ACWA Power II et le conseil communal de la ville de Ouarzazate ont signé un protocole d’entente dont le but sera d’assurer l’élaboration, le suivi, la révision et l’évaluation du plan d’action de la commune de Ouarzazate pour la période 2017- 2022, parallèlement aux efforts de la société

saoudienne ACWA Power dans le développement de la région du complexe solaire Noor.

Cet accord fait office de feuille de route pour la coopération entre la commune territoriale de Ouarzazate et la société ACWA Power. Un accord en vertu duquel les deux parties s’engagent à coopérer selon une approche participative lors de la mise en œuvre, la révision et l’évaluation des projets concernés, et ce en conformité avec les exigences du développement durable de la commune territoriale de Ouarzazate, fondé sur une vision stratégique claire, ajoute l’entreprise.

ACWA Power Ouarzazate s’engage en vertu de cet accord à contribuer à l’élaboration des projets de développement objets de l’accord, à prendre en considération le programme de travail de la commune dans la mise en œuvre des différents processus de développement, à contribuer au financement des projets du programme de travail et offrir un soutien technique selon les projets et les éventuels accords conclus. En plus, elle se chargera de la désignation du représentant de la société ACWA Power Ouarzazate II pour le suivi des différentes étapes de la mise à jour et du développement du programme de travail de la commune.

Cinq consortiums ont été pré-qualifiés par l’Agence marocaine de l’énergie durable (MASEN) pour la phase 1 de Noor Midelt, suite à l’évaluation des offres de quelque 7 entreprises qui avaient soumis leur candidatures, en novembre 2016. Il s’agit de ACWA Power, EDF Energies Nouvelles, ENGIE, Innogy SE et JGC, fait savoir Masen dans un communiqué, notant que ces consortiums pourront soumissionner à l’Appel d’Offre final, dont le lancement par Masen est prévu dans les mois qui suivent. Cette phase du programme Noor Midelt est composée de deux centrales hybrides avec stockage, combinant photovoltaïque et thermique (CSP) avec une capacité entre 150MW et 190 MW chacune. Le 18 juillet 2016, Masen a lancé le processus qui lui permettrait de sélectionner les potentiels développeurs de la phase 1 du programme Noor Midelt. Ce programme doit être développé dans le cadre d’un schéma IPP (Independent Power Producer) comprenant la conception, le financement, la construction, l’exploitation et la maintenance des centrales. Les projets pilotés par Masen dans le cadre du plan solaire multi-sites et multi-technologies Noor, visent à produire une capacité minimale de 2.000 MW d’ici 2020, dont 680 MW ont d’ores et déjà été lancés avec succès à Ouarzazate, Laayoune et Boujdour.

Dans le cadre de sa stratégie de promotion du Basketball auprès des jeunes, l’organisation TIBU Maroc en partenariat avec Afriquia Gaz et l’Académie Régionale de l’Education et de la Formation – Souss Massa (AREF) ont inauguré un premier centre de basketball à Inezgane en présence des autorités de la région et de jeunes bénéficiaires accompagnés de leurs parents.

L’association TIBU Maroc, reste optimiste pour l’avenir du basketball au Maroc et suit sa feuille de route, en s’engageant à dupliquer son concept de centre de basket au niveau des 12 régions du royaume à l’horizon 2025.

Par l’ouverture de ce nouveau centre, TIBU Maroc et ses partenaires souhaitent réunir et engager une centaine de jeunes de la ville d’Inezgane dans un programme sportif et pédagogique complet comprenant le basketball comme activité phare, encadrés par des éducateurs de l’association.

