Le “Solar Decathlon Africa” est le témoignage d’un engagement exemplaire de la nouvelle génération en faveur de la transition énergétique, a souligné, le 13 septembre à Benguerir, le ministre de l’Énergie, des mines et du développement durable, Aziz Rabbah.

Cette plus grande compétition estudiantine au monde destinée à construire des maisonnettes intelligentes fonctionnant uniquement à l’énergie solaire, représente un appel à la communauté internationale de la part des jeunes engagés à travers des solutions innovantes et durables afin de faire face aux changements climatiques, a indiqué M. Rabbah lors de la cérémonie d’inauguration officielle du village “Solar Decathlon Africa”.

Cet événement, qui regroupe des étudiants de différentes universités à l’échelle internationale, reflète la prise de conscience de la jeune génération autour de l’enjeu climatique et l’importance de la recherche scientifique pour remédier aux impacts néfastes du réchauffement climatique.
Il a fait savoir que cette compétition organisée pour la première fois sur le sol africain, vise à entendre la voix du continent africain et mettre en avant le savoir-faire de ses jeunes à travers des projets créatifs amis de l’environnement.

Ce choix confirme encore une fois l’engagement du Royaume en matière de développement des énergies renouvelables, son orientation vers un modèle vert et sa volonté d’aller de l’avant, a-t-il précisé, ajoutant que le Maroc s’est engagé très tôt en faveur de la transition énergétique en adoptant une série d’initiatives et de projets verts.

Il a également insisté sur l’importance de la coopération internationale, notamment Sud-Sud, pour réduire les émissions du gaz à effet de serre et de s’investir dans les jeunes et la recherches scientifiques.
De son côté, le directeur général de l’Institut de Recherche en Energie Solaire et Energies Nouvelles (IRESEN), Badr Ikken a indiqué que ce projet débarque enfin en Afrique après le Solar Decathlon US, Europe, Amérique Latine, Chine et Moyen-Orient, notant que l’organisation de cette compétition au Maroc est un rêve qui se réalise, en permettant de créer des solutions adaptées au contexte africain.
Cet événement est une source de fierté pour les organisateurs et les étudiants venus du monde entier, qui ont pu en moins de trois semaines de relever le défi pour une efficacité énergétique maximale, a-t-il souligné.
Ce village offre l’opportunité de découvrir des maisons intelligentes et durables, alliant la science, la technologie, l’art, l’architecture et la respect de l’environnement.

Pour sa part, le Directeur de l’école d’architecture de l’Université Mohammed VI Polytechnique, Hassan Radoine a noté que cette initiative permettra de promouvoir la culture des énergies renouvelables et de développer la recherche scientifique, en tant qu’outil d’innovation en passant de la théorie à la pratique.
Cette compétition internationale, qui encourage la créativité et la transition énergétique à travers des projets durables, trace la voie d’un nouveau chemin pour la recherche scientifique et l’innovation, a-t-il noté, louant le travail fantastique réalisé par l’ensemble des participants.

Quant au gouverneur de la province de Rhamna, Aziz Bouignane, il a salué cette action louable qui s’inscrit en droite ligne avec la vision stratégique du Royaume en matière d’énergies renouvelables, passant en revue les différents chantiers initiés par le Maroc dans ce sens. Il s’est également félicité de la dynamique des étudiants et de leurs solutions innovantes qui respectent l’environnement et protègent la nature.

Organisé sous le Haut-Patronage de SM le Roi Mohammed VI, par l’Université Mohammed VI Polytechnique, l’Institut de Recherche en Énergie Solaire et Énergies Nouvelles (IRESEN) avec le soutien du Ministère de l’Énergie, des Mines et du Développement Durable, le “Solar Decathlon Africa” regroupe 1200 étudiants représentant 58 universités qui participent à la conception, la construction puis l’exploitation des maisons énergétiquement autonomes, qui utilisent l’énergie solaire comme unique source d’énergie et sont équipées par des technologies qui permettent une efficacité énergétique maximale.

