L’Office National de l’Electricité et de l’Eau Potable (ONEE) a lancé, lundi 3 juillet au Centre des Sciences des Techniques de l’Electricité (CSTE) à Casablanca, un programme de formation dans les métiers de l’électricité au profit d’une quarantaine d’électriciens angolais.

Cette formation a pour objet le perfectionnement aux métiers de l’électricité et traitera des modules relatifs à l’exploration, à la maintenance et aux systèmes de protection du réseau de distribution basse et moyenne tension.

A travers ce programme, l’ONEE vise à assurer un transfert de savoir-faire par un enseignement théorique et pratique afin de permettre aux pays bénéficiaires d’améliorer la qualité des services fournis à leur clientèle.

Cette initiative s’inscrit dans le cadre du projet Réseau Africain des Centres d’Excellence en Electricité (RACEE), une initiative continentale menée par l’Association des Sociétés d’Electricité d’Afrique afin d’améliorer la performance du secteur électrique et intensifier les échanges régionaux grâce au renforcement des capacités techniques et managériales dans différents domaines, ainsi que la gouvernance du secteur.

Le RACEE est actuellement composé de quatre Centres d’Excellence, dont le CSTE de l’ONEE, avec pour objectif de porter le nombre de centres d’excellence à 8 centres et de former 7750 personnes sur une période de trois ans à partir de mars 2016.

La formation en cours à l’ONEE constitue la sixième session totalisant une centaine de personnes formées de différents pays.

Afriquia innove et lance une offre exclusive de qualité destinée aux particuliers CSP AB recherchant un carburant alliant protection maximale du moteur, économie et réduction des émissions polluantes sans oublier un meilleur démarrage à froid. Il s’agit du lancement du nouveau Gasoil 10 PREMIUM avec nombre de cétane garanti 55.

Le nouveau Gasoil 10 Premium optimise la consommation de carburant des véhicules grâce à une combustion plus complète, tout en réalisant des économies.

Afriquia devient donc le seul opérateur sur le marché à fournir une gamme de carburants complètes et additivés pour les produits sans Plomb et Gasoil 10.

Avec ce lancement, Afriquia affirme une fois de plus son rôle de leader en créant pour la première fois au Maroc, une gamme de carburants PREMIUM pour ses clients les plus exigeants.

La Confédération Générale des Entreprises du Maroc (CGEM) a organisé, le 06 juillet 2017, son forum « Entreprises Climat Maroc » sous le thème « La nouvelle économie à bas carbone et résiliente au Changement Climatique : opportunités pour les entreprises africaines ».

Pour la présidente de la CGEM, Miriem Bensalah Chaqroun, la question du changement climatique serait une réelle opportunité pour les entreprises qui sauraient le mieux s’adapter à une nouvelle économie verte, qui s’impose.

Dans son intervention, la patronne des patrons souligne également le rôle de ce forum qui offre une réelle expertise, et un accompagnement aux différents acteurs inscrits dans une démarche de développement durable permettant de faire face aux changements climatiques.

Lors de son discours inaugural, la patronne des patrons a tenu à saluer l’ensemble des personnalités présentes venus du Maroc et d’ailleurs pour assister à cette première édition. Notamment, les membres du comité de pilotage Cop22, le représentant du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), Directrice de la Banque Africaine de Développement (BAD).

Elle a également rappelé qu’une économie verte et une démarche responsable seraient primordiales et nécessaires, et qu’il est temps de s’organiser sur tous les niveaux en Afrique pour lutter efficacement contre la dégradation climatique.

Cet événement, qui a enregistré la présence de plus de 30 intervenants et près de 400 participants, avait pour objectif de faire le point sur l’évolution de la problématique du changement climatique, d’échanger sur l’avancement des négociations menées dans le cadre de la CCNUCC, mais aussi créer un cadre d’échange et de partage, pour les patronats africains, autour de leurs vision, initiatives et actions climat.

