La société britannique d’exploration pétrolière et gazière SDX Energy annonce le début de sa campagne de forage 2021 au Maroc. Au programme, trois puits dans le bassin du Gharb dans une première phase, et jusqu’à cinq puits sur l’année.
La première phase de la campagne de forage a débuté cette semaine avec le puits OYF-3 dans le Gharb et devrait s’achever en juillet prochain pour livrer ses premiers résultats. Les 3 puits cibles ont pour objectif de livrer 1,8 milliard de pieds cubes de gaz, selon un communiqué de la junior.
«L’objectif de ces puits est d’ajouter des réserves qui nous permettront de continuer à livrer du gaz à nos clients conformément à leurs exigences contractuelles», rappelle Mark Reid, PDG de SDX Energy.
L’École nationale supérieure des mines de Rabat (ENSMR) et l’Institut de recherche en énergie solaire et énergies nouvelles (IRESEN) ont signé, le 28 avril à Rabat, une convention de partenariat visant à promouvoir les projets conjoints de recherche et développement (R&D) dans le domaine des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique.
Signée par le directeur de l’ENSMR de Rabat, Mustapha Ouadghiri, et le directeur général de l’IRESEN, Badr Ikken, cette convention a également pour objectif de promouvoir des programmes de formation académique et de formation continue, ainsi que l’accès mutuel aux infrastructures de recherche.
Cette convention intègre plusieurs volets de collaboration, notamment le développement de feuilles de route technologiques conjointes, la réalisation de projets conjoints de R&D et le développement de programmes de formation académique et de formation continue conjoints. Elle porte également sur la participation du personnel des deux parties dans l’animation des cours de formation et l’accueil des étudiants dans le cadre de stages et de projets professionnels dans les locaux des deux parties.
S’exprimant à cette occasion, le ministre de l’Énergie, des mines et de l’environnement, Aziz Rabbah, qui a présidé la cérémonie de signature, a indiqué que cette convention s’inscrit dans le cadre du développement de la recherche scientifique dans le domaine des énergies, notamment les énergies renouvelables.
M. Rabbah a également souligné l’importance de la recherche scientifique, relevant que “la crise sanitaire que vit le Maroc et le monde a montré que l’avenir de l’économie et de l’industrie au Maroc est tributaire de l’intérêt accordé à la R&D et aux investissements dans ce domaine”.
De son côté, M. Ikken a indiqué que ce partenariat concerne le domaine de la recherche et de la formation appliquée et vise à contribuer au développement de laboratoires spécialisés dans des domaines importants pour le Royaume, notamment la numérisation de l’énergie.
En vertu de cette convention, un appui sera apporté aux projets de recherche et aux laboratoires qui seront développés dans les années à venir, en y associant un écosystème dans le domaine des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique aux niveaux national et continental.
Pour sa part, M. Ouadghiri a affirmé que cet accord intervient dans une conjoncture exceptionnelle pour l’ENSMR, marquée par l’ouverture du centre d’études doctorales, et s’inscrit dans le cadre de la “dynamique très positive que connaît le Royaume en matière d’énergies”. Dans ce contexte particulier, l’école devait s’ouvrir aux différents acteurs de l’énergie, notamment l’IRESEN.
Cet accord vise également à relever les différents défis auxquels fait face le Royaume dans le domaine de l’énergie et à soutenir les efforts de coopération, compte tenu des compétences scientifiques dont l’école dispose et de l’expertise accumulée par l’institut.
Créé en 2011, l’IRESEN est un institut de recherche qui a pour mission d’accompagner la stratégie énergétique nationale en soutenant la R&D appliquée dans le domaine de l’énergie solaire et des énergies nouvelles.
L’ENSMR (ex. ENIM) est l’une des plus anciennes et grandes écoles marocaines assurant une formation initiale, en particulier dans les domaines de l’ingénierie liée à l’industrie et aux mines.
La facture énergétique s’est allégée de 14,9% au terme des trois premiers mois de 2021 par rapport à la même période de l’année précédente, selon l’Office des changes.
Cette évolution s’explique par la baisse des approvisionnements en gas-oils et fuel-oil (-1,185 milliard de dirhams (MMDH)), due au recul des prix de 9,8% (4.407 DH/T à fin mars 2021 contre 4.885 DH/T un an auparavant), conjugué à la baisse des quantités importées (-5,1%), précise l’Office dans une note sur les indicateurs des échanges extérieurs de mars 2021.
Les quantités importées étaient à 1.603mT à fin mars 2021 contre 1.689mT au premier trimestre de 2020, fait savoir la même source.

