Le coup d’envoi a été donné, le 26 février à Casablanca, à la 8e édition du salon international de l’énergie solaire et de l’efficacité énergétique « Solaire Expo Maroc », placée sous le thème « Perspectives d’évolution des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique dans le monde et en Afrique. »
Organisée sous le Haut Patronage de SM le Roi Mohammed VI, cette rencontre internationale de deux jours, se veut une véritable vitrine de la dynamique solaire au Maroc et en Afrique.
Elle se donne aussi comme vocation de promouvoir une vision globale du marché marocain et africain, ainsi que les dernières tendances et innovations dans le secteur des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique.
S’exprimant à l’ouverture de cet événement, le ministre de l’Énergie, des Mines et du Développement durable, Aziz Rabbah, a souligné que cette manifestation de grande envergure ambitionne d’exposer, durant trois jours, les dernières tendances du secteur de l’énergie solaire et de l’efficacité énergétique.
M. Rabbah a dans ce sens, relevé que les résultats et indicateurs de la stratégie énergétique, lancée depuis une décennie par SM le Roi Mohammed VI sont concrets, notant que le Maroc offre plusieurs opportunités d’investissements dans le secteur de l’énergie notamment, solaire, thermodynamique et photovoltaïque.
Il a par ailleurs relevé que cette rencontre est l’occasion de lancer un débat international visant à mettre la lumière sur les futurs évolutions et investissements dans le domaine des énergies ainsi que sur les possibilités du Maroc à devenir une plateforme incontournable en matière d’investissement industriel dans le domaine des énergies, mais aussi en matière de recherche et développement.
De son côté, le fondateur et directeur général du salon, Rachid Bouguern, a indiqué que depuis le lancement de la première édition du salon en 2012, une équipe de professionnels s’est mobilisée pour assurer le plein succès de ce projet, qui est à même de renforcer d’une part, la dynamique du secteur de l’énergie solaire et de l’efficacité énergétique au Maroc, et d’autre part, accompagner les ambitieux programmes du Royaume en matière d’énergies renouvelables.
M. Bouguern a fait observer que cet événement contribue à la création d’une synergie entre les différents opérateurs du domaine, nationaux et internationaux, rappelant que la thématique de cette année s’inscrit conformément aux Hautes Orientations Royales et à la démarche globale du Royaume, dans la continuité de promouvoir la recherche, le développement et la formation, en plus de favoriser l’émergence d’une industrie locale dans le domaine des services et des technologies solaires.
Cet événement se démarque également par son caractère scientifique, eu égard à son engagement dans la réflexion pour le développement du secteur, à travers la tenue d’une série de conférences et tables rondes, lesquelles réuniraient nationaux et internationaux, privés et publics, permettant ainsi d’approfondir la réflexion sur l’énergie solaire et l’efficacité énergétique et de partager des expériences réussies.
Dans le même sillage, le directeur général de l’Agence Marocaine pour l’Efficacité énergétique (AMEE), Saïd Mouline, a relevé le rôle crucial que jouent les énergies renouvelables dans la préservation des ressources énergétiques et la réalisation du développement durable, notant que ce salon permet de créer des projets et attirer les jeunes à travailler dans ce domaine, qui entre dans le cadre de la promotion du concept de l’économie verte.

Résultats de l’étude pour l’élaboration de la stratégie nationale pour la valorisation énergétique de la biomasse
Le ministère de l’Énergie, des mines et du développement durable a organisé, le 27 février à Rabat, un atelier pour présenter les résultats d’une étude réalisée en prélude de l’élaboration de la stratégie nationale pour la valorisation énergétique de la biomasse.
L’étude repose sur une évaluation de la ressource biomasse avec une analyse des flux de matières issues de la gestion des déchets, de l’agriculture et de la sylviculture ainsi que les études menées dans ce domaine afin d’apprécier les potentiels théoriques, techniques et économiques de la valorisation énergétique de la biomasse, a indiqué le ministre de l’Énergie, des mines et du développement durable, M. Aziz Rabbah.