Classé parmi les cinq pays qui investissent le plus dans les énergies renouvelables et acteur prometteur dans le secteur des énergies, le Royaume continue ses efforts dans le cadre d’un Maroc vert, impliquant cette fois-ci même des jeunes. En effet, le groupe privé d’ingénierie et de technologie SENER vient de lancer le programme de formation d’une centaine de jeunes aux métiers liés à l’énergie solaire à concentration dans la ville de Ouarzazate, à l’issue de la première phase de sélection pour la centrale Noor Ouarzazate II.

Une initiative qui s’inscrit dans le cadre de la convention de partenariat signée entre Sener, Masen (l’Agence marocaine pour l’énergie durable) et l’OFPPT (l’Office de la formation professionnelle et de la promotion du travail) le 28 mars à Rabat, visant à renforcer l’industrie locale et les compétences du capital humain.

La formation s’inscrit dans le cadre des préparatifs au lancement de la phase d’exploitation des centrales Noor Ouarzazate II et Noor Ouarzazate III, et offre un programme de 3 mois, divisé en 16 modules et réparti sur 400 heures de formation théorique et pratique.

Ce programme se déroulera en deux étapes : la première, lancée le 3 juillet, concerne la centrale Noor Ouarzazate II, tandis que la seconde concernera Noor Ouarzazate III. En concevant ce programme de formation, Sener compte dupliquer la réussite qu’a connue sa filiale « Torresol energie », une expérience réussie et récompensée par le « Certificat de Qualité Professionnelle ». Sener sélectionnera parmi les candidats formés une soixantaine de personnes qui seront embauchées sur les sites Noor Ouarzazate II et Noor Ouarzazate III. Le groupe espagnol fournira également le matériel nécessaire et soutiendra la formation des formateurs de l’OFPPT.

Rappelons qu’en 2009, le programme solaire marocain a été lancé suite à une décision Royale, regroupant une série de projets autour de l’énergie solaire, avec un objectif de 2000 mégawatts dans quatre ans. C’est ainsi qu’a débuté la construction de la plus grande centrale solaire thermique du monde : la centrale solaire Noor, inaugurée en février 2016 à Ouarzazate, qui contient 4 extensions dont les 3 dernières sont en cours de construction.

La centrale Noor prévoit à l’horizon 2020 de produire plus de 40% de l’électricité du Royaume à partir des énergies propres. En plus de cette plus grande ferme solaire d’Afrique, le Maroc dispose aussi du plus grand parc éolien, à Tarfaya, entré en service en décembre 2014. Il contient 131 éoliennes et sa capacité est de 301 MW en tout.

Le Maroc réalise de grands projets d’énergies renouvelables pour exploiter ses conditions environnementales favorables pour la production des énergies, mais aussi pour devenir moins dépendant des pays voisins surtout en ce qui concerne les énergies fossiles.

En effet, en 2011, la consommation d’énergie au Maroc provenait de sources d’énergies fossiles à 89 % (pétrole, charbon, gaz), intégralement importées. Le Maroc a tout de même encore du chemin à faire afin de rendre les énergies renouvelables une industrie lui permettant de passer à une économie verte.

C’est un projet d’envergure qui devrait atteindre 52% de la capacité installée d’énergies renouvelables d’ici 2030. Concentré à Midelt, il bénéficiera d’une enveloppe de 25 millions de dollars.

Le Fonds pour les Technologies Propres vient d’approuver un prêt d’un montant de 25 millions de dollars à destination du royaume. Une aide octroyée dans le cadre des Fonds d’investissement climatique, afin de financer un projet générant de l’énergie solaire grâce à une solution hybride combinant le solaire thermodynamique à concentration (CSP) et la technologie photovoltaïque (PV).

Ce coup de pouce a été donné dans le cadre des Fonds d’investissement climatique. Un appui qui a permis de réduire le coût du chantier. Soutenu par la Banque africaine de développement (BAD), la phase 2 du projet d’énergie solaire de Mildelt comprend deux usines CSP. La première dispose d’une capacité de 150 MW, tandis que la seconde dispose de 190 MW, ainsi qu’un minimum de 5 heures de stockage thermique.