L’ambassadeur du Maroc en Afrique du Sud, Youssef Amrani, a présenté, le 11 septembre à Johannesburg, la stratégie déployée par le Maroc pour le développement des énergies renouvelables, tout en mettant en valeur la pertinence de cette stratégie pour l’Afrique, un continent qui fait face à de nombreux défis liés à l’impact des changements climatiques.

S’exprimant à l’ouverture d’une conférence tenue sous le thème «Power Week Africa» à Sandton, quartier financier de Johannesburg, M. Amrani a, d’emblée, rappelé l’initiative de Sa Majesté le Roi Mohammed VI d’inviter plus de 30 pays africains au premier sommet africain de l’Action sur les changements climatiques, organisé à Marrakech en marge de la COP22 (2016).

C’était un sommet opportun eu égard à la priorité que tous les pays africains doivent accorder aux questions relatives aux énergies renouvelables et leur développement, a dit l’ambassadeur, rappelant les efforts déployés par le Maroc, depuis plus de 10 ans, pour la promotion, à l’échelle continentale, d’une vision intégrée, inclusive et concertée de ces questions.

«Le Maroc est convaincu que la mise en œuvre de toute stratégie durable et viable pour la lutte contre les changements climatiques doit être soutenue par tous les pays africains», a-t-il dit, soulignant que le Maroc demeure engagé, aux côtés des autres pays africains frères au sein de l’Union africaine, en faveur d’une Afrique orientée vers l’avenir et maitre de son propre destin.

Les défis sont de taille mais avec la détermination de toutes ses composantes, l’Afrique saura les relever, a encore dit le diplomate, soulignant que l’objectif ultime reste de construire une Afrique résiliente aux changements climatiques et engagée sur la voie d’un développement durable tout en respectant l’équilibre environnemental et social.

Dans cette veine, M. Amrani a relevé que l’Afrique doit parler d’une seule voix pour demander la mobilisation des ressources nécessaires.
«Il est de notre devoir de donner une forte impulsion à l’émergence africaine et continuer à avancer vers la réalisation des objectifs identifiés », a-t-il poursuivi.

Le diplomate a cité le projet de gazoduc Maroc-Nigeria comme un modèle de partenariat africain qui devra accélérer la mise en œuvre de projets d’électrification au profit des populations, créer un marché énergétique compétitif et contribuer à l’industrialisation et l’intégration de la région d’Afrique du l’Ouest et du Nord.

Par ailleurs, M. Amrani a relevé que la conférence de Johannesburg offre l’occasion de partager les ambitions et les visions pour l’avenir.
Il a, dans ce contexte, passé en revue les différentes réformes initiées dans le Royaume, soulignant que cette stratégie, qui émane de la plus haute autorité politique du pays, s’assigne comme objectif de réaliser le développement de l’efficacité énergétique et renforcer l’intégration régional.

Sur le plan institutionnel, la priorité a été accordée aux énergies renouvelables et à l’efficacité énergétique à travers la mise en place de l’Agence marocaine pour l’efficacité énergétique (AMEE) et la Moroccan Agency for Sustainable Energy (MASEN).

Ce cadre institutionnel a été amélioré avec l’accélération de la transition énergétique pour assurer une meilleure coordination entre les différents acteurs et servir d’appui au investisseurs nationaux et étrangers, a dit M. Amrani, avant de conclure que l’Afrique, un continent qui connaît une profonde mutation structurelle, se trouve dans une phase décisive de son histoire qui requiert la mise en œuvre de stratégies concertées et des mécanismes innovants pour pouvoir continuer résolument sa marche vers davantage de développement.

Pour sa part, Said Mouline, directeur général de l’AMEE, s’est attardé sur les objectifs de la stratégie, notamment de porter la part des énergies renouvelables dans le mix énergétique national a 42 % en 2020 et a 52 % à l’horizon 2030. Il a relevé que le cadre régulateur du secteur a été renforcé et des outils financiers ont été mis en œuvre avec les institutions financières locales pour financer des projets d’efficience énergétique dans les secteurs du bâtiment, de l’industrie et de l’agriculture.

