Nexans Maroc a confié à ENGIE Services Maroc le projet de réalisation d’une centrale solaire photovoltaïque en toiture sur son usine de Mohammedia.

Dans un communiqué conjoint, les deux entreprises affirment avoir signé le 20 décembre 2019 un contrat d’une durée de 15 ans pour la conception, la réalisation, la mise à disposition, l’entretien et la maintenance de cette centrale photovoltaïque d’une puissance installée de 2,5 MW.

Cette installation s’étendra sur une surface de 13.000 m2 permettant de couvrir près de 22% des besoins annuels de l’usine en électricité et d’éviter l’émission de plus de 700 tonnes de CO2 par an (équivalant à l’absorption de CO2 de 5.833 arbres).

Le Directeur Général de Nexans Maroc, Karim BENNIS, cité par le communiqué, a indiqué que « l’installation de la centrale photovoltaïque sur notre site industriel de Mohammedia rentre dans la stratégie de Nexans d’être un acteur du développement durable par des investissements participant à la préservation de la planète ».

« De plus, cette autoproduction renforce le positionnement de Nexans dans les projets d’énergies renouvelables tant en produisant et commercialisant des câbles et des postes électriques pour les centrales de production éoliennes et solaires qu’en étant consommateur d’énergie propre », a-t-il ajouté.

Ce projet s’inscrit dans la nouvelle stratégie dédiée à la transition énergétique mise en place par ENGIE Services Maroc. ENGIE a récemment regroupé ses trois filiales dédiées aux services à l’énergie en une entité pleinement intégrée pour proposer à ses clients au Maroc, une offre de transition énergétique « As a Service », et les accompagner dans une transition énergétique zéro carbone.

Avec son offre solaire photovoltaïque dédiée à l’autoproduction, ENGIE permets à ses clients de produire tout ou partie de leurs propres besoins énergétiques en utilisant les surfaces solarisables dont ils disposent (toit ou parking).

L’offre solaire photovoltaïque ENGIE inclut le financement de la centrale solaire, la conception, l’installation, l’exploitation, et la maintenance de celle-ci. Elle contribue au développement de la production décentralisée d’électricité au Maroc et confirme l’ambition d’ENGIE de devenir le leader de la transition zéro carbone dans le pays.

« Avec cette centrale solaire photovoltaïque, nous concrétisons pour Nexans une offre innovante dans le secteur de l’énergie au Maroc. L’offre « as a service » concilie création de valeur et impact positif en proposant un modèle de solution intégrée, sur-mesure et cofinancée. Ce contrat s’inscrit pleinement dans la stratégie d’ENGIE d’accélérer la transition zéro carbone de ses clients », a déclaré Philippe MIQUEL, Président Directeur Général d’ENGIE Services Maroc.

Le Ministère de l’énergie, des mines et de l’environnement (MEME) et l’Agence marocaine pour l’énergie durable (MASEN) annoncent, le 30 janvier, le lancement de l’Appel à Manifestation d’Intérêt (AMI) relatif au développement de projets solaires photovoltaïques, dans le cadre du Programme solaire multi-sites Noor PV II (phase 1), lancé par SM le Roi Mohammed VI. 

« Afin d’encourager la mise en œuvre de projets solaires par des opérateurs privés dans le cadre de la Loi n° 13-09 », le Ministère et l’Agence annoncent le lancement du Programme d’allocation de capacités dans des sites qualifies et pré-équipés par MASEN pour le développement de projets photovoltaïques, d’une puissance totale d’environ 400 MW. Ce programme constitue la première phase de Noor PV II.
Le document de l’Appel à Manifestation d’Intérêt a pour objectif notamment de fournir aux différents acteurs privés, désirant développer des projets solaires dans le cadre de la Loi 13-09, un descriptif dudit Programme et d’identifier leur intérêt à participer à l’Appel à Projets qui sera lancé dans un deuxième temps.