A en croire la BAD, ce nouveau projet basé sur la structure opérationnelle et financière de Noor, contribuera au développement de l’énergie solaire, à la diversification du mix énergétique du pays et au renforcement de sa sécurité énergétique.

Outre son apport en approvisionnement énergétique, ce projet permettra la réalisation des objectifs fixés par le gouvernement marocain conformément aux engagements pris lors de l’Accord de Paris, y compris l’objectif de 52% des énergies renouvelables (20% de l’énergie solaire) d’ici 2030.

Et d’ajouter que ce projet repose également sur un partenariat public-privé unique entre l’Agence Marocaine pour l’Energie Durable (MASEN) et les promoteurs du secteur privé, rappelle la même source.

Et de poursuivre que les soumissionnaires sélectionnés vont former une société qui sera chargée de la construction et de l’exploitation des centrales et de la vente de l’électricité produite à MASEN, en vertu d’un contrat d’achat d’électricité de 25 ans.

Pour conclure, la BAD estime les économies de gaz à effet de serre pour le projet Phase 1 de Noor-Midelt à environ 1,2 million de tCO2, soit l’équivalent annuellement de 36 millions de tCO2 pendant la durée de vie de 25 ans du projet.

L’Office National de l’Electricité et de l’Eau Potable (ONEE) a lancé, lundi 3 juillet au Centre des Sciences des Techniques de l’Electricité (CSTE) à Casablanca, un programme de formation dans les métiers de l’électricité au profit d’une quarantaine d’électriciens angolais.
Cette formation a pour objet le perfectionnement aux métiers de l’électricité et traitera des modules relatifs à l’exploration, à la maintenance et aux systèmes de protection du réseau de distribution basse et moyenne tension.
A travers ce programme, l’ONEE vise à assurer un transfert de savoir-faire par un enseignement théorique et pratique afin de permettre aux pays bénéficiaires d’améliorer la qualité des services fournis à leur clientèle.
Cette initiative s’inscrit dans le cadre du projet Réseau Africain des Centres d’Excellence en Electricité (RACEE), une initiative continentale menée par l’Association des Sociétés d’Electricité d’Afrique afin d’améliorer la performance du secteur électrique et intensifier les échanges régionaux grâce au renforcement des capacités techniques et managériales dans différents domaines, ainsi que la gouvernance du secteur.
Le RACEE est actuellement composé de quatre Centres d’Excellence, dont le CSTE de l’ONEE, avec pour objectif de porter le nombre de centres d’excellence à 8 centres et de former 7750 personnes sur une période de trois ans à partir de mars 2016. La formation en cours à l’ONEE constitue la sixième session totalisant une centaine de personnes formées de différents pays.

 

La société financière internationale (IFC), membre du Groupe de la Banque mondiale, et Proparco, filiale de l’Agence Française de Développement (AFD) dédiée au secteur privé, investissent respectivement 100 et 35 millions d’euros dans la première émission d’obligations vertes de la Banque Centrale Populaire (BCP) pour promouvoir des projets durables et respectueux de l’environnement au Maroc.

Il s’agit de la première émission d’obligations vertes en devise étrangère pour le Royaume mais aussi pour IFC et Proparco de la première souscription à des obligations vertes dans la région.

D’une maturité de dix ans, ces obligations permettront à BCP, l’un des plus importants groupes bancaires marocains, de refinancer sur le long terme certains projets d’énergie renouvelable. L’objectif principal de cette opération est de créer un mécanisme de financement durable pour que les banques prennent en charge les investissements à long terme sur des actifs verts, en canalisant l’argent institutionnel privé vers la finance climatique via les marchés financiers.