M.Aziz Rabbah répond à une question orale à la Chambre des représentants

Le ministre de l’Énergie, des mines et de l’environnement, Aziz Rabbah, a annoncé que le ministère prépare un code de l’environnement qui rassemble tous les textes liés à ce domaine.
En réponse à une question, le 3 mai à la Chambre des représentants sur “l’environnement et l’impact de la mise en œuvre de la stratégie nationale de développement durable (SNDD)”, M. Rabbah a indiqué que le grand nombre de projets liés à l’environnement qui concernent de multiples secteurs et se chevauchent parfois, a incité le ministère à travailler sur le projet du code de l’environnement, qui “en est à ses dernières étapes”.
Ce code sera une référence regroupant tous les textes : lois, décrets, décisions ou procédures administratives, a noté le ministre. Tous les moyens financiers ont été déployés pour préparer ce code, qui sera soumis au Secrétariat général du gouvernement dans quelques semaines.
Le Maroc est l’un des premiers pays au monde à avoir suivi la voie du développement durable et à adopter les objectifs de développement durable.
À cet égard, il a évoqué divers programmes lancés par le Royaume, notamment le programme national des déchets ménagers, le programme national d’assainissement liquide et d’épuration des eaux usées, le programme national de prévention de la pollution industrielle, le programme national de l’air et le plan climat national.
Selon le ministre, l’arsenal juridique relatif à l’environnement et le contrôle environnemental ont également été renforcés, en plus d’autres actions liées à la surveillance aux niveaux national et au niveau de toutes les régions du Royaume. Afin de mettre en œuvre la SNDD, 28 plans sectoriels de développement durable et un pacte d’exemplarité de l’administration ont été élaborés et instaurés au niveau territorial, sachant que le taux d’avancement des plans sectoriels a atteint 68%, alors que celui du pacte d’exemplarité de l’administration s’est élevé à 38%.
Les rapports publiés périodiquement par les organisations internationales saluent les projets réalisés par le Maroc en matière d’énergies renouvelables, d’environnement, de développement durable, de lutte contre la pollution et d’autres projets importants, ainsi que le chemin emprunté par le Royaume sous la conduite de Sa Majesté le Roi Mohammed VI. La prochaine décennie connaîtra une transformation majeure dans ce domaine.
Le Maroc va dépasser 52 % de son mix énergétique en 2030, a indiqué le 11 mai, le ministre de l’Énergie, des mines et de l’environnement, Aziz Rabbah.
Le ministre, qui répondait à une question orale à la chambre des conseillers sur les opportunités de la transition énergétique au Maroc après la pandémie de Covid-19, a précisé que le Royaume va dépasser 52 % de son mix énergétique en 2030, estimant que ce chiffre pourrait être atteint avant 2026 et ce malgré le retard survenu au cours d’une période antérieure.
Il fait savoir à cette occasion que le système électrique 2021-2030 est basé entièrement sur des énergies renouvelables et un taux réduit du gaz.
Une feuille de route a été élaborée pour l’hydrogène, une énergie prometteuse pour le Maroc qui doit accueillir d’importants investissements dans ce domaine. Une autre feuille de route pour la bioénergie, l’orientation vers l’industrialisation et la recherche scientifique a également été élaborée.
Le ministre a affirmé que la prochaine décennie sera celle d’énergies renouvelables et propres, notant que le gouvernement accompagne ce chantier à travers l’adoption de lois et la mise en œuvre de projets et d’initiatives sur différents niveaux.