Selon les conclusions de l’étude, le Maroc présente un total en énergie primaire estimé à 11,5 millions de mégawatt heures par an (MWh/a), répartis sur trois secteurs clés à savoir les déchets verts, l’agriculture, la foresterie et les eaux usées. Concrètement, 6,6 Millions de MWh/a du potentiel technique national est issu du secteur agricole, 1,7 M MWh/a proviennent du secteur forestier, 3 M MWh/a du secteur des déchets, tandis que 0,2 M MWh/a peuvent être générés à partir du secteur des eaux usées.
Dans le détail, les matières fermentescibles à l’image de l’élevage bovin, l’aviculture et les cultures sous serres représentent 12 M MHh/a t/a (tonnes par an), alors que les matières ligneuses comme l’arboriculture, les déchets verts, les boues et l’incinération sont évalués à 1,4 millions t/a.
En ce qui concerne la répartition de cette ressource au niveau national, la région Fès-Meknès s’accapare 1,8 M MWh/a, suivie par les régions de Rabat-Salé-Kénitra, Marrakech-Safi, Casablanca-Settat avec 1,3 M MWh/a chacune, tandis que la région de Tanger-Tétouan-Al Hoceima regorge de 1,2 MWh/a.
Pour le directeur général de l’Agence Marocaine pour l’efficacité énergétique (AMEE), M. Said Mouline, la valorisation énergétique de la biomasse offre, en plus de limiter la déforestation, la particularité de préserver un environnement propre et de contribuer à la création d’emplois.
A cet effet, l’étude avance que l’installation et la fabrication des projets de biomasse pourraient à long terme générer de 7.600 à 10.310 emplois dans les chaines d’approvisionnement en biomasse et favoriser la réduction de 6,2 à 8,5 millions de tonnes de CO2 d’émissions de gaz à effet de serre (GES).

Tenue, mardi (13/03/18) à Casablanca, de la 3è édition des rencontres africaines de lefficacité énergétique.
La 5e édition des Rencontres africaines de l’efficacité énergétique se tiendra le 13 mars à Casablanca, sous le thème « l’éclairage public et smart cities ».
Initié par AOB Group sous l’égide du ministère de l’Énergie, des mines et du développement durable, en partenariat notamment avec l’Agence marocaine de l’efficacité énergétique (AMEE), cet événement réunira des centaines de professionnels de l’écosystème énergétique et des villes ainsi que des experts de l’efficacité énergétique du Maroc et d’ailleurs.
« Cette grand-messe exclusivement dédiée à l’efficacité énergétique va traiter d’un sujet qui concerne la gouvernance des villes, à savoir la place de l’éclairage public dans le nouveau modèle économique « smart » de gestion des villes et territoires », ont fait savoir les organisateurs lors d’un point de presse consacré à la présentation de cet évènement.
Le directeur des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique au ministère de l’Énergie, Mohamed Ouhmed, a relevé dans une déclaration à la MAP, que cet événement se veut une occasion pour débattre des différentes solutions d’efficacité énergétique notamment celles relatives aux dernières technologies, ainsi que des initiatives menées par les collectivités territoriales et les départements ministériels concernés dans ce domaine.
Soulignant l’importance majeure de la question de l’efficacité énergétique qui constitue une priorité pour le gouvernement, M.Ouhmed a indiqué que ce segment évolue d’une cadence très élevée sur le plan technologique.
De son côté, le directeur du pôle efficacité énergétique à l’AMEE, Mohamed El Houari, a précisé à cette occasion que l’économie de l’efficacité énergétique touche l’ensemble des secteurs notamment l’industrie, le bâtiment, le transport, la pêche et l’éclairage public, notant que ce dernier renvoi à des investissements qui sont rentables et constitue une part importante des dépenses des communes urbaines et rurales.