Le ministre en charge de l’Administration nationale de l’Énergie de la République populaire de Chine, Nur Bekri, a salué, le 5 juin à Rabat, la volonté du Maroc de sortir de la dépendance d’importation de l’électricité pour devenir un pays exportateur, et de faire du domaine énergétique un vrai bénéfice économique. « Nous apprécions les résolutions et les efforts déployés par le Royaume dans le développement des énergies renouvelables et des réseaux d’électricité visant à réaliser son indépendance énergétique », a indiqué M. Bekri lors de la première réunion du comité de pilotage de l’Accord de coopération dans les domaines des hydrocarbures et de l’énergie, signé par les gouvernements des deux pays lors de la visite officielle de SM le Roi Mohammed VI en Chine en mai 2016. Il a aussi fait savoir que la Chine possède une forte expérience en technologie, réseau d’électricité et centrales photovoltaïque et éolienne, soulignant que son pays est disposé à partager avec le Maroc son expérience et sa pratique optimale à l’aide des soutiens financiers de « The Export–Import Bank of China » (China Exim Bank) et « Industrial and commercial Bank of China » (ICBC), entre autres. De par sa situation géographique, le Maroc est un pays très riche en ressources solaire et éolienne, a noté M. Bekri, rappelant que « Power China Groupe » avait contribué aux projets d’extension de la centrale thermique de Jerada et celui de la Centrale Noor, deux projets phares de la coopération sino-marocaine. De son côté, le ministre de l’Énergie, des mines et du développement durable, Aziz Rabbah, a souligné que cette réunion constitue une occasion pour la mise en œuvre de l’Accord de coopération dans les domaines des hydrocarbures et de l’énergie, signé entre le Maroc et la Chine, à l’occasion de la visite de SM le Roi Mohammed VI en Chine en mai 2016. « Cette réunion, intervient à point nommé, puisqu’elle se tient quelques semaines après l’adoption du programme d’action du gouvernement marocain, qui stipule de manière explicite que la mise en œuvre du partenariat énergétique stratégique avec la Chine constitue une priorité pour les cinq années à venir », a relevé M. Rabbah. Après avoir passé en revue le modèle énergétique marocain basé essentiellement sur le développement des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique, le ministre a fait observer que cette transition

énergétique a été traduite en programmes d’investissements pour les entreprises privées nationales et internationales, évaluées à l’horizon 2030 à plus de 40 milliards de dollars américain pour le secteur de l’énergie, dont les 3/4 pour les énergies renouvelables. S’agissant des programmes des énergies renouvelables à l’horizon 2030, il a indiqué que ces derniers porteront sur une capacité additionnelle de production d’électricité de sources renouvelables d’environ 10.100 MW dont 4.560 MW de source solaire, 4200 MW de source éolienne et 1.330 de source hydrique, ce qui permettra, selon le ministre, de réduire la dépendance énergétique du Royaume à moins de 82% en 2030. Quant à l’efficacité énergétique, a poursuivi M. Rabbah, la période 2017-2021 connaîtra, le lancement de la stratégique nationale de l’efficacité énergétique, ainsi qu’une feuille de route nationale pour la valorisation de la biomasse et de l’énergie géothermique. « L’objectif d’économie fixé est de 5% en 2020 et 20% à l’horizon 2030 ». A cette occasion, les deux parties se sont félicités de leur engagement à traduire ces objectifs en actions et projets concrets d’intérêt commun, notant, à cet égard, la mise en place des groupes de travail thématiques mixtes en vue d’élaborer une feuille de route déclinée en plans d’actions de coopération dans les domaines des hydrocarbures, de l’électricité et des énergies renouvelables. Les deux ministres ont, également, convenu de rehausser le niveau de coopération entre le Maroc et la Chine dans ces domaines et encouragé les opérateurs et les entreprises des deux pays à développer des partenariats visant à saisir les opportunités d’investissement qui se présentent dans les domaines visés par l’Accord de coopération.

Le modèle énergétique marocain et les projets structurants à l’oeuvre dans le Royaume ont brillé de mille feux, suscitant l’intérêt de plusieurs experts, acteurs et chefs d’entreprises présents à la 19e édition de l’Africa Energy Forum (AEF), dont les travaux se sont déroulés du 7 au 9 juin à Copenhague. Le ton a été donné, la veille de l’ouverture de ce Forum, par les organisateurs qui ont souligné que le Maroc, sous la conduite de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, est en passe de devenir un partenaire majeur pour toute l’Afrique, un continent qui se débat pour surmonter ses goulets d’étranglement en matière d’énergie et d’infrastructures. « Alors que l’Afrique s’intéresse aux solutions aux goulets d’étranglement de l’énergie et de l’infrastructure, le Maroc devient rapidement l’un de ses partenaires les plus importants », a relevé l’AEF. « Sous la conduite de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le Maroc recherche activement des partenariats soutenus par des projets de transformation comme le gazoduc Nigeria-Maroc », a précisé l’AEF dans une newsletter publiée sur son site-web. Une importante délégation marocaine, conduite par le Secrétaire général du ministère de l’Energie, des mines et du développement durable, Abderrahim El Hafidi, a pris part aux travaux de ce Forum dédié, entre autres, à tisser des rencontrer avec des fournisseurs de solutions, promouvoir les projets marocains de gaz et d’énergie durable et d’accélérer les partenariats africains. La délégation marocaine comptait deux représentants du ministère, six de l’Agence marocaine de l’énergie durable (MASEN), un de l’ONEE, le Directeur général de l’Agence marocaine de l’efficacité énergétique, Said Mouline, en plus des représentants d’une dizaine d’entreprises privées opérant dans le secteur énergétique.

