Leader marocain de la distribution de gaz de pétrole liquéfié, Afriquia Gaz a lancé pour la première fois au Maroc la Bouteille Nouvelle Génération avec système de branchement « Clic-on », une révolution en matière de conditionnement qui permettra l’utilisation de la bouteille de gaz en toute facilité.

La bouteille nouvelle génération est esthétique et moderne. Elle est aussi plus légère et dotée de poignées ergonomiques facilitant sa manipulation.

La bouteille nouvelle génération d’Afriquia Gaz est fournie avec un détendeur « Clic-on » pour une installation simplifiée. Ce détendeur permet de connecter la valve de la bouteille de gaz d’un seul « clic » de manière rapide et extrêmement simple.

La nouvelle technologie « Clic-on » permet une utilisation facile, Le débit de gaz peut être ouvert en tournant la poignée vers la position « ON ». Pour arrêter le débit de gaz et atteindre la position « OFF ».

Fidèle à sa volonté de satisfaire ses clients, Afriquia gaz est en permanence à la recherche de nouveaux produits, et constamment en quête d’amélioration et d’innovation.

Afriquia Gaz confirme sa vision d’excellence et offre aux consommateurs une technologie révolutionnaire avec la Bouteille Nouvelle Génération.

Un protocole d’accord a été signé le 24 mai par M. Saïd Mouline, Directeur Général de l’Agence Marocaine pour l’Efficacité Energétique « AMEE » et M. Dirk De Bilde, Directeur Général de Siemens Maroc, en présence de M. André Bouffioux, Directeur Général Siemens Belgique – Luxembourg, Afrique du Nord, de l’Ouest et Centrale.

Cet accord a pour objectif le développement et la mise en œuvre de solutions d’efficacité énergétique (EE) ainsi que la promotion de cette dernière à travers des actions de formation, de sensibilisation et de démonstration.

« Nous sommes heureux et fiers de ce partenariat avec l’AMEE, qui va aussi nous permettre de contribuer à l’objectif du Maroc d’atteindre 20% d’efficacité énergétique à l’horizon 2030 », souligne Dirk De Bilde. « D’ailleurs, chez Siemens, nous nous sommes fixé comme but, une empreinte carbone net-zéro d’ici 2030. Ce partenariat s’inscrit donc parfaitement dans la stratégie de Siemens qui se concentre sur les domaines de l’électrification, de l’automatisation et de la digitalisation ».

La collaboration entre les deux entités permettra la mise en place de projets pilotes pour le développement de l’efficacité énergétique, notamment dans le secteur du bâtiment.

Outre le volet projets de ce partenariat, précise Saïd Mouline, nous sommes ravis de voir les grands acteurs mondiaux de l’efficacité énergétique se développer dans notre pays. Cela facilitera le transfert de savoir-faire et la formation dans ce domaine.

Ce partenariat stratégique repose également sur une démarche de partage d’expériences et d’expertises entre les deux entités, notamment en matière de formation des Cadres, d’échange de données sur les tendances du secteur d’efficacité énergétique ainsi que les avancées technologiques dans ce domaine.

Une convention relative à la mise en place des bornes de recharge électrique au niveau du réseau autoroutier marocain, a été signée, le 16 mai à Marrakech, entre la Société nationale des Autoroutes du Maroc (ADM), l’Institut de Recherche en Energie solaire et Energies nouvelles (IRESEN) et le groupe « Schneider Electric », en marge de la 2e édition de la Conférence Internationale sur la Mobilité Durable. Cette convention, qui encadre la coopération entre les trois entités en matière de recherche dans le domaine de la mobilité électrique, porte notamment sur la mise en place du projet SIME (Services et Infrastructures pour la Mobilité Électrique). Cet accord, qui prévoit la mise en place par le consortium (ADM/IRESEN/Schneider Electric) de 37 bornes de recharge pendant la phase pilote dans un objectif de l’élargir sur tout le réseau autoroutier marocain, permettra à l’ADM, avec l’appui et l’expertise de l’IRESEN, de concrétiser sa démarche en faveur de la mobilité électrique en installant ces bornes de recharge de manière accessible et visible, tout en sécurisant leurs installations et en participant aux activités en Recherche et Développement du projet SIME, qui seront développés par IRESEN. En vertu de cet accord, ADM s’engagera à mettre en place des solutions technologiques et des pratiques de gestion qui maximisent les retombées économiques et sociales des investissements routiers, améliorer les trafics en vue d’une meilleure dé-carbonisation des routes et développer des solutions Smart Grids pour mieux gérer les ressources électriques. Ce projet, qui se veut le premier pas vers une concrétisation de la mobilité électrique au Maroc, verra la naissance d’une vitrine technologique, d’une homologation spécifique pour les bornes de recharge au Maroc et le développement d’un modèle de mobilité électrique pour le Royaume, qui comprendra notamment un cadre juridique et législatif. A cette occasion, un autre accord-cadre portant sur le développement de recherche et d’innovation en matière de mobilité électrique et visant le développement de nouveaux produits qui seront inspirés de la technologie externe, a été signé entre l’ADM et l’IRESEN.

