’optimiser et de rationaliser l’usage de l’énergie au sein de ces bâtiments.

Les intervenants à cette occasion ont souligné l’importance de cette convention-cadre qui est de nature à améliorer le quotidien du personnel du ministère, en rationalisant la consommation de l’énergie et l’émission de déchets et en maîtrisant l’efficacité énergétique, rappelant l’importance accordée à la dimension environnementale par le Nouveau modèle de développement.

Une “War Room Green Economy” a été lancée, le 7 septembre à Rabat, avec pour objectif de promouvoir un écosystème performant dédié au développement de projets verts, créateurs d’emploi et soutenant l’industrie nationale.

La nouvelle structure multipartite, inaugurée par le ministre de l’Industrie, du Commerce et de l’Économie verte et numérique en partenariat avec l’Agence marocaine pour l’Efficacité énergétique (AMEE), vise la mise en place d’un cadre attractif pour l’émergence d’un écosystème favorable à l’économie verte.

Cet écosystème, basé à l’AMEE, devra permettre de générer de l’emploi pérenne, de soutenir l’industrie marocaine à substituer les importations et augmenter les exportations tout en décarbonant ses process, d’améliorer la balance commerciale et de relancer l’économie post-covid à travers une banque de projets.

A cette occasion, le Directeur général de l’AMEE, Saïd Mouline, a fait savoir que l’esprit de cette “War Room Green Economy” est de regrouper l’ensemble des projets liés aux énergies renouvelables, à l’efficacité énergétique, à la mobilité durable ou encore à l’économie circulaire, avec pour ambition de faciliter les investissements dans ces domaines aux acteurs aussi bien nationaux qu’internationaux.

Dans cette “War Room”, l’AMEE ainsi que les différents partenaires œuvreront à faciliter et promouvoir des investissements inhérents à l’économie verte, à travers notamment un accompagnement technique, sur le plan foncier, financier et réglementaire, a relevé M. Mouline.

Présentant ce nouveau dispositif, le DG de l’AMEE a indiqué que la “War Room” est structurée autour de 7 stations organisées autour d’un Project Management Office (PMO) au sein de l’Agence.

  1. Mouline qui a souligné l’importance de l’économie verte, particulièrement en termes de création d’emploi pour les jeunes du Maroc, a mis en relief les efforts du Royaume pour verdir son économie, notamment dans les secteurs les plus productifs.

Il a dans ce sens évoqué la présence au Maroc de clusters solaires et d’hydrogène vert, d’acteurs dans le Recherche et Développement ainsi que d’autres acteurs qui accompagnent cette transition vers une économie verte.

Les locaux de l’AMEE vont accueillir cette nouvelle “War Room” dédiée à l’économie verte, qui réunira les différentes parties prenantes autour d’une seule table pour garantir un cadre de cohérence globale et de réflexion collective, et fluidifier la circulation de l’information et l’échange de données inter-entités, en vue de réaliser des objectifs chiffrés.

Selon l’AMEE, ce dispositif permettra aussi une recherche plus rapide, efficace et flexible des ressources administratives à la recherche de solutions aux problématiques de l’économie verte et du développement durable.

La “War Room”, dont l’installation et la gestion se feront en parfaite coordination avec les différents partenaires, sera composée de 7 axes organisés autour d’un PMO au sein du siège de l’AMEE à Rabat. Les 7 axes représentent 7 chantiers qui regroupent l’ensemble des actions à entreprendre sur l’ensemble de la chaîne de valeur sur les plans réglementaires, d’approvisionnement, du foncier, et de normalisation. Les chantiers incluent également l’appui financier aux projets de valorisation, le renforcement des capacités et la communication.

Cette cellule, à travers ses différentes composantes et intervenants, servira ainsi à accélérer le processus de prise de décision, définir les priorités et adresser les prérequis, isoler et actionner les Quicks Wins, renforcer la coordination et le suivi des actions entre les différents ministères et partenaires, et garantir la levée des barrières auprès des porteurs de projets.

Selon l’AMEE, la banque des projets d’investissement vise à encourager l’entrepreneuriat industriel vert, affirmer la place industrielle du Maroc, et positionner le Maroc sur de nouveaux marchés liés à l’économie verte. Une première liste a permis d’identifier 35 fiches répartis sur l’ensemble du territoire national. Cette première vague de fiches sera complétée par des fiches élaborées par les différents partenaires.