Ainsi, à travers un processus concurrentiel, MASEN mettra à la disposition des différents acteurs privés des sites qualifiés et pré-équipés, des infrastructures d’interconnexion, l’accès au réseau national à accorder par l’ONEE pour une capacité définie et des études de qualification (études topographiques, géotechniques, sismiques, hydrauliques, E&S …) et des données solaires mesurées relatives aux sites.

Les entreprises intéressées à participer audit Programme sont invitées à exprimer leur intérêt en soumettant le questionnaire disponible sur le lien http://www.PROJETNOORPVII-400MW-LOI1309.MA/, dûment rempli et accompagné des pièces justificatives qui y sont mentionnées ainsi que toute information jugée appropriée.

La date limite de réception des dossiers de réponse à cet AMI est fixée au 28 février 2020 à 10h00, heure marocaine.

Le ministre de l’Énergie, des mines et de l’environnement, Aziz Rabbah, a appelé le 15 janvier à Rabat le gouvernement parallèle des jeunes à promouvoir la communication avec le département et à formuler des propositions susceptibles de contribuer au développement de ce secteur vital.

Lors d’une rencontre avec des membres du gouvernement des jeunes, M. Rabbah a souligné que le ministère veille constamment à impliquer la société civile et les médias dans ses programmes selon une approche participative soucieuse des contributions de la société civile, tout en se félicitant à cet égard « le rôle du gouvernement parallèle des jeunes depuis des années ».

Dans ce contexte, le ministre a invité la jeune ministre chargée du suivi du secteur de l’Énergie, des mines et de l’environnement Hajar Bennar, à assurer la coordination de l’action avec le département de tutelle qui « reste ouvert à toutes les idées et propositions ».

Cette réunion a été en outre l’occasion de procéder à un échanger de vues avec notamment la présentation d’un rapport sectoriel préparé par Bennar, en présentant une série de recommandations et de suggestions de portée législative, mais aussi des alternatives dans les domaines de l’énergie, des mines et de l’environnement.

Elle a également présenté deux projets « pionniers » : le premier relatif à la construction d’un centre d’information et de coordination entre le ministère de l’Énergie, des mines et de l’environnement, le ministère de l’Éducation nationale, de la formation professionnelle, de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, les régions et les acteurs économiques, afin de promouvoir une plus grande compétitivité des entreprises nationales et de permettre aux fonctionnaires de se mettre au diapason des exigences du marché mondial en termes de développement durable.

Le second projet se tourne vers le développement de l’autonomie énergétique de certaines provinces, tout en donnant la priorité aux zones reculées et en adoptant la même vision élaborée dans la périphérie de la ville d’Essaouira.

Par ailleurs, le ministère de l’Énergie, des mines et de l’environnement et le Gouvernement parallèle des jeunes ont convenu d’intensifier leur coordination dans la perspective de conclure un accord de partenariat permettant au Gouvernement parallèle des jeunes de suivre le secteur de l’énergie, des mines et de l’environnement et de mettre en œuvre les propositions de ce gouvernement dans les champs d’intervention du ministère.

SDX Energy a affirmé, le 22 janvier, que 7 puits ont été forés à ce jour dans le cadre de la campagne de forage des 12 puits lancée en 2019. La société britannique indique que 5 puits sur les 7 testés ont produit du gaz pouvant être commercialisé. Cela ajoute une capacité supplémentaire “de 2 à 2,5 milliards de pieds cubes de gaz commercial”.

“Compte tenu des faibles coûts de connexion et en supposant que les puits restent productifs, la société estime que ces réserves seront suffisantes pour honorer les contrats des clients existants au cours des 30 à 36 prochains mois”, indique-t-elle. Au total, les dépenses d’investissement du britannique au Maroc et en Egypte ont atteint environ 40,7 millions de dollars, soit 4,5 millions de dollars de plus que les prévisions pour 2019, “principalement en raison du forage de deux puits supplémentaires au Maroc”.