Le premier producteur privé d’électricité au Maroc, Taqa Morocco, a réalisé au terme du premier trimestre 2017 un résultat net part du groupe (RNPG) en progression de 8% à 278 millions de dirhams.

Cette évolution est attribuable à la hausse du résultat d’exploitation et à l’amélioration du résultat financier suite à la baisse des charges d’intérêts sur emprunts. A fin mars dernier, le résultat d’exploitation consolidé s’établit à 702 MDH, en accroissement de 4%, compte tenu de l’évolution favorable du prix d’achat du charbon sur le marché international et des efforts continus d’optimisation des charges d’exploitation. Ainsi, le taux de marge opérationnelle consolidée ressort en amélioration à 34,6%, contre 32,4% à l’issue du premier trimestre 2016, relève la société dans son communiqué publié sur le site web de la Bourse de Casablanca.

Le leader national de la construction métallique, Delattre Levivier Maroc (DLM), vient d’annoncer le lancement officiel d’une filiale dédiée aux énergies renouvelables, DLM EnR. Cette entité est spécialisée dans les métiers liés aux énergies renouvelables et à l’autoconsommation d’énergie propre pour le compte d’industriels souhaitant diversifier leur approvisionnement, et s’alimenter à partir de sources propres et durables.

Les domaines d’expertises de DLM EnR couvrent diverses spécialités liées à la filière des énergies renouvelables, dont l’audit énergétique, l’efficience énergétique, le « waste to energy », la maîtrise des coûts, etc. Le coût de l’énergie est, pour un industriel, l’un des chapitres les plus lourds qui puisse peser sur son coût de revient. Si bien qu’il impacte lourdement la marge bénéficiaire et, par ricochet, la compétitivité de l’entreprise. Pour pallier ce problème et donner la possibilité aux industries énergivores d’optimiser leur consommation, DLM EnR a développé une série de solutions visant la réduction de cette facture énergétique à travers des solutions d’autoproduction.

DLM EnR a, ainsi, pour ambition d’aider les industriels à maintenir à la baisse leurs charges en diversifiant leurs sources d’approvisionnement et ce, en devenant eux-mêmes acteurs dans la production de leur propre énergie.

En analysant les consommations et en proposant des configurations sur mesure (mixtes, photovoltaïques, éoliennes, avec ou sans stockage), les solutions proposées par DLM EnR s’adaptent aux besoins de chaque industriel. Dans un souci d’efficacité, le choix de la formule à adopter se décide dépendamment de la disponibilité de l’infrastructure, de la nature des installations et des propriétés climatiques propres à la zone géographique où l’unité industrielle est située. Ces paramètres décident du succès de la transition vers un système d’autoproduction d’énergie propre, ce qui confère une importance vitale au contenu du diagnostic précédant cette étape. Pour ce faire, DLM EnR propose deux approches dont la prise en charge, pour le compte des industriels, de l’installation et le fonctionnement d’une unité d’autoproduction qui couvrira une partie de leurs besoins. La seconde porte sur l’installation des unités de production clé en main qui seront entièrement gérées par les industriels, et assurer la maintenance et la formation nécessaires. Selon DLM, opter pour une solution complémentaire d’approvisionnement en énergie renouvelable, c’est agir sur le coût de sa consommation en énergie, maîtriser ses coûts de revient, maximiser sa compétitivité et préserver son environnement immédiat. DLM EnR offre aux industriels la possibilité d’adopter les bons réflexes d’efficacité et d’efficience énergétique.

