Le Maroc, sous l’impulsion de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, a enclenché la mise en place des fondements majeurs lui permettant d’inscrire son développement sur la voie de la durabilité, a souligné, le 16 juillet au siège de l’ONU à New York, la Secrétaire d’Etat chargée du développement durable, Mme Nezha El Ouafi.


Intervenant lors du Forum des gouvernements régionaux et locaux, tenu dans le cadre du Forum Politique de Haut-niveau 2018 des Nations-Unies, Mme El Ouafi a relevé que des agendas mondiaux cruciaux pour l’avenir de l’humanité ont été adoptés ces dernières années et sont d’une extrême importance pour la promotion du développement durable des territoires, à savoir le Programme de Développement 2030 avec ses 17 Objectifs de développement durable (ODD), l’Agenda Urbain et l’Accord de Paris sur le climat.


« En conformité avec ces agendas, le Maroc a enclenché la mise en place des fondements majeurs lui permettant d’inscrire son développement sur la voie de la durabilité, et sa nouvelle constitution prône d’ailleurs le développement durable comme option judicieuse pour assurer une prospérité économique, un progrès social et un environnement sain à tous les citoyens marocains », a expliqué la ministre.


Dans sa déclinaison territoriale, cette politique s’appuie sur la régionalisation avancée qui a octroyé, depuis 2015, de nouvelles prérogatives aux régions en lien notamment avec la promotion du développement durable.


Et d’ajouter que la Stratégie nationale de développement durable (SNDD 2030) a été adoptée en juin 2017, et pour l’opérationnaliser de manière efficiente, des Plan d’actions sectoriels de Développement Durable (PADDs) ont été élaborés, avec un Plan d’Action transversal relatif à la mise en œuvre de l’exemplarité de l’Etat en matière de développement durable, comportant des actions relatives à la généralisation des démarches environnementales au sein des bâtiments publics, la promotion d’une commande publique durable, et la Promotion de l’usage des véhicules moins polluants par les acteurs publics.


Mme El Ouafi a également rappelé que le Maroc a soumis au titre de l’Accord de Paris sur le climat une Contribution Nationale Déterminée avec des objectifs ambitieux de réduction des émissions des gaz à effet de serre allant jusqu’à 42% à l’horizon 2030. Ceci grâce à la volonté politique du Maroc de porter la part des énergies renouvelables à 52% de la puissance électrique installée à l’horizon 2030, et ce à travers le développement de grands projets structurants dans le domaine des énergies renouvelables.


« Il va sans dire qu’à travers les politiques adoptées au niveau des territoires dans tous les domaines, notamment celui de l’habitat, de l’énergie, de l’assainissement, de la mobilité, ou encore de l’emploi, de l’éducation et la de santé, les gouvernements locaux et régionaux apportent une contribution substantielle à la concrétisation de l’agenda 2030 et ses 17 ODD », a-t-elle souligné.


La ministre a également mis l’accent sur la nécessité de faire en sorte que la planification territoriale tienne pleinement compte des effets néfastes attendus des changements climatiques et des impératifs de concrétisation des grands agendas internationaux, notamment l’Agenda 2030 pour le développement durable, afin de promouvoir des territoires résilients et durables, où les populations peuvent prospérer en toute sécurité dans un climat de paix et de coopération profitable à tous.

 

Tenue, lundi (16/07/18) à Rabat, d’un Atelier thématique sur l’efficacité énergétique dans l’industrie. Expériences réussies et dispositifs d’accompagnement, en présence du Ministre de l’Energie, des Mines et du Développement Durable, M.Aziz Rabbah, et du Directeur Général de l’Agence Marocaine pour l’Efficacité Energitique (AMEE), M.Said Mouline.