Sept fonctionnaires du ministère de l’Énergie, des Mines et de l’Environnement, dont deux partis à la retraite, ont reçu le 30 avril à Rabat des Wissams, dont SM le Roi Mohammed VI a bien voulu les gratifier.
Quatre fonctionnaires ont été ainsi décorés du Wissam de mérite national de classe exceptionnelle, alors que les trois autres ont reçu le Wissam de mérite national de première classe.

A cette occasion, le ministre de l’Énergie, des Mines et de l’Environnement, Aziz Rabbah, a indiqué que cette décoration illustre la Haute sollicitude dont le Souverain entoure cette catégorie de fonctionnaires qui ont fait preuve durant leur carrière professionnelle d’abnégation, de dévouement et d’intégrité dans l’accomplissement de leurs missions de service public et d’intérêt général.

Ces compétences décorées de Wissams royaux, des hommes et des femmes relevant de plusieurs directions et départements du ministère, ont sacrifié une partie de leur vie au service de ce secteur, en contribuant à l’élaboration de programmes et de stratégies dans tous les domaines de l’énergie, des mines et autres services.

La Fédération de l’Énergie, dans le cadre de ses activités, en particulier le volet « études & Analyses », a réalisé une importante étude portant sur le « Rôle des énergies renouvelables dans le relance économique nationale post Covid19 ».

Cette étude réalisée par le cabinet Valyans Consulting avait pour principaux objectifs :

  • D’analyser l’impact de la crise sanitaire sur les stratégies et politiques industrielles des pays et régions, notamment sur le volet de la transition énergétique ;
  • De réaliser un état des lieux et un bilan de la stratégie énergétique du Royaume dans les EnR sur la période 2009-2020 ;
  • De mettre en exergue le rôle du secteur des EnR dans le plan de relance économique nationale post Covid19 en particulier pour le secteur industriel ;
  • D’élaborer un argumentaire à destination des pouvoirs publics pour la promotion des ENRs dans le cadre du plan de relance de l’économie nationale.

Cette étude a permis d’identifier et de mettre en exergue plusieurs mesures et recommandations pour accompagner l’accélération de la transition énergétique ainsi que la compétitivité de l’industrie nationale et l’attractivité des IDE, en particulier sur les volets réduction des coûts, empreinte carbone et réduction des GES.

Ces mesures et recommandations seront approfondies et enrichies au sein de groupes de travail internes de la Fédération de l’Énergie avant de faire l’objet d’un plan de syndication auprès des ministères et des administrations concernés.

Les résultats détaillés de cette étude feront l’objet d’une présentation qui sera organisée par la Fédération de l’Énergie ainsi qu’une large diffusion auprès de nos membres et partenaires.

