La Stratégie nationale d’efficacité énergétique à l’horizon 2030, qui intervient dans le cadre de la vision de SM le Roi Mohammed VI visant la transition énergétique et le renforcement des énergies renouvelables, ambitionne d’atteindre 52% d’énergies renouvelables, a affirmé le ministre de l’Energie, des Mines et du Développement durable, M. Aziz Rebbah.

« Le ministre de l’Energie, des Mines et du Développement durable a présenté un exposé autour du projet de la Stratégie nationale d’efficacité énergétique à l’horizon 2030 qui vise à atteindre 52% d’énergies renouvelables au lieu de 34% en 2015 », a précisé le ministre délégué chargé des Relations avec le parlement et la société civile, porte-parole du gouvernement, Mustapha El Khalfi dans un communiqué lu lors d’un point de presse à l’issue de la réunion du Conseil du gouvernement.

Cette stratégique est fondée sur un exemple énergétique marocain basé sur plusieurs objectifs, dont la fourniture de l’énergie, la généralisation de l’accès à l’énergie à des prix concurrentiels et la maitrise de l’énergie, ainsi que la préservation de l’environnement, a-t-il indiqué, notant que le processus de transition énergétique dans notre pays a commencé depuis des années et a réalisé des avancées considérables.

Cette stratégie fera l’objet d’un contrat programme entre l’Etat et l’Agence marocaine de l’efficacité énergétique (AMEE), a fait savoir M. Rebbah, soulignant que cette stratégie comprend plusieurs mesures programmées lors de la première phase (2017-2021) touchant les secteurs les plus consommateurs de l’énergie, notamment le transport, l’industrie, les bâtiments, l’agriculture et l’électrification publique, ainsi que plusieurs mesures horizontales.

La facture énergétique du Maroc a atteint 52,5 milliards de dirhams annuellement, dont 93,3 MMDH importés de l’extérieur, ce qui place le Maroc dans une situation de dépendance énergétique. Notons que le Maroc dispose d’un environnement institutionnel, juridique et organisationnel qui lui permet de garantir la durabilité de ce service et de diversifier ses sources d’énergie.

Après cet exposé, le Conseil a décidé d’approfondir l’examen des mesures et engagements des départements ministériels concernés par cette stratégie et de vérifier les indicateurs à même de permettre une participation collective et une mobilisation au niveau de tous les secteurs concernés.

 

Les Conventions pour la réalisation de la plus grande unité mutualisée de dessalement de l’eau de mer pour l’irrigation et l’alimentation en eau potable de la région de Souss Massa ont été signées, jeudi 29 juin à Rabat, entre le ministère de l’Economie et des Finances, le ministère de l’Agriculture, de la Pêche Maritime, du Développement Rural et des Eaux et Forêts, l’ONEE, des entreprises espagnoles et la BMCE.

Il s’agit du plus grand projet de dessalement de l’eau de mer mutualisé d’irrigation et d’eau potable alimenté dans le monde alimenté par des énergies renouvelables.

Ce grand projet, qui nécessitera dans ses deux composantes (eau potable et eau agricole) un coût global de l’ordre de 4 milliards DH, devrait permettre, à terme, de sécuriser l’approvisionnement en eau potable du Grand Agadir et de fournir l’eau pour l’agriculture irriguée à haute valeur ajoutée de la zone de Chtouka.

La signature de ces conventions intervient dans la perspective du lancement prochain du projet en question qui sera le plus grand du genre à l’échelle mondiale de par sa capacité de production mutualisée pour les besoins de l’irrigation et de l’eau potable.

A la demande de la Fédération de l’Energie, Sa Majesté le Roi Mohammed VI a bien voulu accorder Sa Haute Sollicitude et Son Haut Patronage au 30e Forum du « World LPG » prévu du 03 au 05 octobre 2017, à Marrakech.

Le World LPG Forum est l’événement mondial annuel pour l’industrie du GPL.

Cet événement unique parcourt le monde en attirant chaque année les principales agences internationales, les décideurs, les médias et le plus haut niveau de leaders de l’industrie pour explorer les activités du GPL, discuter de son potentiel de croissance et forger de nouvelles relations d’affaires.