L’efficacité énergétique permettra à l’État de réduire et maitriser davantage sa facture d’énergie, a affirmé, le 16 juillet à Rabat, le ministre de l’Énergie, des Mines et du Développement durable, Aziz Rabbah. 
S’exprimant lors un atelier thématique sur « l’efficacité énergétique dans l’industrie : expériences réussies et dispositifs d’accompagnement », M. Rabbah a relevé que les expériences réussies dans ce domaine ont démontré leur contribution à la réduction de la facture énergétique à jusqu’à 30%, à travers le changement de la culture de consommation de l’énergie au sein de l’entreprise, des processus industriels ou du type de l’énergie consommée. 
Cet atelier organisé en partenariat avec l’Agence marocaine de l’efficacité énergétique (AMEE), joue un rôle « très important » dans la vulgarisation de la culture de l’efficacité énergétique dans différents domaines qui s’avèrent bénéfiques pour créer des emplois, rentabiliser les investissements et réduire les émissions du CO2. 
Pour sa part, le directeur général de l’AMEE, Said Mouline a indiqué qu’il serait « anormal » de ne pas généraliser ces expériences, à travers lesquelles des solutions intéressantes sont présentées avec un temps de retour tellement court, afin de réduire la facture énergétique du Maroc. 
Il a, dans ce sens, appelé tout le monde à fournir plus d’efforts pour atteindre cet objectif, soulignant le rôle important de la formation, le développement que connaissent les PME et l’installation des grands groupes internationaux au Maroc. 
Cet atelier de sensibilisation à l’efficacité énergétique dans l’industrie, destiné à l’ensemble des acteurs du secteur, a été marqué par la tenue de trois panels techniques portant sur les principales mesures d’efficacité énergétique et ciblant les industriels qui se sont déjà inscrits dans une démarche de l’efficacité énergétique. 
L’atelier, qui s’inscrit dans le cadre d’une série de rencontres visant à promouvoir l’efficacité énergétique dans les secteurs clés de l’économie nationale, se veut également une occasion d’échanger les expériences réussies en la matière, notamment les pistes pour redynamiser le marché dans l’industrie pour une meilleure compétitivité, et lutter contre les changements climatiques. 

“plages propres 2018”: L’ONEE lance un programme d’éducation et de sensibilisation à la protection Littoral

L’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE) a lancé mercredi 18 juillet à la plage de Bouznika, un programme d’éducation et de sensibilisation des jeunes à la protection du littoral et d’initiation au métier du contrôle de la qualité des eaux.

Initiée en partenariat avec la Fondation Mohammed VI pour la Protection de l’Environnement et la municipalité de Bouznika, ce programme d’éducation et de sensibilisation au développement durable s’inscrit dans le cadre du programme « Plages Propres 2018 » et cible notamment les jeunes en les incitant à préserver le littoral.

Organisé du 16 au 20 juillet 2018, ce programme comprend une série d’actions, consistant en l’organisation au profit des enfants des colonies de vacances des ateliers sur le contrôle de la qualité des eaux dans le laboratoire mobile du contrôle des eaux usées, installé à cette occasion au sein du village pédagogique de l’ONEE à la plage de Bouznika.

Dans le cadre de la 2ème édition des HQE Sustainable Building Awards, organisée par Certivéa et Cerway, MASEN a reçu le 5 juillet dernier le prix « HQE Sustainable Building Award – Meilleures performances International ». Ce prix a été obtenu pour la construction du bâtiment MASEN Center au cœur du complexe solaire Noor Ouarzazate.

Pour rappel, filiale du Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB) et partenaire de l’Alliance HQE GBC France, Certivéa développe et commercialise l’offre HQE en France. Quant à Cerway, il est l’opérateur de la certification HQE qui accompagne les acteurs à l’international.

L’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE) a pris part, récemment à Cotonou, à la cérémonie de lancement officiel du marché régional de l’électricité de la CEDEAO (Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest).