Le consortium maroco-français « NAVERA/ENGIE » a été déclaré adjudicataire provisoire pour la réalisation de la centrale photovoltaïque de Gafsa, lancée en appel d’offres international par le ministère tunisien de l’Industrie et des PME et la Société Tunisienne de l’Électricité et du Gaz (STEG).

Ce groupement aura ainsi la charge de développer, concevoir, financer, construire, exploiter et assurer la maintenance de la centrale photovoltaïque de Gafsa, d’une capacité de 120 MWp sur une période de 20 ans à partir de sa mise en service.

Ce projet d’envergure, qui fait partie des premiers projets IPP « Independent Power Producer » solaires lancés par la Tunisie, s’inscrit dans le programme de développement du secteur des énergies renouvelables avec pour objectif d’atteindre, à l’horizon 2030, une part de 30% d’énergies renouvelables dans la production nationale d’électricité.

La centrale de Gafsa devrait alimenter plus de 100.000 foyers tunisiens par an et contribuer à éviter 150.000 tonnes d’émissions de CO2 par an. Ce projet constitue la première collaboration entre le groupe industriel énergétique français « ENGIE » et l’opérateur marocain « NAREVA » en Tunisie, après une expérience commune au Maroc avec la réalisation, notamment, du parc éolien de Tarfaya, l’un des plus grands d’Afrique.

Cité dans un communiqué, M. Saïd Elhadi, PDG de NAREVA s’est félicité de ce projet solaire « remporté avec notre partenaire ENGIE en Tunisie ». « NAREVA est honorée de contribuer au déploiement du Plan Solaire Tunisien constituant la pierre angulaire de la politique de transition énergétique du pays », a-t-il dit.
Pour sa part, M. Yoven Moorooven, CEO de ENGIE Afrique a déclaré que le succès de cette offre « scelle encore davantage notre partenariat à long terme avec NAREVA ».

Il a relevé que la Tunisie s’est engagée dans un plan ambitieux de construction de nouvelles capacités de production d’électricité renouvelable avec pour objectif d’installer 3800 MW d’ici 2030, se déclarant « fier » de participer au programme actuel qui « a montré des résultats très compétitifs pour le pays ».

NAREVA est un acteur privé marocain spécialisé dans les secteurs de l’énergie et du cycle de l’eau. En tant que producteur indépendant d’électricité, le groupe dispose d’un portefeuille d’actifs totalisant une capacité de 3,5 GW dont plus de 2 GW en énergies renouvelables. Navera, qui exploite à présent cinq parcs éoliens au Maroc et en construit cinq autres, dans le cadre du Projet Éolien Intégré de 850 MW, est par ailleurs co-développeur de la centrale thermique de Safi, opérationnelle depuis 2018 avec une capacité de 1386 MW.

Quant au groupe français « ENGIE », il est le plus grand producteur indépendant d’électricité au monde et l’un des principaux acteurs du gaz naturel et des services énergétiques.

Le groupe, qui a plus de 50 ans d’expérience sur le continent africain avec 4.000 employés, possède une capacité de production d’électricité de 3,15 GW, en exploitation ou en construction, et occupe une position de leader sur le marché de la production d’électricité décentralisée fournissant de l’énergie propre à plus de 4 millions de personnes par le biais d’installations solaires domestiques et de micro-réseaux locaux.

L’Agence marocaine pour l’efficacité énergétique (AMEE) et l’Université des sciences et technologies de Khalifa à Abu Dhabi ont signé, le 15 janvier à Abu Dhabi, un protocole d’entente qui couvre les initiatives de recherche dans les technologies écoénergétiques.

Ce Protocole d’entente, signé par le vice-président exécutif à l’Université des sciences et technologies de Khalifa, Dr Arif Sultan Al Hammadi, et le directeur général de l’AMEE, M. Saïd Mouline, porte notamment sur la réalisation de recherches conjointes, le développement de programmes d’échanges d’experts et le transfert de savoir.