« Il s’agit d’une opération stratégique qui marque, d’une part, notre positionnement de banque pionnière en matière de financement de projets d’énergie renouvelable et, d’autre part, témoigne de la confiance dont jouit le Groupe BCP auprès des plus grandes institutions financières internationales », a indiqué Abdeslam Bennani, le Directeur Général Adjoint en charge de la Banque de Financement et d’Investissement à la BCP.

Ce nouvel investissement d’IFC fait partie de sa stratégie globale qui vise à créer des marchés en débloquant des investissements pour financer les projets du secteur privé, et à répondre à la demande croissante en énergie renouvelable et efficacité énergétique.

« Lutter contre le changement climatique est une priorité d’IFC dans la région et le Maroc est très actif dans ce domaine », a indiqué Mouayed Makhlouf, le Directeur d’IFC pour la région du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord.
« En s’appuyant sur notre partenariat de longue date avec la BCP, nous voulons encourager davantage d’investissements du secteur privé dans des projets à long terme d’énergie renouvelable, qui ouvrent la voie à un développement et une croissance économique plus durables ».
« Cette initiative innovante et historique s’inscrit en ligne avec les engagements pris l’an dernier par le Maroc lors de la COP22 à Marrakech », a précisé Yazid Safir, le responsable du bureau Afrique du Nord de Proparco.
« Cette opération pilote pour Proparco nous permettra de stimuler le marché des capitaux marocains et de développer de nouvelles souscriptions à des Green Bonds dans d’autres géographies, tout en renforçant notre partenariat de longue date avec le groupe BCP », a-t-il ajouté.

Le financement devrait aider à économiser l’équivalent de 938.000 tonnes d’émissions de CO2 en moyenne par an, ainsi que l’équivalent de 17,36 millions de tonnes de CO2 en économies de gaz à effet de serre sur le reste de la durée de vie des projets financés, fait savoir le communiqué.

Le Rapport d’IFC Climate Investment Opportunities Report, publié en novembre 2016, a identifié des opportunités d’investissement climatique dans certains secteurs de l’ordre de 23.000 milliards de dollars dans 21 pays émergents d’ici 2030 et de 68 millions de dollars rien qu’au Maroc.

Le climat est au cœur des priorités de Proparco qui s’est engagée à consacrer 2 milliards d’euros d’ici 2020 à des projets participant à la lutte contre le changement climatique.

Le programme de Green Bond d’IFC contribue à inciter l’investissement privé dans des projets à faible émission de carbone. En juin 2017, IFC avait émis 5,8 milliards de dollars en obligations vertes dans 12 devises.

Vivo Energy Maroc, a lancé son programme Shell Club Fidélité. Novateur et accessible gratuitement à tous les clients Shell.
Shell Club Fidélité permet à ses membres de cumuler des points de fidélité au fur et à mesure de leurs achats dans les stations Shell participantes.
Ils peuvent par la suite les convertir en récompenses et participer à des tombolas mensuelles attractives.

« Shell Club Fidélité est conçu pour récompenser nos clients de leur fidélité et confiance dans nos produits et services. Nous souhaitons leur offrir une relation plus personnalisée et des avantages uniques tout au long de l’année » a déclaré Asaf V. Sasaoglu, DG de Vivo Energy Maroc.

L’originalité du programme réside dans son approche-multicanal qui permet d’y souscrire facilement aussi bien en station-service, sur le site web du programme, sur Facebook ou via un call center.

Une carte de fidélité est mise à disposition et peut être utilisée immédiatement.
Chaque achat en station-service, de carburants, lubrifiants, gaz ou de produits vendus en Shop Select, donne droit à des points.
Les points obtenus peuvent être convertis en cadeaux sur la base d’un catalogue riche et diversifié et sont ensuite envoyés à l’adresse choisie par l’adhérent.

Les investissements prévisionnels en matière de recherche des hydrocarbures s’élèvent à 1,308 milliards de DH pour les partenaires et de 42 millions de DH pour l’Office National des Hydrocarbures et des Mines (ONHYM).