A l’occasion de la présentation lundi du rapport annuel de l’organisation météorologique mondiale (OMM) sur “l’état du climat mondial”, le Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a estimé que l’année 2021 est une année “charnière” pour l’avenir de l’humanité, affirmant que ce doit être l’année de l’action pour le climat.
“Ce rapport montre que nous n’avons pas de temps à perdre. C’est un rapport extrêmement alarmant. Il doit être lu par tous les dirigeants et décideurs du monde”, a tranché M. Guterres, lors d’une conférence de presse virtuelle conjointe avec le patron de l’OMM.
Selon le chef de l’ONU, 2020 a été “une année sans précédent pour les hommes et la planète”. “Elle a été dominée par la pandémie COVID-19. Mais ce rapport montre que 2020 a également été une autre année sans précédent de catastrophes météorologiques et climatiques extrêmes”.
Pour M. Guterres, la cause est “claire” : “Changement climatique anthropique, perturbation climatique causée par les activités humaines, les décisions humaines et la folie humaine. Les effets sont désastreux”.
“Les données de ce rapport devraient nous alarmer tous. L’année 2020 était 1,2 degrés Celsius plus chaude que l’époque préindustrielle. Nous nous rapprochons dangereusement de la limite de 1,5 degré Celsius fixée par la communauté scientifique”, s’est inquiété le Secrétaire général.
“Nous sommes au bord du gouffre. Les six années depuis 2015 ont été les plus chaudes jamais enregistrées”, s’est-il encore alarmé.
A cet égard, Antonio Guterres a souligné que le défi de la communauté internationale était clair. “Pour éviter les pires impacts du changement climatique, la science nous dit que nous devons limiter l’élévation de la température mondiale à moins de 1,5 degré de la valeur de référence préindustrielle. Cela signifie réduire les émissions mondiales de gaz à effet de serre de 45 pour cent par rapport aux niveaux de 2010 d’ici 2030 et atteindre zéro émission nette d’ici 2050”.
Mais pour le chef de l’ONU, le monde est “loin d’être sur la bonne voie”. Par conséquent, 2021 doit être l’année de l’action.
A ce propos, il a dit s’attendre à un certain nombre d’avancées concrètes avant la COP 26 à Glasgow en novembre prochain.
“Premièrement, nous devons convenir d’une direction commune. Les Nations-Unies sont en train de construire une coalition mondiale vouée à zéro émission nette – pour couvrir tous les pays, villes, régions, entreprises et institutions financières”.
En deuxième lieu, les 10 prochaines années doivent être une décennie de transformation, a poursuivi le Secrétaire général, ajoutant que les pays doivent présenter de nouvelles NDC ambitieuses – les contributions déterminées au niveau national à l’Accord de Paris – qui sont leurs plans climatiques pour les 10 prochaines années.
“Troisièmement, nous avons besoin que ces engagements et ces plans soient étayés par des mesures concrètes immédiates. Les trillions de dollars dépensés pour le relèvement du COVID-19 doivent être alignés sur l’Accord de Paris et les objectifs de développement durable. Les subventions aux combustibles fossiles polluants doivent être réorientées vers les énergies renouvelables”.
Pour le chef de l’ONU, cela est “nécessaire pour protéger nos sociétés des événements météorologiques et climatiques désastreux qui sont là pour durer”. “C’est vraiment une année charnière pour l’avenir de l’humanité. Selon le chef de l’ONU, ce rapport montre que nous n’avons pas de temps à perdre”.
A l’occasion de la Journée Mondiale de la Terre, Vivo Energy Maroc déploie #Nzer3ouloxygen, un dispositif digital au service de la plantation d’arbres. Vivo Energy Maroc mobilise ainsi sa communauté, ses collaborateurs et ses partenaires associatifs et éducatifs en vue de planter 3 000 arbres dans la région de Casablanca.
L’opération consiste en une activation digitale à l’impact direct sur le terrain : Vivo Energy Maroc invite les internautes à liker une vidéo dédiée à l’événement, publiée sur son compte Instagram. 20 000 likes cumulés correspondront à 3 000 arbres à planter.
« #Nzer3ouloxygen s’inscrit dans la continuité de nos actions en faveur de l’environnement. Le concept est né de la volonté de mobiliser notre communauté, fortement engagée sur nos réseaux sociaux, autour d’une cause environnementale. Notre objectif au-delà de la sensibilisation est de les impliquer à travers une action simple pour contribuer à améliorer notre environnement. Cette première édition est une véritable gageure et nous souhaitons la reconduire et l’amplifier à l’avenir », déclare Hind Mejjati Alami, Directrice de la Communication de Vivo Energy Maroc.
