Vivo Energy Maroc est le premier réseau pétrolier acceptant le paiement mobile dans ses stations-service Shell. Une mesure qui répond à la fois à l’enjeu de santé et de sécurité de ses clients en période de coronavirus et de manière générale à la volonté de l’entreprise d’améliorer l’expérience client en offrant plus de rapidité et de convivialité.

La crise sanitaire actuelle accentue le recours à des moyens de paiement « Cashless » (sans espèces) afin de réduire les risques de contamination par le Covid-19. Vivo Energy Maroc, soucieuse d’offrir à ses clients un moyen de paiement sûr et rapide, a mis en place une alternative de paiement dite « Contactless » (sans contact). Cette solution couvre l’ensemble du réseau des stations-service Shell au Maroc. Le déploiement de ce dispositif s’est fait sur une période de deux semaines, depuis le 15 juin au niveau de toutes les stations-service Shell de la région de Casablanca. Le déploiement sur le reste des régions du Royaume suivra au début du mois de juillet.

Le réseau de stations-service Shell sera le premier au Maroc à être équipé de Terminaux de Paiement électronique (TPE) Multi-applicatifs de dernière génération qui accepteront le paiement de tous les clients détenteurs d’un M-Wallet (porte-monnaie mobile), quel que soit son émetteur. Ils pourront effectuer des paiements mobiles dans les stations-service Shell pour tout achat de produit ou de service à la pompe ou en boutique. Ces TPE accepteront tous types de moyens de paiements disponibles sur le marché : Carte bancaire avec & sans contact, Mobile NFC (Near Field Communication) et QR code dynamique. De plus, à travers ces mêmes TPE les M-Wallet étrangers seront également acceptés, à savoir : Ali Pay, Google Pay, Apple Pay & Samsung Pay.

Cette solution innovante a été développée avec le Centre Monétique Interbancaire (CMI), partenaire dans le domaine du Paiement Électronique de Vivo Energy Maroc et principal pourvoyeur de TPE dans le royaume. CMI détient également l’exclusivité de paiement via Mobile NFC, technologie que Vivo Energy Maroc propose dans son réseau Shell permettant à un Smartphone disposant de la fonctionnalité NFC de payer via un TPE sans contact.

Le portail européen « Politico » a souligné le potentiel du Maroc pour approvisionner l’Europe en hydrogène vert, en tant que source d’énergie renouvelable d’avenir pour le Vieux Continent.

Ce potentiel est confirmé par la signature récemment d’un accord entre l’Allemagne et le Royaume pour mettre en place une usine pilote de production d’hydrogène propre dans le but d’atténuer 100.000 tonnes de CO2, a relevé le site d’information européen dans un article faisant partie du rapport spécial « Le Monde en 2050 », mettant en avant l’intérêt croissant de l’Europe pour l’hydrogène vert en tant que pilier de la transition énergétique.

Le site souligne à cet égard que l’accord signé avec le Maroc s’inscrit dans le cadre d’une stratégie plus large de l’hydrogène en Allemagne qui vise à investir 9 milliards d’euros pour stimuler la production de carburant propre, dont 2 milliards d’euros seront utilisés pour augmenter la production étrangère, y compris au Maroc. Cette stratégie tend à améliorer les conditions-cadres de production et d’utilisation de l’hydrogène, à mettre en place les structures d’approvisionnement nécessaires et à faire avancer la recherche scientifique et les innovations.

Le portail européen note que l’initiative allemande n’est pas le seul gros investissement dans les énergies renouvelables reliant le Maroc et l’UE, faisant référence en particulier au méga projet Noor Ouarzazate, « la plus grande centrale solaire concentrée au monde ».
« Politico » fait remarquer, en outre, que le Maroc est « le seul pays d’Afrique du Nord qui dispose d’un câble d’alimentation le reliant au réseau européen ».