En vertu de cet accord, les deux institutions devront promouvoir et faciliter l’échange et le développement des technologies sous plusieurs aspects de l’efficacité énergétique et des énergies renouvelables, couvrant les matériaux de pointe, les équipements haute performance et l’expertise dans ces domaines, fait savoir le communiqué, notant que les deux parties sont conjointement tenues de favoriser le développement et la réalisation de projets verts pilote et innovants dans des technologies propres.

A travers la signature de ce protocole d’entente, les partenaires s’engagent dans une étroite collaboration afin de renforcer la coopération bilatérale et de soutenir les initiatives de transition énergétiques via la recherche dans les domaines des technologies éco-énergétiques.

A cette occasion, M. Al Hammadi a déclaré que « L’Université de Khalifa est réputée pour ses innovations pionnières dans les technologies écoénergétiques couvrant divers domaines des énergies renouvelables et ce protocole d’entente ouvrira la voie à des innovations qui vont atteindre les communautés qui ont besoin d’énergie. Nous sommes ravis d’entamer cette collaboration de recherche avec l’AMEE et nous pensons que nous serons en mesure d’offrir au Maroc les solutions les plus adaptées à la transition du pays vers la voie des énergies propres ».

Pour sa part, M. Mouline a détaillé la stratégie exceptionnelle de la transition énergétique marocaine, soulignant l’importance, et le dimensionnement de ce partenariat.

« La collaboration avec l’Université Khalifa, réputée dans le domaine de l’environnement et de l’efficacité énergétique, s’inscrit dans notre stratégie de partenariats à long terme. Avec ce partenariat, l’AMEE accompagnera un opérateur majeur, pour lui permettre de faire un pas en avant dans sa démarche durable. L’opérationnalisation de l’efficacité énergétique est aujourd’hui un outil privilégié de bonne gouvernance, elle est essentielle pour réduire la consommation d’énergie et la réalisation d’un taux de croissance de plus en plus significatif ».

L’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE) et Taqa Morocco ont signé, le 24 janvier à Rabat, les contrats relatifs à la rénovation des unités 1 à 4 de la Centrale thermique de Jorf Lasfar et à l’extension de leurs période d’exploitation.

Le Directeur général de l’ONEE, M. Abderrahim El Hafidi et le président du Directoire de Taqa Morocco, M. Abdedmajid Iraqui Houssaini, ont signé des amendements au projet des unités 1 à 4 de la Centrale thermique de Jorf Lasfar, lors d’une cérémonie de signature qui a été co-présidée par le ministre de l’Économie, des finances et de la réforme de l’administration, M. Mohamed Benchaaboun et le ministre de l’Energie, des mines et de l’environnement, M. Aziz Rabbah.

Ces amendements qui portent sur le renouvellement et la prorogation du contrat d’achat et de fourniture à l’ONEE de l’électricité produite par les unités 1 à 4 jusqu’à fin avril 2044, interviennent à l’issue de négociations entre l’Office et son partenaire Taqa Morocco, sous l’appui du ministère de l’Économie, des finances et de la réforme de l’administration et du ministère de l’Energie, des mines et de l’environnement.

L’opération de prorogation, qui s’inscrit dans le cadre du nouveau contrat programme entre l’État et l’ONEE, en cours de finalisation, permettra de rénover la Centrale via un investissement global dépassant 500 millions de dollars, dont un ticket d’entrée de 1,5 milliard de dirhams à verser dans l’immédiat, de valoriser l’infrastructure de base de la Central et de faire coïncider le terme de ce contrat avec celui des unités 5-6, précise le communiqué, ajoutant qu’elle permettra également de renforcer les capacités de production de l’ONEE, d’améliorer sa situation financière et de sécuriser son approvisionnement en énergie électrique.