Dans le cadre de sa stratégie de promotion du Basketball auprès des jeunes, l’organisation TIBU Maroc en partenariat avec Afriquia Gaz et l’Académie Régionale de l’Education et de la Formation – Souss Massa (AREF) ont inauguré un premier centre de basketball à Inezgane en présence des autorités de la région et de jeunes bénéficiaires accompagnés de leurs parents.

L’association TIBU Maroc, reste optimiste pour l’avenir du basketball au Maroc et suit sa feuille de route, en s’engageant à dupliquer son concept de centre de basket au niveau des 12 régions du royaume à l’horizon 2025.

Par l’ouverture de ce nouveau centre, TIBU Maroc et ses partenaires souhaitent réunir et engager une centaine de jeunes de la ville d’Inezgane dans un programme sportif et pédagogique complet comprenant le basketball comme activité phare, encadrés par des éducateurs de l’association.

Sa Majesté le Roi Mohammed VI a présidé, lundi 15 mai au Palais Royal à Rabat, la cérémonie de signature d’accords relatifs au projet du Gazoduc Nigéria-Maroc et à la coopération maroco-nigériane dans le domaine des engrais. Ce mégaprojet, conçu par les Africains pour les Africains, est l’illustration parfaite de la diplomatie de la parole et de l’action, et une nouvelle concrétisation de la vision de SM le Roi d’une Afrique maitresse de son destin, confiante en son avenir. Le pipeline Nigéria-Maroc aura un impact positif direct sur plus de 300 millions d’habitants. Il permettra d’accélérer les projets d’électrification dans toute la région de l’Afrique de l’Ouest, servant ainsi de base pour la création d’un marché régional compétitif de l’électricité.

Le Ministre de l’Energie, des Mines et du Développement durable, Aziz Rabbah, a pris part à la 5e édition de « Vienna Energy Forum » (VEF), tenue à Vienne les 11 et 12 mai, où il a présenté les dernières évolutions du secteur énergétique au Maroc. Ainsi, le ministre est intervenu à la session ministérielle qui a rassemblé des ministres de différentes régions du monde pour partager leurs expériences nationales avec la formulation de stratégies pour la mise en œuvre des objectifs de développement durable (ODD) et de l’accord de Paris en relation avec l’énergie. Lors de ce forum organisé sous le thème « Une énergie durable pour la mise en œuvre des ODD et de l’Accord de Paris », M. Rebbah a eu des entretiens notamment avec le Directeur général de l’Organisation des Nations Unies pour le développement industriel (ONUDI), Li Yong, axés sur le renforcement de la coopération technique entre le Maroc et l’ONUDI pour le développement d’un nouveau « Program for Country Partnership » (PCP).

Le ministre a également rencontré le Directeur de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), M. Yukiya Amano, et évoqué ensemble les possibilités d’accompagnement de l’AIEA au Maroc pour le développement des projets communs dans les secteurs de la santé, de l’agriculture et de l’eau, entre autres. Il a également eu des entretiens avec la vice-secrétaire générale des Nations unies, chargée du suivi des objectifs du développement durable, du climat et de la réforme des Nations Unies, Mme Amina Mohamed, le ministre de l’énergie, du charbon et des énergies renouvelables de l’Inde, Piyush Goyal, le Directeur général de l’énergie durable pour tous, Rachal Kyte, et le secrétaire général de la chambre austro-arabe, Mouddar Khouja, dans le but de développer la coopération bilatérale, notamment dans les domaines des énergies renouvelables et du développement durable. M. Rabbah a également eu une série d’autres entretiens avec ses homologues des pays participants et avec de hauts responsables et décideurs des institutions internationales oeuvrant dans le domaine de l’énergie et vue d’examiner les moyens à même de renforcer la coopération avec le Maroc.