Par ailleurs, le potentiel du Maroc pour la production de l’hydrogène est conforté par son positionnement en Afrique. Le site cite dans ce sens la déclaration du ministre allemand du Développement, Gerd Müller, qui a affirmé, à l’occasion de la signature de l’accord la semaine dernière, que « les conditions de production d’hydrogène en Afrique sont idéales ».

Pour le média européen, si l’Europe tire actuellement une grande partie de son énergie de l’autre côté de la Méditerranée, cela pourrait ne pas changer dans un monde climatiquement neutre. « Plus nous pouvons avoir une double utilisation des infrastructures, mieux c’est – aussi pour rendre la transition vers l’hydrogène vert abordable à l’avenir », avait assuré le chef de la Commission en charge du plan vert européen « Green Deal », Frans Timmermans, rapporte le site.

Le Maroc, à travers la Mission permanente du Royaume à Genève, a été distingué par le Programme des Nations unies pour l’Environnement (PNUE) et la Suisse, dans le cadre de initiative « Greening the Permanent Missions in Geneva (verdissement des missions permanentes) ». La Mission du Maroc, qui avait lancé le projet de la “Mission verte et durable” depuis décembre 2019, figure sur une liste restreinte de cinq représentations diplomatiques qui ont été félicitées pour leurs actions visant à réduire leur empreinte écologique dans le cadre de l’initiative « Greening the Permanent Missions in Geneva », lancée par la plateforme Geneva Environment Network (GEN).

Il s’agit des missions, outre le Maroc, des États Unis, de la France, de la Suisse, et du Royaume Uni. Le GEN (Réseau environnement de Genève) est un partenariat coopératif de plus de 100 organisations environnementales et du développement durable basées à la Maison internationale de l’environnement à Genève et dans la région. Son Secrétariat, soutenu par l’Office Fédéral de l’Environnement, est administré par le PNUE.

« Le Maroc a été le premier des pays du Maghreb à accueillir la Conférence des Parties à la Convention des Nations Unies sur les changements climatiques. La Mission a développé le concept «Mission verte et durable», qui s’inscrit dans la politique environnementale continue du Maroc, et pourrait à terme, déboucher sur un projet et un objectif commun à toutes les ambassades du pays », précise un communiqué publié sur le site de GEN.

Afin d’encourager un comportement responsable au bureau, un guide des bonnes pratiques a été élaboré pour proposer des actions à entreprendre autour de quatre piliers (eau, électricité, déchets, mobilité), ajoute la même source.

Dans le cadre de ce projet, la Mission du Maroc auprès de l’Office des Nations unies et des autres Organisations Internationales à Genève a été soumises à un “Diagnostic environnemental”. Il s’agit d’une évaluation des actions de la Mission en termes de consommation d’électricité, d’énergie et d’eau, de la gestion du tri des déchets dans l’enceinte des locaux, des modes de transport et de sensibilisation sur les enjeux environnementaux. Le Maroc est le seul pays africain, arabe et pays en développement ayant lancé le projet de promouvoir une Mission plus écologique. Créé en 1999, le GEN organise régulièrement des événements et sensibilise aux problématiques environnementales.

Le ministère de l’Industrie, du Commerce, de l’Économie Verte et Numérique a lancé un appel à projets verts Ecostart, en partenariat avec l’Agence de Coopération Internationale allemande (GIZ) et le soutien de l’Union européenne, portant sur l’accompagnement des entrepreneurs spécialisés dans l’économie verte.

S’inscrivant dans le cadre du programme Taahil Al Mokawalat TAM III, cet appel à projets est initié en partenariat avec l’Agence GIZ et le programme Maroc-Union européenne (UE) d’appui à la compétitivité et à la croissance verte (PACC). L’initiative Ecostart, mise en œuvre par l’Agence Maroc PME et l’Agence Marocaine pour l’Efficacité énergétique (AMEE), a pour objectif d’offrir un accompagnement entrepreneurial d’une durée de 3 mois à 50 entrepreneurs en phase d’amorçage et spécialisés dans l’économie verte.