La Secrétaire Générale de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), Mme. Michaëlle JEAN, a visité cette semaine la plateforme internationale de test, de recherche et de formation « Green Energy Park » à Benguerir, a annoncé le 12 mai l’Institut de Recherche en Energie Solaire et Energies Nouvelles (IRESEN).
Lors de cette visite, le Directeur Général de l’IRESEN, M. Badr IKKEN, ainsi que les responsables de la plateforme ont présenté les activités menées au niveau de cette infrastructure de recherche et de formation unique en Afrique et ont mis en évidence le rôle qu’elle assure pour renforcer les capacités dans le domaine des énergies renouvelables et sa contribution dans le transfert technologique du Nord vers le Sud.

Siemens et Gamesa ont signé un accord de fusion entre l’activité Siemens Wind Power avec Gamesa. Cette fusion donnera naissance à un acteur solide, jouant un rôle de leader sur le marché de l’industrie éolienne. Gamesa a été choisi comme partenaire en raison de sa très grande complémentarité quant aux aspects technologiques, opérationnels et géographiques de notre activité éolienne. Siemens sera actionnaire majoritaire (59%) de l’entité issue de cette fusion.

A ce titre, la division Wind Power au sein de Siemens S.A. au Maroc a été transférée à Siemens Wind Energy SARL depuis le 1er avril 2017.

Ce transfert de la division Wind Power englobera tous les contrats et les marchés publics des activités Siemens Wind Power, de même que toutes les offres et candidatures en cours pour la livraison, l’installation et la maintenance des projets, toutes les créances et dettes ainsi que toutes les garanties financières remises dans le cadre de marchés publics.

Le gestionnaire délégué aux services de distribution d’eau, d’électricité, d’assainissement liquide et d’éclairage public au niveau du Grand Casablanca (Lydec) a réalisé un investissement estimé à plus de 20 milliards de dirhams depuis 1997, avec une dimension très forte consacrée à la modernisation de l’assainissement, soit 45 %, a affirmé, vendredi 19 mai à Marrakech, Jean-Pascal Darriet, directeur général du Lydec. « Les investissements cumulés de la Gestion Déléguée entre 1997 et 2016 se sont établis à plus de 20 milliards de DH. C’est l’assainissement liquide qui est érigé en priorité dans le programme d’investissements, puisqu’il s’accapare 45% des investissements réalisés. Le reste est affecté aux autres métiers de l’entreprise, à savoir l’eau potable (23%), l’électricité et l’éclairage public (27%) et les moyens communs (5%) », a indiqué M. Jean-Pascal Darriet, qui intervenant lors de la 14e édition du Séminaire annuel des médias, organisée par Lydec, les 19 et 20 mai.

Mettant en exergue les grandes réalisations du délégataire et les enjeux des années à venir, il a précisé que Lydec a pu mettre en fonctionnement le ceinturage complet pour la protection du littoral permettant d’éviter tout rejet direct à la mer et d’assurer le traitement des eaux usées. Et de noter que pour la seule année 2016, environ 1,43 MMDH a été investi, dont 631 millions de DH (MDH) pour l’assainissement, 390 MDH pour l’eau potable, 373 MDH pour l’électricité et l’éclairage public et 32 MDH pour les moyens communs.

Compte tenu de l’urbanisation rapide que connaît l’agglomération, le responsable a indiqué que les besoins en investissements à l’horizon 2027 s’élèvent à quelque 17 MMDH, dont 10,6 MMDH consacrés à l’assainissement liquide, 3,4 MMDH pour l’eau potable, 3,1 MMDH pour l’électricité et l’éclairage public et 0,15 MMDH pour les moyens communs. Pour les enjeux à venir, M. Jean-Pascal Darriet a relevé que ces enjeux s’inscrivent en terme d’engagements, à savoir un engagement d’investissement en poursuivant le même rythme des années précédentes et un engagement en matière de modernisation des services en se rapprochant plus et mieux du client pour répondre à ses attentes.

Et d’ajouter que Lydec poursuivra son engagement en matière de responsabilité sociale et environnementale (RSE) qui va s’inscrire dans la durée en veillant à une meilleure maîtrise des impacts sociaux et environnementaux surtout avec l’obtention du label RSE de la CGEM. Dans la continuité de ses efforts visant à investir et à innover au service de ses clients, il a noté que Lydec a adopté en 2015 un nouveau concept d’agence clientèle alliant efficacité, convivialité et proximité, ajoutant qu’à ce jour, 2 agences ont été totalement rénovées (Diouri en avril 2015 et Sidi Bernoussi début mai 2017) et 3 nouvelles agences ont été aménagées selon ce nouveau concept (Errahma, Tit Mellil et Lahraouiyine). Ce séminaire a été une occasion pour présenter le bilan des réalisations de la gestion déléguée durant ces 20 dernières années, dans ses quatre métiers (distribution d’eau potable et d’électricité, assainissement liquide et éclairage public), les investissements mobilisés pour accompagner le développement de la métropole et les enjeux liés aux métiers de la société.