La recherche et développement constitue une composante majeure de la stratégie énergétique nationale visant à positionner le Maroc comme plate-forme technologique en Afrique, a indiqué, le 23 mai à Casablanca, le ministre de l’Energie, des Mines et du Développement durable, Aziz Rebbah. M. Rebbah a fait savoir, dans une allocution lue en son nom par Mme Zohra Ettaik, directeur des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique au ministère lors du Forum Energy Days Maroc-Finlande, que le Maroc a mis en place un tissu industriel destiné principalement aux écosystèmes industriels des énergies propres à travers la maitrise des technologies de valorisation des ressources énergétiques renouvelables. Fort de son potentiel en énergies renouvelables, le Royaume poursuit ses efforts en vue de renforcer son positionnement et attirer les investisseurs et les institutions financières internationales pour participer au développement de grands projets à forte croissance dans les domaines des énergies renouvelables, a-il-dit lors de cette rencontre organisée organisé par l’Institut de recherche en énergie solaire et en énergie renouvelables (IRESEN) en partenariat avec le Centre finlandais des technologies ( MERINOVA). Il a ajouté qu’à travers IRESEN deux instrument ont été mis en place à savoir le financement de projets de recherche appliqués dans les technologies

d’énergies renouvelables et l’implémentation de plateformes de test, de recherche et de formation comme le « Green Energy Park ». Pour sa part, l’Ambassadeur de la Finlande à Rabat, Anne Vasara a affirmé que ce Forum, organisé avec le soutien du ministère des Affaires étrangères de la Finlande, constitue une occasion pour les opérateurs économiques finlandais de connaitre de près les projets d’envergures engagés au Maroc dans le domaine des énergies renouvelables, contribuer au développement des relations maroco-finlandaises tout en mettant en avant le savoir-faire finlandais dans ce secteur. La Maroc actuellement président des négociations pour les Accords contre le changement climatique au sein des Nations-Unies est un véritables précurseur dans le domaine des énergies renouvelables en Afrique et dans le mondeLes engagement du Royaume dans ce domaine ainsi que les actions concrètes pour les atteindre sont à féliciter telle que la réforme du secteur énergétique visant à garantir 52% des énergies des ressources renouvelables en 2030. Ce Forum qui a rassemblé d’éminents experts a permis également de mettre en place des partenariats gagnant-gagnant dans plusieurs domaines et débattre des thématiques telles que les opportunités de production et de distribution de l’énergie électrique, les réseaux intelligentes, l’efficacité énergétique et les énergies renouvelables.

Une cérémonie de signature d’un protocole d’accord visant la fusion entre la Fédération Nationale de l’Electricité, de l’Electronique et des Energies Renouvelables (FENELEC) et la Fédération Marocaine de l’Electricité (FEMADEL), a été organisée le 26 mai à Casablanca.

Ce protocole, dont la cérémonie de signature a été présidée par la présidente de la CGEM, Miriem Bensalah-Chaqroun, a été paraphé par les présidents respectifs de FENELEC et FEMADEL, Azelarab El Harti et Reda Sekkat, en présence de membres des Conseils d’administration des deux fédérations, indique la CGEM dans un communiqué. Et d’ajouter que sous l’égide de la Confédération, les deux parties sont parvenues, à travers leurs élus, à convenir de la mise en commun de leurs moyens, potentialités et énergies réciproques pour défendre leurs droits et engagements, relevant que l’entité réunissant les deux Fédérations gardera le nom de FENELEC. La CGEM a joué son rôle de médiateur et de facilitateur pour que le secteur soit représenté par une seule instance légitime et reconnue. Un processus

qui a démarré en juillet 2014, mené par la Présidence de la CGEM et assisté par Abdelaziz Taariji, opérateur du secteur et ex-Président de FENELEC, en tant que médiateur. La CGEM tient à féliciter FENELEC et FEMADEL pour leur sens des responsabilités, les efforts déployés et leur volonté de faire prévaloir l’intérêt général du secteur.