International Trade Fair Petrol Station

17 – 19 mai 2017 | Varsovie – Pologne

Salon de la station-service en Pologne et en Europe centrale et de l’est.

http://www.targi.paliwa.pl/en/petrol-station-fair

Le Maroc sera l’invité d’honneur de la première édition du Salon de l’économie verte des Etats membres de l’Organisation de la coopération islamique (OCI), prévue à Dakar en octobre prochain (26-29), a fait savoir le directeur général de l’Agence nationale pour les énergies renouvelables (ANER) du Sénégal, Djiby Ndiaye.
Cette rencontre, qui sera organisée en collaboration avec le Centre islamique pour le développement du commerce entre les Etats membres de l’OCI, se tiendra en concomitance avec la 7e édition du Salon international des énergies renouvelables et de l’environnement en Afrique (SIERA).
Les 57 Etats membres de l’OCI ainsi que diverses institutions islamiques sont attendus à cette rencontre, de même que les centres de promotion des exportations et les opérateurs privés et publics des pays membres.
Il est prévu un colloque scientifique sur le thème « Vers l’économie verte : énergies renouvelables et développement durable », en marge de l’exposition prévue sur 2000 m2. Des B to B et des visites de sites dédiés aux énergies renouvelables figurent également au programme de ce Salon.
Cette manifestation se veut « une plateforme idéale » pour des solutions énergétiques à même de contribuer au développement économique et social, en même temps qu’elle constitue une alternative aux systèmes existants, dont certains sont jugés dommageables à l’environnement, a fait valoir le DG de l’ANER.

La première édition de ce Salon permettra, par ailleurs, de « diffuser les informations sur l’offre et la demande dans les domaines liés à l’économie verte », une manière de promouvoir les investissements dans ce secteur.
Ce Salon devrait également induire « des opportunités pour conclure des transactions commerciales et des accords de partenariat entre les sociétés opérant dans les domaines relatifs à l’objet du Salon dans les Etats membres ». 

Dans le cadre de l’expansion de ses activités d’efficacité énergétique dans la région méditerranéenne, EDF FENICE a créé récemment sa nouvelle filiale, EDF FENICE MAROC, basée à Casablanca.

Le Maroc étant l’un des pays majeurs de la transition énergétique dans le monde et plus particulièrement sur le continent africain, EDF FENICE, filiale du Groupe EDF, compte s’installer durablement dans le Royaume et développer ses offres de services énergétiques et environnementaux.

EDF FENICE MAROC a ainsi signé un premier contrat pour la fourniture d’une solution industrielle complète comportant l’ingénierie, le financement, la construction, la mise en service et l’exploitation d’une installation de traitement des eaux industriels et de valorisation énergétique. Il s’agit d’un contrat de type ESCO (Energy Service Company), sur une durée de 10 ans.

Spécialisé dans les services énergétiques à l’Industrie, EDF FENICE, propose aux industriels des solutions d’eco-efficacité énergétique (cogénération, air comprimé, réseau de chaleur, froid, éclairage, …) et des services environnementaux sur mesure permettant de réduire leur consommation énergétique et leur impact environnemental au travers d’une gamme complète de prestations.

Fort d’une expérience de 20 ans, EDF Fenice est un acteur majeur de la transition énergétique et s’engage au travers la garantie de performance énergétique et environnementale des projets qu’il réalise. Fortement implanté en Europe, le groupe gère plusieurs sites industriels, compte plus de 2000 employés et contribue à la diminution de gaz à effet de serre à hauteur de 350.000 tonnes de CO2 évitées par année.

Porte d’entrée sur le continent africain et pays de référence dans le bassin méditerranéen, le Maroc est aujourd’hui un marché stratégique pour le développement des services énergétiques, dans lequel EDF FENICE a décidé de s’engager.

Le taux d’épuration des eaux usées est passé de 5 % en 1999 à plus de 71 % à fin 2016, a fait savoir, le 30 mars à Ifrane, la Directrice de la Coopération et Communication à l’ONEE- Branche-eau, Asma El Kasmi, à l’occasion de la présentation du Rapport mondial des Nations unies sur la mise en valeur des ressources en eau 2017 sous le thème « les eaux usées, une ressource inexploitée ».

D’après la même source, cette performance a été rendue possible grâce à 113 stations d’épuration des eaux usées (STEP) fonctionnelles, dont 93 réalisées par l’Office National de l’Electricité et de l’Eau Potable (ONEE) et d’autres par les autres distributeurs dans les grandes villes.