Une convention relative à la mise en place des bornes de recharge électrique au niveau du réseau autoroutier marocain, a été signée, mardi 16 mai à Marrakech, entre la Société nationale des Autoroutes du Maroc (ADM), l’Institut de Recherche en Energie solaire et Energies nouvelles (IRESEN) et le groupe « Schneider Electric », en marge de la 2e édition de la Conférence Internationale sur la Mobilité Durable.
Cette convention, qui encadre la coopération entre les trois entités en matière de recherche dans le domaine de la mobilité électrique, porte notamment sur la mise en place du projet SIME (Services et Infrastructures pour la Mobilité Électrique).
Cet accord, qui prévoit la mise en place par le consortium (ADM/IRESEN/Schneider Electric) de 37 bornes de recharge pendant la phase pilote dans un objectif de l’élargir sur tout le réseau autoroutier marocain, permettra à l’ADM, avec l’appui et l’expertise de l’IRESEN, de concrétiser sa démarche en faveur de la mobilité électrique en installant ces bornes de recharge de manière accessible et visible, tout en sécurisant leurs installations et en participant aux activités en Recherche et Développement du projet SIME, qui seront développés par IRESEN.
En vertu de cet accord, ADM s’engagera à mettre en place des solutions technologiques et des pratiques de gestion qui maximisent les retombées économiques et sociales des investissements routiers, améliorer les trafics en vue d’une meilleure dé-carbonisation des routes et développer des solutions Smart Grids pour mieux gérer les ressources électriques.
Ce projet, qui se veut le premier pas vers une concrétisation de la mobilité électrique au Maroc, verra la naissance d’une vitrine technologique, d’une homologation spécifique pour les bornes de recharge au Maroc et le développement d’un modèle de mobilité électrique pour le Royaume, qui comprendra notamment un cadre juridique et législatif.
A cette occasion, un autre accord-cadre portant sur le développement de recherche et d’innovation en matière de mobilité électrique et visant le développement de nouveaux produits qui seront inspirés de la technologie externe, a été signé entre l’ADM et l’IRESEN.

 

Le Ministre de l’Energie, des Mines et du Développement durable, Aziz Rabbah, a pris part à la 5e édition de « Vienna Energy Forum » (VEF), tenue à Vienne les 11 et 12 mai, où il a présenté les dernières évolutions du secteur énergétique au Maroc.
Ainsi, le ministre est intervenu à la session ministérielle qui a rassemblé des ministres de différentes régions du monde pour partager leurs expériences nationales avec la formulation de stratégies pour la mise en œuvre des objectifs de développement durable (ODD) et de l’accord de Paris en relation avec l’énergie, indique un communiqué du ministère.
Lors de ce forum organisé sous le thème « Une énergie durable pour la mise en œuvre des ODD et de l’Accord de Paris », M. Rebbah a eu des entretiens notamment avec le Directeur général de l’Organisation des Nations Unies pour le développement industriel (ONUDI), Li Yong, axés sur le renforcement de la coopération technique entre le Maroc et l’ONUDI pour le développement d’un nouveau « Program for Country Partnership » (PCP).
Le ministre a également rencontré le Directeur de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), M. Yukiya Amano, et évoqué ensemble les possibilités d’accompagnement de l’AIEA au Maroc pour le développement des projets communs dans les secteurs de la santé, de l’agriculture et de l’eau, entre autres. Il a également eu des entretiens avec la vice-secrétaire générale des Nations unies, chargée du suivi des objectifs du développement durable, du climat et de la réforme des Nations Unies, Mme Amina Mohamed, le ministre de l’énergie, du charbon et des énergies renouvelables de l’Inde, Piyush Goyal, le Directeur général de l’énergie durable pour tous, Rachal Kyte, et le secrétaire général de la chambre austro-arabe, Mouddar Khouja, dans le but de développer la coopération bilatérale, notamment dans les domaines des énergies renouvelables et du développement durable.
M. Rabbah a également eu une série d’autres entretiens avec ses homologues des pays participants et avec de hauts responsables et décideurs des institutions internationales oeuvrant dans le domaine de l’énergie et vue d’examiner les moyens à même de renforcer la coopération avec le Maroc.