Le Contrat d’achat des Unités 1 à 4 de la Centrale thermique de Jorf Lasfar, conclu en 1997, avait permis au Maroc de renforcer sa production et son approvisionnement en électricité.

Vivo Energy Maroc a annoncé, à l’occasion de la journée internationale de l’éducation, la digitalisation de son programme « Mama Tabiaa » avec la mise en ligne d’une mallette pédagogique complète. 

Ce programme, réalisé en partenariat avec la Fondation Zakoura et soutenu par le Ministère de l’Éducation nationale, a pour objectif de susciter l’intérêt et d’encourager la réflexion des élèves et de leurs proches sur les problématiques environnementales. 

Cette digitalisation est une étape de plus franchie dans le déploiement de ce programme de sensibilisation à l’environnement. Depuis son lancement en 2015 au sein d’écoles publiques de Hay Hassani à Casablanca et d’écoles d’éducation non formelle de la Fondation Zakoura, sa diffusion n’a cessé de s’accroître pour l’étendre progressivement à d’autres villes du Maroc.

En 2018, il a été généralisé à l’ensemble des écoles primaires, suite à une convention de partenariat avec le Ministère de l’Éducation Nationale. Des milliers d’enfants et leurs proches sont ainsi sensibilisés chaque année à la problématique environnementale.

Mamatabiaa.ma est une plateforme de formation en ligne, destinée aux enseignants et aux élèves, qui offre un programme complet, à travers des vidéos tutorielles et des outils pédagogiques. Accessible gratuitement, la formation est également mise à disposition de toutes les associations animées par l’envie de sensibiliser les jeunes aux enjeux environnementaux. 

L’Agence marocaine de l’efficacité énergétique (AMEE) et l’Institut de recherche en énergie solaire et énergies nouvelles (IRESEN) lancent un concours d’idées en vue de la conception d’une ombrière solaire photovoltaïque destinée à la recharge des véhicules électriques à deux roues. Le design devra être inspiré de l’héritage architectural du Maroc.

Les ombrières seront abritées par des parkings ou des stations-service. Elles permettront de recharger les véhicules tout en les protégeant des radiations solaires. Les candidats peuvent déposer leurs propositions jusqu’au 24 février. Les résultats seront dévoilés le 16 mars.

Trois candidatures seront primées par le jury. Les 1er prix se verra décerner un certificat et une prime de 30.000 DH, le 2e 20.000 DH et le 3e 10.000 DH.

 

La production nationale de l’énergie électrique maintient sa bonne dynamique, marquant une hausse de 18,4% à fin novembre 2019, après +7,7% un an plus tôt, selon la Direction des études et des prévisions financières, relevant du ministère de l’Économie, des finances et de la réforme de l’administration.

Cette évolution recouvre, notamment, une hausse de la production privée de 34,2% et de celle des projets développés dans le cadre de la loi 13-09 de 48,8%, atténuée par le retrait de celle de l’ONEE de 17,1%, explique la DEPF dans sa note de conjoncture de janvier.
Concernant la consommation de l’énergie électrique, elle s’est améliorée de 1% à fin novembre 2019, après un recul de 2,1% un an plus tôt, bénéficiant d’une hausse courant les deux premiers mois du quatrième trimestre 2019 de 3%.

Par segment, cette évolution découle du renforcement des ventes de l’énergie de moyenne tension de 10,3% entre janvier et novembre 2019, de celle de basse tension de 8,2% et de celle adressée aux distributeurs de 1,9%.

Quant au solde des échanges de l’énergie électrique avec l’Algérie et l’Espagne (importations-exportations), il s’est replié de 125,8% à fin novembre 2019, après un recul 39,4% il y a une année, consécutivement au maintien du recul du volume de l’énergie importée (-86,3% après -38,8%) et du renforcement soutenu de celle exportée (+433,1% après +75,3%), dans un contexte d’accroissement de l’énergie nette appelée de 4%.