Le travail de l’Agence consiste à présenter des solutions techniques, technologiques et financières, mais aussi de développer de bonnes pratiques notamment à travers la sensibilisation et l’organisation des conférences en la matière, a-t-il fait observer.
Des élus et des acteurs de l’éclairage public ainsi que des bailleurs de fonds comme la Banque africaine de développement (BAD), la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) et la banque allemande KFW vont exposer des cas concrets de projets en liaison avec le financement de l’éclairage public lors de cette édition organisée également en partenariat avec l’agence des pays du G20 pour l’efficacité énergétique (IPPEC), et le think tank américain spécialisé dans le développement durable (IGSD).
Au menu de cette rencontre, figurent plusieurs conférences notamment « l’éclairage efficace, pilier de la ville durable », « projets concrets des villes marocaines » et « solutions technologiques pour l’éclairage public et smart cities », ainsi que deux workshops pour présenter les nouvelles solutions technologiques, à savoir « efficacité énergétique et smart cities » et « financement et bailleurs de fonds ».
Cette édition verra la participation d’intervenants et de représentants de la ville de Toulouse qui vont présenter un Benchmark sur les chantiers en cours sur les lampadaires « smart » qui intègrent l’intelligence artificielle.
Les lauréats de l’édition 2018-2019 du Challenge Startupper de l’année par Total au Maroc ont été primés, le 26 février à Casablanca, lors d’une cérémonie de remise de prix, en présence notamment du directeur général du Total Maroc Jean-Louis Bonenfant.
Ainsi, le premier prix a été attribué à Omar Azmy pour son projet « Eco Oil », qui transforme les déchets plastiques, recyclables et non recyclables, en carburant écologique avec un brevet d’invention déposé auprès de l’Office marocain de la propriété Industrielle et Commerciale (OMPIC).
Le deuxième prix est revenu à Meryam El Ouafi (Green engineering mission), qui a développé un système unique de nano-irrigation permettant d’économiser jusqu’à 80% d’eau par rapport aux systèmes conventionnels utilisés dans l’agriculture et la gestion des espaces verts et des zones arides.
Quant au 3e prix, il a été décerné à Othman Lamdouar (Kaiotech), qui a développé un chauffe-eau solaire efficace et à bas coût pour l’implantation de masse dans les pays en voie de développement. L’invention brevetée assure un haut rendement pour un produit fiable, écologique, peu cher et accessible à tous.
Ces jeunes entrepreneurs bénéficieront d’une aide financière pour développer leurs projets d’un montant allant jusqu’à 137.000 dirhams pour le premier prix et se verront offrir également un accompagnement personnalisé de la part du Kluster CFCIM (Chambre Française de Commerce et d’Industrie du Maroc) ainsi qu’une campagne de communication pour donner de la visibilité à leurs projets.
Concernant le label « Coup de cœur féminin », nouveauté de cette édition 2018-2019 afin de soutenir les femmes entrepreneurs, il a été attribué à Meryam El Ouafi (Green Engineering Mission).
Organisé simultanément dans 55 pays (37 en Afrique, 11 en Asie-Pacifique et Moyen orient, 4 en Amériques et 3 en Europe), le Challenge Startupper de l’année 2018-2019 réaffirme la volonté de Total de soutenir le développement socio-économique des pays dans lesquels le groupe est implanté à travers le monde. Il contribue localement au renforcement du tissu social, à travers l’appui apporté aux entrepreneurs les plus innovants, dans la réalisation de leur projet.
Cette deuxième édition a recueilli près de 50.000 inscriptions dont plus de 15.000 dossiers complets. De même, 825 finalistes ont eu la chance de pouvoir présenter leur projet devant un jury d’experts et 165 gagnants ont été récompensés.
Le premier gagnant de chaque pays aura le privilège de voir son projet présenté aux grands jurys mondiaux en charge de désigner six grands gagnants pour l’ensemble des 55 pays.