Un communiqué publié à l’issue de la tenue, mercredi 21 juin à Rabat, de la 13è session du conseil d’administration de l’ONHYM, précise qu’à fin décembre 2016, le montant des investissements des partenaires a atteint plus de 1,117 MMDH, tandis que ceux de l’ONHYM sont évalués à 117,515 MDH.

En effet, 23 sociétés dont l’ONHYM opéraient, au 31 décembre 2016, dans la recherche des hydrocarbures sur 29 permis en Onshore, 64 permis en offshore, 4 autorisations de reconnaissance en Onshore, 9 concessions d’exploitation et 2 MOU sur les schistes bitumineux, souligne le communiqué, notant que malgré une conjoncture internationale difficile, marquée par la baisse des prix du pétrole, l’ONHYM a redoublé d’efforts pour, à la fois, pousser ses partenaires à respecter leurs engagements et attirer d’autres partenaires dans l’exploration des bassins sédimentaires marocains.

Outre les différentes études géologiques, les travaux ont concerné l’acquisition de 5.540 Km2 de sismique 3D, 456,75 Km de sismique 2D et le forage de 2 puits par la société Sound Energy (permis Tendrara Lakbir), fait savoir l’ONHYM, précisant que ces deux puits ont confirmé la présence de gaz dans le Trias.

Le Maroc et l’Agence internationale de l’Energie (AIE) ont signé, le 28 juin à Paris, un programme d’action pour une durée de trois ans dans le but d’approfondir la coopération bilatérale dans les domaines de la sécurité énergétique, des énergies renouvelables, de l’efficacité énergétique, du renforcement des capacités et des données et statistiques.

Signé par le ministre de l’Energie, des Mines et du développement durable, Aziz Rebbah et le directeur exécutif de l’AIE, Fatih Birol, ce programme vise à répondre aux besoins spécifiques du Royaume, devenu membre associé de l’Agence en novembre 2016, en matière de transition vers une économie à bas carbone.

Dans le cadre du programme, le Secrétariat de l’AIE et le Ministère de l’Énergie, des Mines et du Développement durable travailleront en étroite collaboration pour atteindre les objectifs ambitieux énoncés dans le plan énergétique à long terme du Royaume.
« Ce programme conjoint de travail vise à promouvoir les relations de longue date entre l’AIE et le Maroc et consolidera le partenariat entre les deux parties pour un avenir énergétique plus durable et plus sûr », a déclaré M. Birol, se félicitant du leadership et de l’engagement du Maroc en matière de développement des énergies renouvelables.

A rappeler que le Maroc est devenu le premier pays de la région MENA à bénéficier du statut de membre associé de l’AIE, permettant ainsi à l’Agence à s’ouvrir aux économies émergentes.

Le Maroc possède de nombreuses sources d’énergie renouvelable, principalement l’énergie solaire, éolienne et hydroélectrique, et est un leader régional dans le développement de technologies énergétiques propres, indique l’AIE dans un communiqué, relevant que le gouvernement marocain poursuit une politique visant à réduire sa dépendance à l’égard des combustibles fossiles importés et à accroître la part des énergies renouvelables.

Il a également été parmi les premiers pays de la région MENA à réduire les subventions aux combustibles fossiles et à introduire des mesures d’efficacité énergétique.

La collaboration de l’AIE avec le Maroc a débuté en 2007, en particulier dans les domaines de la politique énergétique, des statistiques et de la recherche et du développement (R & D). Deux ans plus tard, le gouvernement a adopté une stratégie énergétique nationale, établissant des objectifs clairs pour le développement de l’énergie éolienne, solaire et hydroélectrique.

Le nouveau programme de travail est conçu pour soutenir le Maroc dans la mise en œuvre de la stratégie énergétique, y compris l’orientation et l’assistance sur les meilleures pratiques et technologies qui aideront le Royaume à atteindre ses objectifs énergétiques propres.