Chariot (AIM : CHAR), la compagnie d’énergie de transition avec focus sur l’Afrique vient d’annoncer qu’elle a signé un contrat avec la société Stena Drilling, l’une des plus grandes sociétés de forage  au monde, pour l’utilisation de sa plate-forme de forage Stena Don pour le forage du puits d’évaluation du gisement  de gaz Anchois sur le permis de Lixus, au large du Maroc. Il est prévu que les opérations de forage commencent en décembre 2021 et durent environ 40 jours.

Stena Don est une plate-forme semi-submersible, adaptée au forage, à la complétion et aux opérations de reconditionnement de puits offshore.

Objectifs du forage d’appréciation :

  • Permettre le développement des sables découverts en confirmant les volumes des ressources en gaz naturel, la qualité des réservoirs et la productivité des puits.
  • Fournir un puits de production pour le développement futur du champ.
  • Potentiellement approfondir le puits dans d’autres sables potentiels dans le but d’établir une base de ressources plus large pour un potentiel de croissance plus grand et à plus long terme.

Selon Adonis Pouroulis, PDG de Chariot, « La signature de ce contrat est une étape importante dans notre campagne de forage prévue sur le permis Lixus, au large du Maroc. Nous prévoyons que le forage débute en décembre pour une durée de 40 jours. En tant qu’équipe, nous nous sommes concentrés sur la réalisation de la campagne de forage pour laquelle nous avons récemment levé  des fonds, et nous sommes heureux que l’attribution de ce contrat nous rapproche un peu plus de cet objectif. Nous sommes impatients de tenir nos partenaires au courant alors que nous nous rapprochons de la date du démarrage des opérations. ».

De plus amples informations sont disponibles sur https://www.stena-drilling.com/ourfleet/stena-don/

Le Maroc et la Hongrie ont convenu de renforcer leur coopération en matière d’éducation et de formation sur les utilisations pacifiques de l’énergie nucléaire.

Un mémorandum d’entente a été signé, dans ce sens, le 3 septembre à Rabat, entre le ministère de l’Énergie, des Mines et de l’Environnement et le ministère hongrois de l’Innovation et de la Technologie. Il vise l’établissement d’une coopération à long terme entre les deux parties qui s’engagent à travailler en étroite collaboration pour mettre en place de programmes en matière de formation et d’éducation, notamment dans les domaines du développement de la recherche fondamentale et appliquée, des sciences et technologies nucléaires et de la réglementation sur les utilisations pacifiques de l’énergie nucléaire.

Les deux parties s’engagent, en vertu de cet accord, à développer la capacité industrielle locale, à travers la coopération commerciale entre les fournisseurs des deux pays de biens et services et l’élaboration de programmes d’échanges d’étudiants, professeurs et doctorants entre les universités marocaines et hongroises avec la participation d’instituts de recherche.

Dans une déclaration à cette occasion, l’ambassadeur de Hongrie au Maroc, Miklós Tromler, s’est félicité de la signature de cet accord entre deux pays membres de l’Agence internationale de l’énergie atomique, lequel accord se focalisera sur l’utilisation pacifique de l’énergie nucléaire, mais aussi la non-prolifération des armes nucléaires.

Ce mémorandum, qui s’inscrit dans le cadre d’une coopération bilatérale de longue date, vise la formation des professionnels du secteur et l’échange des bonnes pratiques et des informations entre universités, chercheurs, instituts et centres de recherche, notamment en matière de gestion des crises, tout en mettant l’accent sur l’aspect pacifique de l’énergie nucléaire.

Il concerne aussi “le développement de technologies nucléaires et radiologiques et l’élaboration de recherches conjointes pour promouvoir cette belle coopération entre les deux pays”. Par ailleurs, l’ambassadeur a indiqué que les relations politiques et économiques entre le Maroc et la Hongrie ont toujours été “bonnes” à la faveur de plusieurs visites de haut niveau effectuées de part et d’autre. Au Maroc, les techniques nucléaires sont utilisées dans plusieurs secteurs, notamment la santé, l’industrie, l’enseignement et la recherche, l’agriculture et l’énergie, entre autres. De plus, la première installation nucléaire du Royaume a vu le jour à travers le réacteur nucléaire de recherche et les laboratoires associés, réalisée par le Centre national de l’énergie, des sciences et des techniques nucléaires et basée au Centre d’études nucléaires de la Maâmora.

La mise à niveau du cadre législatif a été opérée à travers la promulgation de la loi 142.12 relative à la sûreté et à la sécurité nucléaires et radiologiques et à la création de l’Agence marocaine de sûreté et de sécurité nucléaires et radiologiques, ainsi que de la loi 12.02 concernant la responsabilité civile en cas de dommages nucléaires.