Le coup d’envoi a été donné, le 26 février à Casablanca, à la 8e édition du salon international de l’énergie solaire et de l’efficacité énergétique « Solaire Expo Maroc », placée sous le thème « Perspectives d’évolution des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique dans le monde et en Afrique. »
Organisée sous le Haut Patronage de SM le Roi Mohammed VI, cette rencontre internationale de deux jours, se veut une véritable vitrine de la dynamique solaire au Maroc et en Afrique.
Elle se donne aussi comme vocation de promouvoir une vision globale du marché marocain et africain, ainsi que les dernières tendances et innovations dans le secteur des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique.
S’exprimant à l’ouverture de cet événement, le ministre de l’Énergie, des Mines et du Développement durable, Aziz Rabbah, a souligné que cette manifestation de grande envergure ambitionne d’exposer, durant trois jours, les dernières tendances du secteur de l’énergie solaire et de l’efficacité énergétique.
M. Rabbah a dans ce sens, relevé que les résultats et indicateurs de la stratégie énergétique, lancée depuis une décennie par SM le Roi Mohammed VI sont concrets, notant que le Maroc offre plusieurs opportunités d’investissements dans le secteur de l’énergie notamment, solaire, thermodynamique et photovoltaïque.
Il a par ailleurs relevé que cette rencontre est l’occasion de lancer un débat international visant à mettre la lumière sur les futurs évolutions et investissements dans le domaine des énergies ainsi que sur les possibilités du Maroc à devenir une plateforme incontournable en matière d’investissement industriel dans le domaine des énergies, mais aussi en matière de recherche et développement.
De son côté, le fondateur et directeur général du salon, Rachid Bouguern, a indiqué que depuis le lancement de la première édition du salon en 2012, une équipe de professionnels s’est mobilisée pour assurer le plein succès de ce projet, qui est à même de renforcer d’une part, la dynamique du secteur de l’énergie solaire et de l’efficacité énergétique au Maroc, et d’autre part, accompagner les ambitieux programmes du Royaume en matière d’énergies renouvelables.
M. Bouguern a fait observer que cet événement contribue à la création d’une synergie entre les différents opérateurs du domaine, nationaux et internationaux, rappelant que la thématique de cette année s’inscrit conformément aux Hautes Orientations Royales et à la démarche globale du Royaume, dans la continuité de promouvoir la recherche, le développement et la formation, en plus de favoriser l’émergence d’une industrie locale dans le domaine des services et des technologies solaires.
Cet événement se démarque également par son caractère scientifique, eu égard à son engagement dans la réflexion pour le développement du secteur, à travers la tenue d’une série de conférences et tables rondes, lesquelles réuniraient nationaux et internationaux, privés et publics, permettant ainsi d’approfondir la réflexion sur l’énergie solaire et l’efficacité énergétique et de partager des expériences réussies.
Dans le même sillage, le directeur général de l’Agence Marocaine pour l’Efficacité énergétique (AMEE), Saïd Mouline, a relevé le rôle crucial que jouent les énergies renouvelables dans la préservation des ressources énergétiques et la réalisation du développement durable, notant que ce salon permet de créer des projets et attirer les jeunes à travailler dans ce domaine, qui entre dans le cadre de la promotion du concept de l’économie verte.

Aziz Rabbah s’entretient avec le ministre espagnol de l’Énergie, du Tourisme et de l’Agenda numérique, Alvaro Nadal Belda
Le mémorandum d’entente portant sur le développement d’une troisième Interconnexion électrique Espagne-Maroc à travers le Détroit de Gibraltar signé, le 14 février à Rabat, lors d’une cérémonie présidée par SM le Roi Mohammed VI et SM le Roi Felipe VI, ambitionne la promotion du commerce régional de l’électricité, l’amélioration de la fiabilité des systèmes électriques, ainsi que le maintien de la sécurité des réseaux maghrébins interconnectés.