Pour procéder à la mise en terre des plants, Vivo Energy Maroc s’appuie sur ses partenaires associatifs L’Heure Joyeuse et Injaz Al Maghrib. L’opération de plantation se déroulera à partir du mois de Juin et couvrira la région de Casablanca. Vivo Energy Maroc fera appel à ses partenaires pour diversifier les emplacements publics et privés à verdir, tels que des écoles et des établissements associatifs. Par ailleurs, les collaborateurs de l’entreprise apporteront leur contribution en rejoignant les associations sur le terrain.
En combinant sa présence digitale à son réseau d’acteurs associatifs, Vivo Energy Maroc renforce son engagement en faveur de la protection de l’environnement et du bien-être des populations locales. Ambitionnant de devenir la société d’énergie la plus respectée d’Afrique, Vivo Energy dispose d’une stratégie globale de développement durable dont la protection de l’environnement représente un axe principal. Dans ce cadre, Vivo Energy Maroc a mis en place depuis plusieurs années un programme visant à réduire son empreinte environnementale couvrant, entre autres, le programme d’éducation environnementale Mama Tabiaa, le prix Injaz de l’écocitoyenneté, le développement de stations écoresponsables et la commercialisation de produits toujours plus respectueux de l’environnement.
L’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE) a lancé le 22 avril des projets visant à renforcer et sécuriser l’alimentation en eau potable dans la province de Jerada.
L’office a procédé au lancement des travaux de renforcement des installations de distribution de l’eau potable de la ville de Jerada et à la mise en service du projet de construction d’une centrale solaire photovoltaïque à la commune de Ouled Sidi Abdelhakem, qui alimentera en électricité la station de pompage de l’eau potable du centre de Doghmania.
L’ONEE a aussi procédé au suivi des chantiers relatifs aux projets d’alimentation en eau potable des communes de Labkhata et de Lamrija relevant de la province de Jerada.
Le projet de renforcement de l’alimentation en eau potable de la ville de Jerada, dont les travaux viennent d’être lancés pour un coût de 4,7 millions DH à travers un financement de la Banque africaine de développement (BAD), comporte la construction et l’équipement d’une station de pompage de 15 litres/seconde et d’un réservoir de 200 m3 de capacité ainsi que la pose de 3,5 km de conduites de distribution pour le renforcement de l’alimentation en eau potable de la ville de Jerada.
Ce projet, dont la mise en service est prévue pour décembre 2021, bénéficiera à une population de 6.000 habitants, a poursuivi la même source. Dans le cadre de la valorisation du gisement solaire du Maroc, de la modernisation et de l’élargissement des réseaux de production des ressources électriques et hydrauliques et de l’implémentation de nouveaux instruments et techniques d’économies d’électricité, l’ONEE a mis en service un projet de construction d’une centrale solaire photovoltaïque de 100 kw à la commune de Ouled Sidi Abdelhakem, qui alimentera en électricité la station de pompage du centre de Doghmania pour un coût de 1,7 MDH.
A cette occasion, le Gouverneur de la province de Jerada, accompagné du Directeur régional de l’ONEE, a effectué des visites de suivi aux chantiers relatifs au projet d’alimentation en eau potable de la commune de Labkhata d’un coût de 2 MDH qui consiste en la construction et l’équipement d’une station de pompage pour un débit de 3 litres/seconde et d’un réservoir de 100 m 3, ainsi que la réalisation d’environ 90 branchements individuels. Le taux de réalisation de ce projet, dont la mise en service est prévue pour août 2021, est de 80%. Ces visites ont concerné également le projet d’alimentation en eau potable de la commune de Lamrija d’un coût de 1,9 MDH qui comporte la construction et l’équipement d’une bâche pour une capacité de 150 m 3 et d’une station de reprise de 5 litres/seconde, profitant aux centres et douars relevant des communes de Lamrija et Ouled Ghziyel.
La mise en service de ce projet, dont le taux de réalisation a atteint 75%, est prévue en septembre 2021.
Ces projets s’ajouteront aux réalisations de l’ONEE dans les secteurs de l’eau potable et de l’assainissement liquide dans la province de Jerada durant les deux dernières décennies dont le coût global s’élève à 254 MDH et contribueront à l’amélioration des conditions de vie des populations bénéficiaires et au développement socio-économique de la région.