La Stratégie nationale d’efficacité énergétique à l’horizon 2030, qui intervient dans le cadre de la vision de SM le Roi Mohammed VI visant la transition énergétique et le renforcement des énergies renouvelables, ambitionne d’atteindre 52% d’énergies renouvelables, a affirmé le ministre de l’Energie, des Mines et du Développement durable, M. Aziz Rebbah.
« Le ministre de l’Energie, des Mines et du Développement durable a présenté un exposé autour du projet de la Stratégie nationale d’efficacité énergétique à l’horizon 2030 qui vise à atteindre 52% d’énergies renouvelables au lieu de 34% en 2015 », a précisé le ministre délégué chargé des Relations avec le parlement et la société civile, porte-parole du gouvernement, Mustapha El Khalfi dans un communiqué lu lors d’un point de presse à l’issue de la réunion du Conseil du gouvernement.
Cette stratégique est fondée sur un exemple énergétique marocain basé sur plusieurs objectifs, dont la fourniture de l’énergie, la généralisation de l’accès à l’énergie à des prix concurrentiels et la maitrise de l’énergie, ainsi que la préservation de l’environnement, a-t-il indiqué, notant que le processus de transition énergétique dans notre pays a commencé depuis des années et a réalisé des avancées considérables.
Cette stratégie fera l’objet d’un contrat programme entre l’Etat et l’Agence marocaine de l’efficacité énergétique (AMEE), a fait savoir M. Rebbah, soulignant que cette stratégie comprend plusieurs mesures programmées lors de la première phase (2017-2021) touchant les secteurs les plus consommateurs de l’énergie, notamment le transport, l’industrie, les bâtiments, l’agriculture et l’électrification publique, ainsi que plusieurs mesures horizontales.

Les livraisons de gaz naturel ont connu une hausse de 4,3% en 2016 par rapport à une année auparavant pour le gaz naturel et une baisse de 3% pour le condensat, a annoncé l’Office National des Hydrocarbures et des Mines (ONHYM).
Pour sa part, le volume ayant transité par le GME est de 9,01 milliards NM3 (normo mètre cube) en 2016, fait savoir l’ONHYM dans un communiqué.
Par ailleurs, l’ONHYM qui a tenu, mercredi 21 juin à Rabat, son 13è Conseil d’administration, a poursuivi la coopération avec plusieurs pays africains durant l’année 2016 (Mali, Guinée Conakry, Gabon, Mauritanie).
Plusieurs formations en géologie minière et pétrolière et en management ont été réalisées au bénéfice du personnel de ces pays, avec un total de 925 HJ pour les trois dernières années (dont 254 HJ pour 2016).
L’ONHYM a également signé en 2016, cinq accords de coopération dont trois avec des pays africains (Madagascar, Nigeria et Guinée Conakry).
Sur le plan managérial, l’exercice 2016 a été marqué par la mise en œuvre de la nouvelle organisation et du nouveau statut du personnel de l’Office entré en vigueur le 1er décembre 2015.
De plus, le Comité Hygiène et Sécurité a poursuivi son activité pour contribuer à la protection de la santé et de la sécurité du personnel et à l’amélioration de leurs conditions de travail, aussi bien dans les locaux de Rabat que sur les chantiers (Meskala, Gharb, Fes-Taounet).
Pour ce qui est de la RSE, l’ONHYM, à travers son rôle de catalyseur de l’exploration pétrolière et minière au Maroc, s’est engagé dans la voie de l’intégration volontaire des préoccupations sociales et environnementales via l’adoption d’une démarche fondée sur le concept des valeurs partagées.
L’Office s’est également engagé en faveur du climat en veillant à contribuer positivement à la réduction des émissions de CO2, souligne le communiqué, notant qu’un bilan carbone couvrant toutes les installations de l’ONHYM est en cours de préparation.
Des actions spécifiques (limitation du torchage de gaz, diminution de l’impact de l’éclairage, dématérialisation de nombreuses opérations) sont en cours d’évaluation, ajoute la même source.
Dans le cadre de la COP22, l’ONHYM a organisé le « OIL AND GAS SUSTAINABILITY FORUM », un évènement labellisé COP 22 centré sur l’examen des questions clés relatives à l’engagement des sociétés pétrolières et gazières dans la politique de développement durable.