A la faveur des efforts déployés dans ce domaine, le Maroc s’est positionné en tant qu’acteur actif dans les négociations internationales sur les changements climatiques.
Parmi les autres initiatives entreprises par le Royaume, M. Mouline a cité la Proclamation de Marrakech pour l’action en faveur du climat et du développement durable, adoptée lors de la COP22. Il s’agit, selon lui, d’une initiative qui a marqué un tournant vers «une nouvelle ère de mise en œuvre et d’action pour le climat», qui a incité les acteurs non-Étatiques à s’associer aux gouvernements pour prendre des mesures visant à atténuer les changements climatiques.

Le Maroc a également lancé, lors de la COP22, un plan pour l’adaptation du secteur agricole africain et a continué de défendre avec efficacité les préoccupations africaines lors de la COP23, a ajouté le directeur général de l’AMEE, notant que le sommet africain de l’action organisé en marge de la COP22 a été destiné à montrer comment divers secteurs liés aux changements climatiques comme l’agriculture, l’énergie, et l’eau, peuvent être développés en Afrique par des acteurs africains.

Illustrant le déploiement à l’échelle continentale de cette stratégie soutenue au plus haut niveau de l’État, M. Mouline a cité l’implication de l’Office Chérifien des Phosphates (OCP) qui œuvre pour le développement de ses activités agricoles en Afrique, les actions entreprises par MASEN et la mise en place par l’AMEE d’un centre de formation africain, soutenu par l’UNESCO. Ce centre est un exemple du partage d’expertise entre les acteurs africains.

La conférence «Power Week Africa» se tient avec la participation de professionnels et d’experts du secteur de l’énergie venus de plusieurs pays, notamment africains. Elle se veut une plateforme de networking et d’échange d’expertise pour le développement du secteur dans le continent. Plusieurs investisseurs prennent aussi part à ce conclave de cinq jours. 

Les affaires de l’entreprise pétrolière au royaume se portent bien. Le chiffre d’affaires de Total Maroc s’est établi à 6,03 milliards de DH au premier semestre de cette année contre 5,7 milliards de DH durant la même période de 2018.

Cette performance s’explique par une hausse de 13% des ventes à 862.000 tonnes à fin juin 2019, soutenues par un effort d’investissement de 6 ouvertures de nouvelles stations-services au cours du même semestre, portant ainsi le réseau de Total à 323 points de vente. Par ailleurs, l’endettement financier net de la société est négatif à hauteur de 114 milliards de DH fin juin 2019, en amélioration par rapport à la même période de l’année précédente.

Pour rappel, présent au royaume depuis plus de 90 ans, Total Maroc est un acteur de l’énergie qui produit et commercialise des carburants, du gaz naturel et de l’électricité bas carbone. 

Aujourd’hui, Total Maroc génère près de 600 emplois directs et plus de 5.000 emplois indirects, commercialise 1,6 million de tonnes de produits pétroliers chaque année et compte plus de 300 stations-service à travers tout le pays, dont dix autoroutières. Troisième acteur de la distribution de produits et services pétroliers dans le pays, la société détient une part de marché estimée à 15%.

Trois projets ont été primés lors du Challenge « EDF Pulse Africa Tour Maroc », étape marocaine du concours d’innovation EDF Pulse Africa, une compétition visant à révéler et à accompagner des innovateurs africains engagés pour le développement énergétique du continent.

Organisé conjointement par EDF Group et Emlyon business school campus Casablanca, ce challenge, créé en 2017, ambitionne de soutenir la dynamique entrepreneuriale en Afrique avec deux objectifs, à savoir identifier des partenaires potentiels en dénichant les pépites technologiques du continent et soutenir l’innovation en associant les entrepreneurs locaux au développement d’offres innovantes.

La start-up marocaine AZOLIS (catégorie Production électrique off-grid) a été désignée comme lauréat du premier « EDF Pulse Africa Tour Maroc ». Elle a proposé des batteries intégrant un BMS (Battery Management System) avec « Active Balance » qui permettent d’augmenter leur performance par une durée de vie triplée, d’améliorer leur résistance à la poussière et aux fortes températures. Cette batterie de petite taille, permet d’améliorer le déploiement de système de kits solaires on-grid et off-grid en site isolé.