L’ONEE est, depuis 2008, le seul organisme hors CEDEAO à siéger en tant qu’observateur au Système d’échanges d’énergie électrique ouest-africain (West African Power Pool – WAPP), initiateur de cet événement. Cette institution spécialisée de la CEDEAO, qui compte 29 membres, a pour vision d’intégrer les réseaux électriques nationaux dans un marché régional unifié de l’électricité en vue d’assurer, à moyen et long termes, un approvisionnement en énergie électrique régulier, fiable et à un coût compétitif aux populations locales.

Le Directeur général de l’Office, Abderrahim El Hafidi, accompagné de l’ambassadeur du Maroc au Bénin, Rachid Rguibi, a eu, à cette occasion, une série d’entretiens avec de hauts responsables du secteur électrique en Afrique de l’Ouest, axés sur les relations de coopération qu’entretient l’ONEE avec ses homologues africains et les projets qu’il conduit dans la région.

Ce fut une opportunité pour rappeler la volonté de l’ONEE de « renforcer ces liens de coopération qui reposent sur l’accompagnement, l’échange de transfert de savoir et le renforcement des capacités techniques et managériales dans l’objectif de permettre d’améliorer les performances et assumer pleinement la mission de service public». Au cours de la rencontre de Cotonou, les ministres de l’Énergie de la CEDEAO ont approuvé plusieurs documents dédiés au développement harmonieux de ce secteur dans l’espace ouest-africain.

Il s’agit notamment du règlement sur les sanctions du marché régional de l’électricité, de l’étude pour l’élaboration du Plan directeur d’électrification rurale et périurbaine en Afrique de l’Ouest et d’une autre relative à la faisabilité de l’extension du gazoduc de l’Afrique de l’Ouest.

Créé en décembre 1999 par le 22e Sommet de la Conférence des Chefs d’Etat et de Gouvernement de la CEDEAO, le WAPP a été mis en place en 2006 et basé à Cotonou, dans le but de promouvoir et développer des infrastructures de production et de transport d’énergie électrique ainsi que d’assurer la coordination des échanges d’énergie électrique entre les États membres.

Vivo Energy Maroc confirme son engagement en faveur de la protection de l’environnement et renouvelle son partenariat avec la Fondation Zakoura. Après le succès du programme « Mama Tabiaa » lancé dans 17 écoles publiques primaires de l’Académie Régionale de l’Education et de la Formation de la région Casablanca-Settat, ce programme d’éducation à la protection environnementale se voit élargi à plus de 150 nouvelles écoles. Son objectif est de susciter l’intérêt et d’encourager la réflexion des élèves et de leurs proches sur les problématiques environnementales.

« L’initiative Mama Tabiaa, lancée depuis 2014 avec la Fondation Zakoura, est un réel succès dont nous sommes fiers. Avec ce programme, Vivo Energy Maroc investit dans l’avenir et l’éducation de nos enfants pour contribuer à en faire les éco-citoyens du Maroc de demain. 50 nouvelles écoles des académies de Souss-Massa et de Marrakech-Safi bénéficient déjà de cette formation, et nous avons l’ambition de l’élargir à 150 établissements sur les trois prochaines années. Notre objectif ultime est de le généraliser à terme à l’ensemble des écoles primaires du Royaume », a déclaré Asaf V. Sasaoglu, Président Directeur Général de Vivo Energy Maroc.

« Un partenariat de longue date en matière d’éducation non formelle puis d’éducation à l’environnement nous unit avec Vivo Energy Maroc. Avec le programme Mama Tabiaa, nous associons les jeunes à la cause environnementale. Une démarche qui s’allie à notre objectif commun d’inscrire nos actions dans une optique d’éducation durable. Nous saluons le fidèle engagement de Vivo Energy Maroc à nos côtés et sa volonté de décupler le nombre d’enfants et jeunes bénéficiaires du programme Mama Tabiaa », a commenté Jamal Belahrach, Président de la Fondation Zakoura.

C’est en février 2015 que le programme d’éducation à l’environnement a été lancé au sein d’écoles publiques de Hay Hassani à Casablanca et des écoles d’éducation non formelle de la Fondation. Une première étape avant de l’étendre à d’autres villes du Maroc. Près de 6 000 enfants et leurs proches ont depuis été sensibilisés à la problématique environnementale.