Avant même le lancement de sa construction, le Groupe Renault avait promis de faire de son usine marocaine l’une des unités industrielles la plus propre au monde dans le secteur automobile. Aussi, cinq ans après son inauguration, le constructeur français s’apprête à se convertir à la consommation de l’électricité à la base d’énergies renouvelables.

En effet, Renault Tanger Méditerranée a récemment lancé un process de sélection d’un « Independant Power Producer » (IPP), un statut de producteur indépendant d’électricité que la loi 13-09 sur les énergies renouvelables a rendu possible. L’IPP devrait livrer de l’énergie verte directement à l’usine de Renault à Tanger à partir de sa centrale de production de l’électricité tout en payant des redevances à l’ONEE (Office National de l’Eau et l’Electricité) pour emprunter le réseau de transport d’énergie de ce dernier.

Pour l’instant, rien ne filtre de ce processs qui est au stade d’audition des offres technico-commerciales de la part des IPP présélectionnés mais selon des sources proches du dossier, Renault souhaite diversifier le bouquet de son approvisionnement en énergies renouvelables quand bien même la part écrasante des kwh verts aujourd’hui vendus par les rares IPP en phase d’exploitation (dont Nareva Holding qui dispose de plusieurs parcs éoliens en service et Energie Terre qui exploite une micro-centrale hydroélectrique dans la région de Midelt) à des consommateurs finaux de THT (Très Haute Tension) ou HT (Haute Tension) sont à base d’énergie éolienne.

Rappelons que l’usine tangéroise du deuxième constructeur automobile européen a été équipée en technologies de pointe en économie d’énergie et de l’eau grâce à la mise en place d’une chaufferie en biomasse pour le chauffage des étuves de peinture (dont les quelques 600 T de cendre produits par an sont recyclés dans la fabrication de bio-fertilisants certifiés utilisables en agriculture biologique) et un mécanisme de recyclage des eaux usées et d’élimination des rejets liquides (qui a permis d’économiser plus de 260.000 m³ d’eau potable en 2016).

Vivo Energy Maroc a mis en place une assurance maladie à l’ensemble du personnel des stations-service en gestion indirecte. Plus de 1600 personnes employées par les partenaires de Vivo Energy Maroc réparties sur 140 stations vont pouvoir bénéficier d’une couverture médicale.

« Le personnel opérant dans nos stations-services, ambassadeur de la marque Shell auprès de notre clientèle, a toujours bénéficié d’une attention particulière de la part de notre entreprise. Des programmes de formation, de motivation et de reconnaissance ont continuellement été à l’ordre du jour. Après avoir réussi leur bancarisation, est venue l’heure de les faire bénéficier d’une couverture médicale de qualité », a déclaré à ce propos Asaf V. Sasaoglu, Président Directeur Général de Vivo Energy Maroc.

À travers cette action, Vivo Energy Maroc, en collaboration avec les gérants des stations-service partenaires, répond à l’un des besoins fondamentaux de leur personnel et de leurs familles, et contribue, ainsi, à l’amélioration de leurs conditions de vie.