Le Prix coup de cœur a été remporté par WINSOL (catégorie Production électrique off-grid ), une plateforme proposant un système de générateur électrique hybride entre panneau photovoltaïque et éolienne. Cette solution 2 en 1, exploitant deux énergies renouvelables, provenant du soleil et du vent, produit une énergie électrique à haut rendement même dans les conditions non favorables.

Le Prix Coup de pouce est revenu à FARASHA SYSTEMS (catégorie Production d’usages et de services électriques ) qui fournit aux développeurs et exploitants de centrales ENR (Énergies Renouvelables), des drones fonctionnant à l’énergie solaire pour l’inspection de centrales électriques.

Les drones sont dotés d’un système hardware permettant l’acquisition de données provenant des champs solaires et éoliens. Ces données sont classées, traitées, archivées et affichées sur une plateforme digitale permettant aux opérateurs des centrales une gestion optimale de leurs coûts d’exploitation et de maintenance, en contribuant également à réduire fortement l’empreinte écologique.
Pour l’édition 2019 du challenge, EDF a lancé « EDF Pulse Africa Tour », une tournée africaine visant à sélectionner des candidats au plus près du terrain dans 7 pays du continent. Le lauréat de chaque édition nationale se verra attribuer une place dans la grande finale qui se tiendra à Paris en novembre.

Pour la finale marocaine, neuf start-ups avaient été sélectionnées proposant des solutions énergétiques dans trois catégories production électrique off-grid, usages et services d’électricité et accès à l’eau grâce à l’électricité (agriculture et eau potable) qui ont présenté leurs projets devant un jury d’experts.

La Fédération de L’Énergie et l’IRESEN organisent, le 20 septembre 2019, en marge du Solar Décathlon Africa au Green and Smart Building Park à Ben Guérir, la deuxième édition du Workshop sur les Smart Grid sous la thème « La digitalisation et les énergies renouvelables:  pour une gestion intelligente des réseaux électriques ».

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Sous le Haut patronage de SM le Roi, la CGEM a organisé les 13 et 14 septembre à l’ISCAE à Casablanca la 2e Université d’été sous le thème « Le rôle de l’entrepreneuriat dans le modèle de développement du Maroc ».

La deuxième Université d’été de la CGEM est marquée par la participation de plusieurs personnalités politiques et économiques nationales et internationales et plus de 2000 entrepreneurs, universitaires et étudiants. Selon la CGEM, cette édition 2019 se tient dans un contexte particulier, « un monde en mutation structurelle accélérée, une dynamique continentale, un essoufflement du modèle marocain de croissance, une CGEM qui se restructure, et une rentrée 2019 marquée par une réflexion nationale sur le nouveau modèle de développement ».

Ce rendez-vous constitue un moment fort permettant de dresser un bilan sans complaisance des forces et faiblesses de l’économie marocaine, basée essentiellement sur une demande interne et un investissement public élevés, n’ayant pas permis, depuis plus d’une décennie, de booster une croissance qui enregistre des taux très faibles avoisinant les 3%, créant ainsi de réelles inégalités, avec des incidences sociales profondes.

Parmi les intervenants étrangers, citons Nicolas Sarkozy, ancien président de la république française, Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin, Aminata Touré, ancienne Première ministre du Sénégal et actuelle présidente du Conseil économique, social et environnemental (CESE) sénégalais, Jean-Louis Borloo, ancien Ministre d’État français, Paulo Portas, ancien vice-Premier ministre du Portugal, Michal Kurtika, président de la COP24, Guillaume Dard, PDG de Montpensier Finance, Patrice Fonladossa, président du comité Afrique du MEDEF, Cameron Sinclair, président-directeur général d’Archi Network-Armory of Harmony et Karim Sy, président de Digital Africa Initiative.

La facture énergétique du Maroc a atteint près de 45,04 milliards de dirhams au cours des sept premiers mois de 2019 contre 45,99 MMDH une année auparavant, soit une baisse de 2,1%, rapporte l’Office des changes dans une note sur ses indicateurs mensuels des échanges extérieurs du mois de juillet. Sa part dans le total des importations du Royaume s’est située à 15,5% contre 16,4% un an auparavant.