Cet appel à projets s’adresse principalement aux autoentrepreneurs, microentreprises, startups et chercheurs qui opèrent dans l’efficacité énergétique, les énergies renouvelables, la gestion et valorisation des déchets, l’eau et l’assainissement liquide, le transport et l’écomobilité, les solutions digitales, les processus de transformation agricole durable, les éco-solutions et les services annexes à une industrie verte contribuant à la gestion des crises sanitaires comme celle du COVID19.

A l’issue de cet accompagnement et suite à une compétition finale, 10 lauréats bénéficieront d’une contribution financière pour l’acquisition d’équipements, de matériels et de solutions digitales. Les lauréats auront accès à un réseau d’incubateurs et d’accélérateurs, comme le Green Business Incubator du Cluster Solaire, partenaire technique d’Ecostart, de financiers et d’experts ainsi qu’à une visibilité nationale et internationale.

Les candidatures doivent être déposées en format électronique au plus tard le 07 juillet 2020 à travers le site électronique « www.ecostart.business ».

Le projet TAM III, mis en œuvre par la coopération allemande (GIZ) pour le compte du ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ), en partenariat avec le ministère de l’Industrie, du Commerce, de l’Économie Verte et Numérique (MICEVN), et d’autres partenaires publics et privés, se donne comme objectif de renforcer et d’améliorer les services d’accompagnement publics et privés pour les TPME marocaines.

Le Programme d’Appui à la Compétitivité et à la Croissance verte, financé par l’Union européenne (2016- 2022/ 105M€) apporte son soutien budgétaire et technique du Maroc, dans la mise en œuvre de stratégies et de programmes sectoriels favorables à l’industrie, l’entrepreneuriat, aux start-ups, à l’inclusion financière, à la facilitation des échanges et à l’économie verte.

Le ministre de l’Énergie, des mines et de l’environnement, Aziz Rabbah a souligné, lundi à Rabat, que le paiement des factures dues pendant la période de confinement au niveau de l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE) est rééchelonné.

Répondant à une question centrale à la Chambre des représentants relative au « plan du ministère pour contrer les répercussions de la pandémie du nouveau coronavirus, à la lumière du déconfinement progressif », le ministre a indiqué que quelques 11 millions de factures seront rééchelonnées et des facilités de paiement accordées, assurant que l’ONEE s’engage à ne pas couper l’électricité.

En ce qui concerne les mesures préventives pour faire face à la pandémie, M. Rabbah a mis en exergue la mise en place d’un comité de veille pour le suivi du processus d’approvisionnement en électricité, des stocks de combustibles alloués à la production électrique et de la continuité de l’approvisionnement dans les différentes régions du Royaume.

Ces mesures concernent, également, la fixation de délais supplémentaires pour la lecture des compteurs et la distribution des factures, a indiqué M. Rabbah, ajoutant que les consommations pendant la période de confinement feront l’objet d’un réexamen. Les équipes de maintenance de l’ONEE resteront mobilisées, notamment dans les zones reculées, a-t-il poursuivi.

Concernant les hydrocarbures et le gaz, le responsable gouvernemental a affirmé qu’il n’y avait pas le moindre déséquilibre dans ce domaine, grâce notamment à la coordination entre le ministère de l’Intérieur, de l’Économie, des Finances et de la Réforme de l’Administration, de l’Industrie, du Commerce, de l’Économie verte et numérique, des walis et gouverneurs et du secteur privé.

Abordant des répercussions de la pandémie sur le secteur des hydrocarbures, le ministre a relevé qu’une baisse de 70% des ventes a été remarquée dans les stations-services, ajoutant que certaines ont été contraintes d’arrêter leur activité compte tenu de l’absence de voyageur en la période de confinement.