Les questions du secteur des énergies renouvelables en général et de l’énergie solaire en particulier ont été au centre d’une rencontre entre le Ministre de l’Energie, des Mines et du Développement Durable, Aziz Rabbah, et une délégation de la Fédération Nationale de l’Electricité, de l’Electronique et des Energies Renouvelables (FENELEC) et de l’Association Marocaine des Industries Solaires et Éoliennes (AMISOLE), conduite par son vice-président, Semmaoui Khalid. Lors de cette rencontre, M. Rabbah a fait part aux représentants de l’AMISOLE et de la FENELEC de sa vision pour le développement des énergies renouvelables en insistant sur la nécessité d’instaurer une dynamique collective impliquant tous les intervenants dans le secteur, aussi bien l’administration que les producteurs, les développeurs et les distributeurs. Concernant les producteurs et développeurs, le ministre a signalé qu’il y a lieu de mettre en place des normes afin de garantir la qualité pour les usagers et justifier l’instauration d’une préférence nationale lors de la compensation industrielle et l’ouverture du marché national. Quant aux membres de la délégation, ils ont remercié le ministre pour cette opportunité qui leur est offerte pour débattre des problèmes du secteur des énergies renouvelables en général et de l’énergie solaire en particulier. Ils ont dans ce cadre soulevé les questions portant sur l’applicabilité de la loi 13-09 relative aux énergies renouvelables et souhaitent que l’intégration industrielle soit revue pour permettre aux petites et moyennes entreprises (PME) nationales de pouvoir accéder aux marchés. De même, les intervenants ont évoqué la nécessité de voir les moyens pouvant être mis en œuvre en vue de dynamiser l’utilisation des énergies solaires et particulièrement les chauffe-eau solaires. Cette réunion a porté également sur l’efficacité énergétique qui constitue un

gisement important tant pour la création des emplois que pour l’économie d’énergie. Par la suite, M Rabbah a demandé à toute l’équipe d’organiser dans les plus brefs délais un atelier avec les opérateurs où seront débattus les projets de textes réglementaires et particulièrement le projet de décret relatif à la basse tension.

A l’occasion des Journées Mondiales de l’Environnement et de l’Océan, célébrées respectivement les 5 et 8 juin, et conformément à ses engagements pour le développement durable, Lydec déploie un dispositif spécial de sensibilisation au profit de ses parties prenantes. « Rapprocher les gens de la nature » et « Nos océans, notre avenir » sont les thèmes choisis cette année par l’ONU pour célébrer ces deux journées considérées comme des plateformes mondiales de sensibilisation du public.

A cette occasion, Abdellah Talib, Directeur Communication, Développement Durable et Innovation de Lydec et Vice-président de la Fondation Lydec a indiqué qu’«à travers le programme que nous mettons en place, nous voulons sensibiliser et mobiliser nos parties prenantes autour de deux enjeux environnementaux majeurs : la préservation de l’environnement et des espaces verts et la protection du littoral et de l’océan. C’est ainsi que nous souhaitons apporter une contribution concrète au développement durable du Grand Casablanca ».

Le programme déployé par Lydec à l’occasion des Journées Mondiales de l’Environnement et de l’Océan s’inscrit dans le cadre de son Plan d’Actions Développement Durable 2020. Structuré autour de 4 engagements et 20

objectifs fixés pour la période 2015-2020, le PADD 2020 vise, entre autres, à sensibiliser les parties prenantes de l’entreprise à l’environnement et au développement durable et à contribuer à l’amélioration du cadre de vie des habitants.

ACWA Power II et le conseil communal de la ville de Ouarzazate ont signé un protocole d’entente dont le but sera d’assurer l’élaboration, le suivi, la révision et l’évaluation du plan d’action de la commune de Ouarzazate pour la période 2017- 2022, parallèlement aux efforts de la société

saoudienne ACWA Power dans le développement de la région du complexe solaire Noor.

Cet accord fait office de feuille de route pour la coopération entre la commune territoriale de Ouarzazate et la société ACWA Power. Un accord en vertu duquel les deux parties s’engagent à coopérer selon une approche participative lors de la mise en œuvre, la révision et l’évaluation des projets concernés, et ce en conformité avec les exigences du développement durable de la commune territoriale de Ouarzazate, fondé sur une vision stratégique claire, ajoute l’entreprise.

ACWA Power Ouarzazate s’engage en vertu de cet accord à contribuer à l’élaboration des projets de développement objets de l’accord, à prendre en considération le programme de travail de la commune dans la mise en œuvre des différents processus de développement, à contribuer au financement des projets du programme de travail et offrir un soutien technique selon les projets et les éventuels accords conclus. En plus, elle se chargera de la désignation du représentant de la société ACWA Power Ouarzazate II pour le suivi des différentes étapes de la mise à jour et du développement du programme de travail de la commune.