S’appuyant sur des méthodes pédagogiques innovantes, qui allient interactivité et apprentissage par le jeu, le programme « Mama Tabiaa » vise à développer un comportement éco-citoyen auprès des élèves du primaire. Il est axé sur six thématiques : eau, biodiversité, énergie, gestion des déchets, solidarité et protection de l’environnement. Ces thématiques sont traitées en classe avec les élèves par le biais de séances d’acquisition de connaissances enrichies par des supports interactifs telles que des vidéos et des animations. Des sorties découvertes et des activités éco-citoyennes réalisées par les élèves au sein des écoles mais aussi du quartier ou du douar, impliquant leurs parents et la communauté, complètent le programme.

Au-delà de son investissement dans la sensibilisation au respect de l’environnement par des actions citoyennes, Vivo Energy Maroc dispose d’une stratégie globale de développement durable dont la protection de l’environnement représente un axe principal. Dans ce cadre, Vivo Energy Maroc a mis en place depuis plusieurs années un programme visant à réduire son empreinte environnementale couvrant, entre autres, la sensibilisation de ses collaborateurs à la conduite responsable et la commercialisation de produits toujours plus respectueux de l’environnement.

 

 

La compagnie marocaine Nova Power construira la première centrale solaire photovoltaïque de Côte d’Ivoire. Le coût du projet est estimé à 377 millions de dirhams.

La compagnie se prépare, en effet, à démarrer le chantier de construction, prévu dans la localité de Bengué-Bougou, dans le département de Korhogo, relate le site Telquel.ma.

La centrale, qui sera construite sous forme de partenariat public-privé (PPP), aura une capacité de 25 mégawatts. Sa mise en place sera assurée par Korhogo Solaire, une filiale de Nova Power.

L’énergie produite par la centrale sera rachetée par la Compagnie ivoirienne d’électricité (CIE), filiale du groupe français Eranove liée à l’État de Côte d’Ivoire par une convention de concession.

Selon la même source, « le tarif de sortie combiné de l’énergie est fixé à 10 centimes de dollars / kWh ».

Nova Power assurera ainsi la conception, le financement, la construction et l’exploitation de la centrale photovoltaïque. Le coût du projet est estimé à environ 40 millions de dollars, soit près de 377 millions de dirhams.

Sa mise en service devrait se faire au deuxième semestre de 2019, après 10 mois de travaux de construction. La centrale devrait permettre la création de 300 emplois pour la phase de construction et une trentaine d’autres directs lors de l’exploitation du site.

Dans le cadre du renforcement de la dissémination de l’information scientifique et technique dans le domaine des technologies vertes, IRESEN mets à disposition de la communauté nationale et continentale deux dispositifs innovants ; la première revue africaine spécialisée et un portail interactif dans le domaine des énergies vertes.

L’IRESEN vient de lancer un appel à communication pour la revue Solar For Africa and Renewable Energies.

Ce périodique à comité de lecture accrédité a pour principal objectif de fournir une plateforme d’échange d’idées entre les scientifiques africains et de publier les articles scientifiques des dernières avancées du secteur des technologies vertes.

 

Le projet Feuille de Route pour une Mobilité Durable au Maroc a été présenté et cité comme un exemple à suivre lors du Sommet Climate Chance d’Abidjan, les 28 et 29 juin.

« Avec sa Feuille de Route pour une Mobilité Durable, le Maroc a fourni un travail remarquable et initié une dynamique de réflexion collective dont d’autres pays doivent s’inspirer », a confirmé Patrick Oliva, co-fondateur du Processus de Paris pour la Mobilité et le Climat, l’initiative qui a engagé et promu la formulation de feuilles de route pour le secteur transport au niveau mondial, continental et national après la COP21 de Paris.