Les moyens de renforcer le principe de préférence nationale en matière d’opportunités d’investissement dans les secteurs des mines et de l’énergie ont été au centre d’une réunion tenue récemment à distance. Cette réunion présidée par le ministre de l’Énergie, des mines et de l’environnement, M. Aziz Rabbah a été marquée par la présence de plus de 40 participants dont des représentants d’établissements publics de l’énergie et des mines placés sous la tutelle du ministère de l’Énergie, des mines et de l’environnement, ainsi que des représentants du ministère de l’Économie, des finances et de la réforme de l’administration, du ministère de l’Industrie et du commerce, de l’économie verte et numérique, du ministère de l’Équipement, du transport, de la logistique et de l’eau, en plus du secteur privé représenté par la Confédération générale des entreprises du Maroc, la fédération de l’énergie et la fédération de l’industrie métallurgique.

A cette occasion, M. Rabbah a mis en avant l’importance des projets d’investissement des secteurs de l’énergie et des mines, soulignant la nécessité de mobiliser tous les moyens disponibles pour permettre aux entreprises marocaines de bénéficier de ces opportunités d’investissement, particulièrement, en appliquant le principe de la préférence nationale, en tant que mécanisme important pour soutenir l’entreprise marocaine dans les circonstances actuelles afin de surmonter les répercussions économiques et sociales de la pandémie du coronavirus.

Au cours de cette rencontre, il a été procédé à la présentation du cadre organisationnel du principe de préférence nationale, ainsi que des mesures restantes adoptées dans les secteurs de l’énergie et des mines, qui contribuent à promouvoir la compétitivité des entreprises nationales et à l’inclusion d’un pourcentage d’intégration industrielle dans les affaires liées aux projets d’énergie renouvelable. Le ministre a, en outre, salué la grande expérience accumulée par certaines entreprises nationales en matière de l’énergie et des mines, appelant dans ce contexte, à former un comité restreint permanent composé des secteurs public et privé, pour déterminer, dans les plus brefs délais, les meilleures pratiques et proposer des recommandations liées aux réformes réglementaires afin de permettre aux entreprises marocaines de bénéficier davantage des opportunités d’investissement disponibles dans les secteurs de l’énergie et des mines.

L’accord entre le Maroc et l’Allemagne relatif au développement du secteur de la production de l’hydrogène vert, signé à Berlin, contribuera à l’accélération de la transition énergétique nationale, a indiqué, le 12 juin à Rabat le ministre de l’Énergie, des mines et de l’environnement, M. Aziz Rabbah.

La coopération dans le secteur du « Power to X », qui s’intègre dans le partenariat maroco-allemand en matière énergétique, contribuera à l’accélération de la transition énergétique nationale et à la mise en œuvre des engagements climatiques du Maroc, a déclaré M. Rabbah à la presse, mettant en exergue son rôle fondamental dans la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre, la création de perspectives d’emploi et la préservation de l’environnement.
« Le Maroc bénéficiera de cette coopération dans différents secteurs, tels que les transports, l’industrie ou les mines », a poursuivi le ministre, mettant en évidence la fiabilité du Royaume dans le domaine des énergies renouvelables.

Dans ce sens, le responsable gouvernemental a fait part de la volonté du ministère de mettre en œuvre des projets de recherche et d’investissement dans le secteur du « Power to X » dans le cadre d’une telle alliance avec l’Allemagne.

Par ailleurs, le ministre a relevé que la production d’hydrogène vert et son utilisation renferment un potentiel considérable avec des impacts climatiques positifs, affirmant qu’il permet un stockage à long terme de l’énergie et contribue à la décarbonatation du mix énergétique permise par le couplage sectoriel.

Abordant les progrès du Royaume dans le domaine des énergies renouvelables, M. Rabbah a mis en relief les avancées majeures du pays en la matière, affirmant qu’actuellement “le Maroc figure parmi les pays qui excellent dans le domaine du développement des énergies renouvelables”.

Liant le ministère marocain de l’Énergie, des mines et de l’environnement et le ministère allemand de la Coopération économique et du développement, l’accord vise à développer le secteur de la production d’hydrogène vert et à mettre en place des projets de recherche et d’investissement dans l’utilisation de cette matière, source d’énergie écologique. Deux premiers projets, qui ont déjà été annoncés dans la déclaration d’intention, seront mis en œuvre dans le cadre de la coopération économique entre le Maroc et l’Allemagne.