En vertu de ce mémorandum, signé par le ministre de l’Énergie, des Mines et du Développement durable, Aziz Rebbah, et le Secrétaire d’État espagnol pour l’Énergie, José Dominguéz Abascal, les Parties mandatent les opérateurs du système et les gestionnaires des réseaux de transport électrique des deux pays pour l’analyse, le développement et la construction de la 3e interconnexion Espagne-Maroc pour une mise en service à l’horizon 2021-2026.
Les opérateurs du système et les gestionnaires des réseaux du transport électrique des deux pays s’engagent, pour leur part, à mener les études techniques et économiques, visant à présenter une proposition aux deux gouvernements pour la construction de cette 3e interconnexion électrique pour une mise en service avant 2026.
ENGIE est un acteur mondial de l’énergie qui inscrit la croissance responsable au cœur de ses métiers (électricité, gaz naturel, services à l’énergie) pour relever les grands enjeux de la transition énergétique.
Dans le continent africain et à travers 50 ans de présence, le Groupe a développé l’un des plus grands parcs éoliens d’Afrique au Maroc, et comme précurseur dans le secteur de la production d’électricité indépendante en Afrique du Sud.
ENGIE est actif au Maroc aux côtés de grands partenaires et fournisseurs avec une présence reconnue dans la maintenance multi-technique, le facility management, les services à l’énergie et la production d’électricité.
Le Groupe est impliqué dans le développement de l’offre en énergie pour répondre à la demande croissante du pays et son besoin de diversifier son mix énergétique.
ENGIE développe également de nouveaux projets basés sur l’énergie solaire, le gaz naturel et l’énergie éolienne : « ENGIE, en joint-venture à 50/50% avec Nareva Holding, exploite l’un des plus grands parcs éoliens d’Afrique, Tarfaya (301 MW), qui prévient l’émission de 900 000 tonnes de CO2 par an et représente environ 40% de la capacité éolienne totale du Maroc».
D’autre part, et dans le but de répondre aux exigences des clients en matière de mobilité électrique au Maroc, ENGIE propose des solutions de recharge pour tout type de véhicules électriques ainsi que les services associés: outil de gestion à distance des bornes, installation et maintenance.
ENGIE, principal partenaire d’ENERGY OBSERVER
Le 10 septembre 2018, ENGIE a eu le plaisir d’accueillir à Tanger l’ Energy Observer, le premier bateau propulsé aux énergies renouvelables et à l’hydrogène, dans le cadre de son tour du monde inédit.
Pionnier dans le domaine de l’énergie, en outre des services qui encouragent les systèmes intelligents intégrés.
Energy Observer illustre les convictions d’ENGIE : une démonstration unique qui entend prouver la viabilité d’un système de production énergétique dé-carboné, décentralisé et numérisé qui utilise les énergies renouvelables ainsi que l’hydrogène renouvelable.
Afin de découvrir des solutions innovantes pour l’environnement, l’Energy Observer a entamé une odyssée pour l’avenir : 6 ans, 50 pays et 101 escales, à la rencontre des concepteurs de demain. Une mission riche qui a permis de viabiliser pour la première fois des technologies embarquées innovantes et illustrant qu’un monde plus propre est possible.
Aujourd’hui, le premier navire hydrogène autour du monde a réalisé un périple de 33 escales et découvert 14 pays en naviguant en France et en Méditerranée, sans émission de gaz à effet de serre ni particules fines.
Amine Homman Ludiye, CEO ENGIE North Africa, a affirmé qu’«au Maroc, l’efficacité énergétique est une composante essentielle de la stratégie énergétique nationale et l’un des grands défis de la transition énergétique, qu’Energy Observer et ENGIE abordent».
Vivo Energy Maroc, l’entreprise en charge de la distribution et de la commercialisation de carburants et lubrifiants de marque Shell au Maroc, et de Gaz de Pétrole Liquéfié de marque Butagaz, et le Comité Nationale de la Prévention des Accidents de la Circulation s’allient en marge de la journée nationale de la sécurité routière. L’objectif de cette coopération réside dans la mise en place d’une nouvelle pratique ludique et novatrice pour inculquer aux plus jeunes les règles du code de la route en faisant le parallèle avec celles du basket-ball.