L’atelier « Favoriser une mobilité et des transports durables en Afrique », organisé par le PPMC et ses partenaires était ainsi l’occasion de discuter des opportunités et défis de la mobilité en Afrique et de motiver divers acteurs dans la démarche de construction de feuilles de route nationales qui sauront guider l’évolution des pays vers une mobilité durable.

Rappelons que l’Association Climate Chance réunit les acteurs non-étatiques autour des objectifs du développement durable et de la protection du climat. Le Sommet d’Abidjan était organisé conjointement avec l’Assemblée des Régions et Districts de Côte d’Ivoire. Le premier Sommet Climate Chance en Afrique avait été accueilli à Agadir en 2017.

 

La Tanzanie ambitionne de collaborer avec le Maroc en matière d’énergie et des mines, a affirmé, le 3 juillet à Rabat, le ministre tanzanien de l’Énergie, M. Medard Matogolo Kalemani, lors d’une réunion avec le ministre de l’Énergie, des Mines et du Développement durable, Aziz Rabbah.

Après avoir passé en revue les atouts, les projets, les réformes et les politiques menées par son pays dans les secteurs de l’énergie et des mines, M. Kalemani a émis le souhait de développer une coopération fructueuse avec le Royaume, à travers l’élaboration d’études et l’échange d’expertises, de manière à promouvoir davantage ces secteurs et valoriser la richesse des minéraux.

Pour sa part, M. Rabbah a indiqué que « la Tanzanie, qui regorge de grands potentiels et de minéraux, a conduit un ensemble d’études dans ce domaine, nécessitant des investisseurs, vu le coût très élevé de l’électrification dans ce pays », ajoutant que des projets « énormes » ont été et vont être lancés dans le domaine du gaz, des combustibles et des énergies renouvelables dans ce pays, ce qui contribuera à la conclusion d’un partenariat maroco-tanzanien fructueux et bénéfique au niveau des secteurs privés des deux pays.

Il a également salué l’excellence des relations entre les deux pays, rappelant l’intérêt particulier que porte Sa Majesté le Roi Mohammed VI au continent africain, et la détermination du Souverain à consolider davantage la coopération avec l’Afrique et à renforcer encore plus la coopération Sud-sud pour le développement durable des pays africains.

Lors de cette réunion, l’accent a été mis sur les investissements dans le domaine des énergies renouvelables, la coopération technique et dans le domaine de la législation et de l’électrification du monde rural, en raison de l’expérience marocaine réussie en la matière.

Tout en se félicitant de la qualité des échanges bilatéraux, les deux parties ont convenu de mettre en place un plan d’action pour la mise en œuvre du mémorandum de coopération, à travers une équipe de travail technique mixte qui accompagnera l’implémentation des conventions et le suivi des projets conclus, et ont également convenu de poursuivre les contacts pour renforcer davantage la coopération via le partage d’expériences et la promotion de partenariats rentables.

Cette première réunion du Comité mixte, visant à saisir les opportunités offertes au Maroc et en Tanzanie dans ces secteurs, intervient dans le cadre du suivi du Mémorandum d’entente de coopération dans les domaines des hydrocarbures, de l’énergie, des mines et de la géologie, signé par les Gouvernements des deux pays, lors de la visite officielle de Sa Majesté Le Roi en Tanzanie en octobre 2016.

La délégation tanzanienne aura également, lors de sa visite, plusieurs rencontres avec l’Office national de l’électricité et de l’eau Potable (ONEE), l’Agence marocaine pour l’énergie solaire (MASEN), l’Office chérifien des phosphates (OCP), l’Office national des hydrocarbures et des mines (ONHYM), l’Agence marocaine pour l’efficacité énergétique (AMEE), l’Institut de recherche en énergie solaire et énergies nouvelles du Maroc (IRESEN), ainsi qu’avec les Fédérations de l’énergie et de l’industrie minérale, ayant été représentés par de hauts responsables lors de cette réunion.