Il s’agit du projet « Power-to-X » pour la production de l’hydrogène vert proposé par l’Agence marocaine de l’énergie solaire (MASEN) et la mise en place d’une plateforme de recherches sur “Power-to-X”, le transfert des connaissances et le renforcement des compétences, en partenariat avec l’Institut de recherche en énergie solaire et énergies nouvelles (IRESEN).
Le Maroc et l’Allemagne sont liés, depuis 2012, par un partenariat énergétique qui accorde un intérêt particulier au secteur des énergies renouvelables, comme étant un moteur de coopération économique bilatérale.

 

La Fédération de l’Énergie a organisé, le 25 juin 2020, en partenariat avec l’IRESEN et John Cockerill, un webinaire sur le thème « L’hydrogène Vert : Une nouvelle opportunité Technologique et Industrielle pour le Maroc ».

Ce webinaire a réuni des intervenants, de haut niveau, représentants différentes institutions et sociétés (IRESEN, École Polytechnique de Montréal, John Cockerill, SIEMENS, ENGIE, MAN, Maghreb Oxygène et Norton Rose Fulbright) issus de quatre continents : Afrique, Europe, Amérique du Nord et Moyen orient.

La pertinence et la qualité des différentes interventions ainsi que leur complémentarité a permis aux nombreux participants à ce webinaire d’avoir une meilleure vision des différentes technologies de production de l’hydrogène à partir d’énergies de sources renouvelables, des différentes applications industrielles ainsi que l’environnement légal et financier propre à cette filière. Elles ont aussi permis d’avoir une idée plus claire du positionnement du Maroc, à l’échelle mondiale, et de ses atouts par rapport à ce nouveau marché d’avenir.

Cette thématique a suscité un réel intérêt puisque plus de 200 personnes ont participé à ce webinaire avec un taux d’intérêt de près de 80%.

Retrouvez la vidéo du webinaire et les présentations des intervenants sur ce lien.

L’Hydrogène Vert: Nouvelle Opportunité technologique et Industrielle pour le Maroc.

Webinaire organisé par le Fédération de l’Energie, L’Institut de Recherche en Energies Solaire et en Energies Nouvelles (IRESEN) et John Cockerill.

Retrouvez ci-après la vidéo du Webinaire et les liens vers les différentes présentations.

Programme :

L’Office national des hydrocarbures et des mines (ONHYM) et la société pétrolière CONOCOPHILLIPS MOROCCO VENTURES LTD ont procédé, le 12 juin, à la signature d’un contrat de reconnaissance portant sur la zone onshore dite « MESORIF » située au Nord du Maroc.
Ce contrat a été signé par Mme Amina Benkhadra, Directeur Général de l’ONHYM, et Mme Mélissa Anne Coleman, Vice-présidente de la société pétrolière CONOCOPHILLIPS MOROCCO VENTURES LTD. Cette signature s’est déroulée lors d’une réunion par visioconférence.
Ce contrat d’exploration des hydrocarbures, d’une durée de 2 ans, porte sur la réalisation d’études de géologie et de géophysique, ainsi que sur la réalisation d’une campagne d’acquisition sismique 2D qui sera réalisée la deuxième année.
Cette signature marque une nouvelle entrée au Maroc pour la compagnie CONOCOPHILLIPS depuis la fusion des deux entités Conoco et Phillips Petroleum fin 2001. Chacune de ces deux compagnies avait mené des travaux d’exploration au Maroc dans les années 1970 et 2000.
La compagnie pétrolière américaine CONOCOPHILLIPS COMPANY, société mère de CONOCOPHILLIPS MOROCCO VENTURES LTD, est l’une des plus grandes compagnies indépendantes d’exploration et production au niveau mondial en termes de production et de réserves prouvées. Elle a des intérêts dans des projets d’hydrocarbures dans dix-sept (17) pays dans les cinq continents.