Asaf Vehbi Sasaoglu, Président Directeur Général de Vivo Energy Maroc, a déclaré à l’occasion que « Le facteur humain demeure à l’origine d’environ 90% des accidents au Maroc. C’est pour cela que notre entreprise est pleinement engagée dans la sensibilisation des populations et en particulier des générations futures pour promouvoir une réelle culture de la sécurité routière. Avec ce nouveau programme nous apportons une solution innovante et citoyenne, car nous sommes convaincus que le sport en milieu scolaire participe activement à la réussite éducative. »
Vivo Energy Maroc a lancé l’opération « Ana Wa Attarik » depuis 2013. Cette année, cette campagne prend un souffle nouveau à travers la pratique du basket-ball. Au même titre que les règles de ce sport, le code de la route répond à des règles strictes et encadrées. La rigueur du sport, et le ludisme des activités que proposent ce programme permettent aux enfants de mieux s’approprier le code et les règles de bon usage sur la route.
Cette campagne de sensibilisation touchera plus de 50 000 écoliers d’écoles publiques et privées de Casablanca pour ensuite s’étendre à travers les villes du Royaume. Une initiative qui vise à initier les écoliers aux bonnes pratiques de la sécurité routière et les sensibiliser aux règles du bon usage des transports scolaires par le biais d’ateliers théoriques et ludiques. Cette opération de sensibilisation est appuyée par la distribution de supports pédagogiques aux élèves rappelant les bonnes pratiques en matière de sécurité routière.
Benaceur Boulaajoul, Secrétaire Permanent du CNPAC, a affirmé quant à lui que « L’éducation à la sécurité routière constitue l’un des chantiers les plus important dans l’action du CNPAC. En effet, la cible des moins de 14 ans est l’un des axes majeurs sur lesquels s’appuie la stratégie nationale de sécurité routière 2017-2026, qui a pour objectif de réduire à 50% le nombre de morts sur nos routes. Cette cible constitue malheureusement plus de 10% des tués des accidents de la circulation au Maroc. A travers ce nouveau programme, nous souhaitons accompagner les enfants dans le milieu scolaire par le biais d’ateliers ludo-pédagogiques dans le domaine de l’éducation à la sécurité routière ».
Partenaire de cette action, Younes Sadki, Président de l’Association AMI Basket a déclaré « nous sommes très heureux de promouvoir la pratique du basket-ball et de la mettre à profit d’une si noble cause : la sécurité routière. L’AMI souhaite sensibiliser les plus jeunes au code de conduite citoyen et l’ensemble des ateliers proposés à travers ce concept, vont apprendre aux enfants les gestes citoyens pour contribuer à la formation d’une génération consciente de l’importance de la sécurité routière ».
La production nationale de l’énergie électrique a enregistré une amélioration de 8,2% en 2018 après +3,4% un an auparavant, selon la Direction des études et des prévisions financières (DEPF), relevant du ministère de l’Économie et des finances.
Cette performance est due principalement à la bonne tenue de la production privée (+8,9%) et celle des projets développés dans le cadre de la loi 13-09 relative aux énergies renouvelables, précise la DEPF dans sa note de conjoncture de février 2019.
Ainsi, les volumes des importations de l’énergie électrique a baissé de 38,5% à fin 2018, compte tenu d’une légère hausse de l’énergie nette appelée de 0,6%, alors que celui des exportations s’est raffermi de 116,2%, après +19,8% un an plus tôt.
Pour sa part, la consommation de l’énergie électrique a reculé de 2,1% en 2018 après une augmentation de 4,5% en 2017, indique la DEPF, expliquant cette évolution par un recul de 2,8% des ventes de l’énergie de très haute, haute et moyenne tension et une légère hausse des ventes de l’énergie de basse tension de 0,2%.
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