Cinquante nouvelles STEP additionnelles sont en développement pour traiter l’accroissement de l’urbanisation et de la population que connait le pays, a ajouté El Kasmi, également, présidente de la Chaire UNESCO « Eau, femmes et pouvoir de décisions » à l’Université Al Akhawayn.

Professeur El Kasmi a souligné que le rapport mondial des Nations Unies sur la mise en valeur des ressources montre que la gestion améliorée des eaux usées implique aussi bien la réduction de la pollution à la source que l’élimination de contaminants des flux d’eaux usées, la réutilisation des eaux récupérées et la récupération de sous-produits utiles.

Le Rapport mondial des Nations Unies sur la mise en valeur des ressources en eau est le fruit de la collaboration des 31 entités des Nations Unies et des 37 partenaires internationaux qui constituent l’ONU-Eau.

MASEN (Moroccan Agency for Sustainable Energy), l’OFPPT (Office de formation professionnelle et de promotion du travail) et le groupe d’ingénierie et construction SENER ont signé, le 28 mars à Rabat, une convention de partenariat pour la formation d’une centaine de jeunes aux métiers liés à l’énergie solaire à concentration, dans le cadre des préparatifs au lancement de la phase d’exploitation des centrales Noor Ouarzazate II et Noor Ouarzazate III dans la région de Ouarzazate. 
Le complexe solaire Noor, développé par MASEN, a été conçu comme un projet intégré pour optimiser ses impacts socio-économiques, avec notamment une forte volonté d’accompagner le développement des compétences techniques nationales, et de favoriser l’emploi local.

Cette volonté s’est traduite dès le lancement de la construction des projets de MASEN, par la mise en œuvre de synergies entre opérateurs nationaux et internationaux. 
Les entreprises marocaines et leurs ressources humaines ont ainsi été largement mises à contribution. Ainsi pour Noor Ouarzazate II et III, le taux d’intégration industrielle envisagé dépasse celui de Noor Ouarzazate (30%), pour atteindre 35 %. 
La convention signée par MASEN, l’OFPPT et SENER porte sur une offre de formation en relation avec les besoins de la phase exploitation des centrales Noor Ouarzazate II et Noor Ouarzazate III. Elle prévoit notamment de favoriser le capital humain local à travers la formation, en collaboration avec l’OFPPT d’une centaine de jeunes en collaboration avec l’OFPPT, issues majoritairement de la région de Ouarzazate. Les candidats retenus suivront une formation qualifiante d’environ 3 mois à partir d’avril 2017, à l’issue de laquelle ils recevront une attestation de formation sur l’énergie solaire à concentration.
Les formations, programmées en deux sessions (avril et septembre), qualifieront des techniciens et opérateurs qui participeront au fonctionnement des projets. SENER sélectionnera parmi les candidats formés une soixantaine de personnes qui seront embauchées sur les sites Noor Ouarzazate II et Noor Ouarzazate III.

Le Maroc est devenu, le 6 avril, membre du bureau exécutif du Conseil des ministres arabes en charge de l’électricité pour les deux prochaines années.
Le Conseil, réuni dans le cadre de sa 12è session au siège de la Ligue arabe au Caire, a approuvé la composition de son nouveau bureau exécutif qui est présidé par l’Egypte et comprend parmi ses membres, outre le Maroc, les Emirats arabes unis, le Soudan, la Mauritanie, la Jordanie, l’Arabie Saoudite et la Libye.
Dans des recommandations formulées à l’issue des travaux de la 12è session, le Conseil a salué la coopération avec l’Agence internationale pour les énergies renouvelables, donné son accord de principe pour le tenue d’une réunion ministérielle conjointe début 2018, en marge des réunions de l’Agence, et chargé son secrétariat en coordination avec le secrétariat de l’Agence de faire le suivi des préparatifs nécessaires pour prendre part à cette réunion.
Le Conseil s’est félicité également de la poursuite de la coopération avec la Fondation Euro-arabe, comme il a chargé son secrétariat à coordonner en vue de la mise en œuvre du programme de formation commun pour l’année 2017 sur l’énergie durable.
Le Conseil a également demandé à son secrétariat de veiller à la préparation du congrès prévu avec la Banque mondiale courant cette année et accueilli favorablement la participation à ce congrès de l’instance en charge de la connexion électrique dans les pays de Conseil de coopération du Golfe (CCG) arabe.
Le Conseil a, par ailleurs, appelé les pays arabes qui disposent d’une instance de régulation de l’électricité à adhérer au Forum arabe des régulateurs de l’électricité et à intensifier leur participation aux activités menées par le Forum.
Lors de sa session, le Conseil a examiné plusieurs sujets, dont le développement des projets de connexion électrique dans le monde arabe et du marché arabe commun de l’électricité, l’activation des mécanismes de coopération avec la Banque mondiale en vue d’élaborer le plan exécutif de création du marché arabe commun de l’électricité.
Le Maroc a été représenté aux travaux de la 12è session du Conseil des ministres arabes de l’électricité par l’ambassadeur du Royaume au Caire et son délégué permanent auprès de la Ligue arabe, Ahmed Tazi.