L’ambassadeur du Maroc au Panama, Mme Oumama Aouad, a offert, lundi ( 30/07/18) à Panama City, une brillante réception à l’occasion du 19è anniversaire de l’accession de Sa Majesté le Roi Mohammed VI au Trône de Ses glorieux ancêtres.

L’ambassadeur du Maroc au Panama, Oumama Aouad, a indiqué que le Royaume a adopté depuis des décennies une politique avancée en matière de gestion des ressources hydriques, fondée principalement sur la rationalisation et la préservation de cette denrée précieuse à travers la politique des barrages.

Intervenant lors de la 8è conférence scientifique internationale de la région de l’Azuero, qui a ouvert ses travaux, le 9 septembre à Chitre au Panama, sur la thématique de la centralité de l’eau pour la vie et le développement, Mme Aouad a fait remarquer que cette politique judicieuse avait été initiée par feu Sa Majesté Hassan II à travers le lancement d’une large opération de construction de barrages. Cette politique, a-t-elle ajouté, se poursuit aujourd’hui sous le leadership de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, comme en témoigne les bonnes pratiques dans le domaine de la gestion des ressources hydriques initiées de longue date dans le Royaume.

Elle a noté, à cet égard, que l’importance accordée par le Maroc à ce secteur se reflète dans la Constitution de 2011, qui consacre dans son article 31 le principe du développement durable, de la préservation des ressources naturelles et de l’accès à l’eau et à un environnement sain. La constitution marocaine insiste également sur la responsabilité de l’État, des institutions publiques et des collectivités territoriales dans la mobilisation de l’ensemble des moyens disponibles pour garantir ces droits aux citoyens.

L’ambassadeur a ajouté que ce souci permanent du Royaume de garantir la sécurité hydrique et alimentaire a poussé les pouvoirs publics à trouver des mécanismes et lancer des initiatives pour anticiper les crises potentielles dans ce secteur.

Elle a également indiqué que la politique publique en matière de gestion des ressources hydriques vise à consolider le développement durable et équitable, notant à ce propos que 97 % des habitants du monde rural ont accès à l’eau potable, alors que les secteurs de l’industrie, de l’agriculture et du tourisme ont tous accès aux ressources hydriques nécessaires à leurs activités, et ce grâce notamment aux 144 grands barrages et autres ouvrages hydrauliques dont dispose le pays, qui seront renforcés par la construction de 12 autres grands barrages.

Le Maroc a pris part aux travaux du 24e Congrès mondial de l’énergie, du 9 au 12 septembre à Abu Dhabi, en présence de responsables gouvernementaux et d’experts venus des quatre coins du monde.

La délégation marocaine à cet événement est conduite par le directeur de l’électricité au ministère de l’énergie, des mines et du développement durable, Zoubair Idrissi Moulay Abdellah.

Cette 24e édition a réuni plus de 15.000 visiteurs venus des Émirats arabes unis et d’ailleurs, dont plus d’une soixantaine de ministres. 

Une exposition a été organisée à cette occasion sur une superficie de 35.000 mètres carrés qui a rassemblé plus de 200 exposants provenant de quelque 150 pays.

Le Congrès mondial de l’énergie, qui se tient pour la première fois au Moyen-Orient, a réuni cette année plus de 300 orateurs autour de séminaires et de tables-rondes.

De même, plus de 80 sessions a eu lieu pendant le Congrès et ont porté sur l’ensemble du spectre énergétique, y compris le pétrole et le gaz, l’électricité, le charbon, l’énergie nucléaire et les énergies renouvelables, ainsi que les transports, l’efficacité énergétique, les finances, les investissements, le conseil et bien d’autres secteurs.

Le Congrès a prévu également plus de 30 événements parallèles, notamment des ateliers et des tables-rondes. L’une des principales manifestations parallèles est la « Start Up Energy Transition – 100 (SET100) », qui a réuni les 100 meilleures start-ups internationales présentant les produits et services les plus innovants en matière de lutte contre le changement climatique et d’efficacité énergétique.