SM le Roi Mohammed VI a inauguré, le 1er avril, le chantier de la quatrième et dernière tranche du programme solaire Noor à Ouarzazate. Ce dernier déploiera à terme une capacité totale de 582 mégawatts (MW).

Noor VI, qui sera développé sur une superficie de 137 hectares, est d’une capacité de 72 MW et utilisera la technologie photovoltaïque du type « polycristallin avec un système de tracking à un axe ». La maturité de cette technologie dans un marché en forte croissance en fait une solution très compétitive pour le Maroc.

La réalisation de la centrale Noor IV s’inscrit en droite ligne des engagements internationaux du Royaume concernant la baisse des émissions de gaz à effet de serre et de son objectif majeur de porter la part des énergies renouvelables dans le mix électrique national à 52% à l’horizon 2030.

La quatrième tranche du programme solaire Noor Ouarzazate nécessitera un investissement de 750 millions de dirhams, dont 659 millions de dirhams financés par KFW, Bankengruppe.

La centrale Noor Ouarzazate IV, dont la mise en service est prévue pour le premier trimestre 2018, sera développée dans le cadre d’un partenariat associant MASEN, acteur central des énergies renouvelables au Maroc, et un consortium d’opérateurs privés mené par le groupe ACWA POWER et sélectionnée suite à un appel d’offres international.

La phase d’exploitation sera opérée, selon un schéma de production indépendante (Independent Power Production – IPP) tripartite intégrant l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE). Le tarif de sortie du kilowattheure de Noor Ouarzazate IV s’établira à 0,44 dirham, coût parmi les plus compétitifs jamais obtenu sur le marché mondial du photovoltaïque.

Par ailleurs, le taux d’avancement des travaux de la deuxième et troisième centrale du complexe solaire Noor (Noor II et Noor III), lancé par le Souverain le 4 février 2016, ont atteint, respectivement, les 76 et 74 % et adoptent également le schéma de production IPP.

D’une puissance de 200 MW, la centrale Noor II est développée sur une surface maximale de 680 ha, sur la base de la technologie thermo-solaire (CSP), avec capteurs cylindre parabolique. Pour sa réalisation, plus de 3.870 employés ont été mobilisés à ce jour, et 53 entreprises interviennent pour sa concrétisation, dont 43 entreprises marocaines.

La centrale Noor III est, quant à elle, développée sur une surface de 750 ha en utilisant la technologie thermo-solaire (CSP) avec Tour, et aura une puissance de 150 MW. Plus de 2.520 employés ont été mobilisés à ce jour pour sa réalisation, et 53 entreprises, dont 40 marocaines, y sont intervenues.

Les centrales Noor Ouarzazate II, III et IV, combinés à la Centrale Noor Ouarzazate I (160 MW), mise en service en février 2016, font de Noor Ouarzazate le plus grand site de production solaire multi-technologique au monde. Le complexe Noor Ouarzazate abrite également une tour belvédère offrant une vue panoramique de l’ensemble du site, ainsi qu’un poste central de sûreté, que le Roi a visité en ce jour.

À terme, le complexe comprendra aussi un parc à thèmes (MASEN Park) de 16 hectares dont le tracé reproduit celui de la carte du Royaume, ainsi que des équipements structurants, dont une plateforme Recherche et développement, un bâtiment multifonction comprenant des espaces dédiés à l’exploitation et au fonctionnement du site, un auditorium et une médiathèque.

Le Maroc est devenu, le 6 avril 2017, membre du bureau exécutif du Conseil des ministres arabes (CMA) en charge de l’électricité pour les deux prochaines années.

Le Conseil, réuni dans le cadre de sa 12ème session au siège de la Ligue arabe au Caire, a approuvé la composition de son nouveau bureau exécutif qui est présidé par l’Egypte et comprend parmi ses membres, outre le Maroc, les Emirats arabes unis, le Soudan, la Mauritanie, la Jordanie, l’Arabie Saoudite et la Libye.

A noter que le Maroc a été représenté aux travaux du Conseil par l’ambassadeur du Royaume au Caire et son délégué permanent auprès de la Ligue arabe, Ahmed Tazi.

Avec le lancement par Sa Majesté le Roi Mohammed VI des travaux de réalisation de la Centrale Noor Ouarzazate IV, le Complexe Noor Ouarzazate, le plus grand complexe énergétique au Monde, arrive à sa dernière ligne droite.
Etendu sur plus de 3.000 hectares, Noor Ouarzazate est constitué de quatre centrales solaires multi-technologiques, développées en total respect des normes internationales, tant au niveau technologique qu’environnemental, et associées à une plateforme de recherche et développement qui s’étend sur plus de 150 hectares.
D’une capacité pouvant atteindre 160 MW, la première Centrale du Complexe Noor Ouarzazate (Noor I), mise en service en février 2016 par SM le Roi Mohammed VI, adopte le procédé de production dit IPP (Independent Power Producer). Cette centrale, développée sur une surface d’environ 480 hectares, fait appel à la technologie thermo-solaire (CSP) à capteurs Cylindro-Paraboliques avec une capacité de stockage thermique prévue de trois heures à pleine puissance.
La deuxième et troisième centrale du complexe solaire Noor Ouarzazate (Noor II et Noor III), dont le taux d’avancement des travaux de réalisation atteint, respectivement, les 76 et 74 %, adoptent également le schéma de production IPP. La centrale Noor II, d’une puissance de 200 MW, est développée sur une surface maximale de 680 ha, sur la base de la technologie thermo-solaire (CSP), avec capteurs cylindro-paraboliques.
La centrale Noor III est, quant à elle, développée en utilisant la technologie thermo-solaire (CSP) avec Tour, et aura une puissance de 150 MW. Elle s’étalera sur une surface maximum de 750 ha.
La dernière tranche du Complexe solaire Noor (Noor IV), lancée en ce jour par le Souverain, sera développée sur une surface d’environ 137 ha en utilisant la technologie photovoltaïque (Photovoltaïque polycristallin avec système de tracking), avec une puissance installée à la pointe de 72 MW. La technologie photovoltaïque permet de produire de l’énergie électrique directement à partir du rayonnement solaire capté par des cellules semi-conductrices. La maturité de cette technologie dans un marché en forte croissance en fait une solution très compétitive pour le Maroc.
Ces quatre projets feront du Complexe Noor Ouarzazate le plus grand site de production solaire multi-technologique au monde avec une capacité totale de 582 MW et un investissement de 2 milliards d’euros, sans compter les infrastructures communes développées par Masen et l’ONEE pour les besoins des développeurs. Ces infrastructures servent les besoins de connexion électrique, de transport routier, d’adduction en eaux brute et potable, de drainage, de télécommunication et de sécurité.
Enfin, ces projets ont également été l’occasion d’activer les leviers de développement socio-économique à travers la mise en place d’actions dans la santé, l’éducation, l’agriculture, l’entreprenariat et l’animation culturelle et sportive. Ainsi, plus de 20.000 personnes ont pu bénéficier de ces mécanismes de solidarité, plus de 30 douars ont pu être alimentés en eau potable et 4 d’entre eux reliés au réseau routier national, réduisant ainsi leur désenclavement territorial.
Outre le complexe « Noor-Ouarzazate », le plan solaire « Noor » prévoit la construction d’une série de centrales solaires multi-technlogiques à Midelt, Laâyoune, Boujdour et Tata, pour une capacité minimum de 2.000 MW.
Avec tous ces projets énergétiques, le Maroc serait capable de satisfaire ses engagements internationaux relatifs à la baisse des émissions de gaz à effet de serre et d’atteindre son objectif majeur de porter la part des énergies renouvelables dans le mix électrique national à 52 % à l’horizon 2030.
Les énergies renouvelables, qui permettent au Royaume de faire face à ses besoins croissants en énergie tout en améliorant sa sécurité énergétique, constituent une réponse, la plus juste et visionnaire, aux problématiques liées à la lutte contre les changements climatiques.