Journée de sensibilisation sur les mécanismes de financement projets Energies renouvelables (EnR) et Efficacité énergétique (EE)

Une journée de sensibilisation sur les mécanismes de financement des projets Énergies renouvelables (EnR) et Efficacité énergétique (EE) a été organisée, le 20 juin à Casablanca, à l’initiative de l’Agence marocaine pour l’efficacité énergétique (AMEE), le Cluster Solaire et l’Association marocaine de l’industrie du solaire (AMISOLE). 
Cette journée, dont la cérémonie d’ouverture a été présidée par le ministre de l’Énergie, des Mines et du Développement durable, Aziz Rabbah, a réuni plus de 200 participants d’horizons variés notamment des ingénieurs, décideurs et chef d’entreprises, professionnels, fournisseurs de services financiers et institutionnels, chercheurs et des experts de haut niveau venant du monde de l’énergie et du secteur financier. 
A cette occasion, le directeur général de l’AMEE, Said Mouline, a souligné que « le secteur de l’EE a énormément besoin de l’accompagnement financier ». 
« Nous pouvons accompagner, sensibiliser, réglementer, mais il faut absolument que l’investissement dans l’EE soit financé », a-t-il poursuivi, notant qu’il y a eu des modèles et des success-stories dans plusieurs secteurs, tels que l’industrie et l’hôtellerie. 
M. Mouline s’est également félicité de l’accompagnement qu’assurent les banques marocaines en faveur du secteur de l’EE, à travers notamment la mise en plus de divers dispositifs de financement dédiés. 
Il s’agit aussi des nouvelles lignes de financement lancées par les banques de développement, a-t-il ajouté, relevant que le financement de l’EE profite à l’ensemble des parties prenantes (investisseur, entreprise et le pays) parce qu’il permet de diminuer la facture énergétique et la pollution liée à la consommation énergétique.
De son côté, la directrice générale du Cluster Solaire, Fatima Zahra El Khalifa, a fait savoir que l’ensemble des acteurs du financement et du soutien de l’économie verte se sont réunis aujourd’hui pour présenter au secteur, que ce soient des installateurs, des fournisseurs ou des entreprises industrielles énergivores, l’ensemble des mécanismes et outils existants sur le marché marocain pour pouvoir financer des projets EnR/EE. 
Première du genre qui s’intéresse aux projets à taille humaine, cette journée a constitué une occasion propice pour mettre en exergue des projets de photovoltaïque décentralisés et les applicatifs à énorme potentiel de développement comme le pompage et l’éclairage solaire, a-t-elle noté. 
A cette occasion, les organismes financiers ont présenté les offres, les critères d’éligibilité et les modalités d’octroi des financements, a indiqué Mme El Khalifa, ajoutant qu’à cet effet, des stands de B2B ont été mis en place pour les prises de contact pour le financement et le développement de tels projets.
Pour sa part, le président de la commission « Nouvelle économie Climat » à la CGEM), Said El Hadi, a fait savoir que la confédération appuie l’ensemble de ces initiatives et démarches. 
« Notre objectif est de faire en sorte que les entreprises marocaines soient plus protégées et préparées à la transition énergétique et aux questions relatives au climat et à l’environnement, mais aussi d’être à l’appui des nouvelles opportunités pour le business au Maroc, ainsi que les nouveaux métiers et modèles », a-t-il souligné, précisant que la commission s’intéresse à cinq grands axes thématiques à savoir, les EnR, l’EE, l’eau, l’économie circulaire et la mobilité durable. 
Pour les EnR, a poursuivi M. El Hadi, elles représentent « un domaine où le Maroc a marqué plus de points à la faveur d’une stratégie visionnaire qui était fixée avec courage et audace dans les années 2000 à un moment il y avait beaucoup de scepticisme aux EnR ».
« Nous devons s’appuyer sur les EnR. C’est une question non seulement climatique et environnementale mais stratégique pour notre pays », a-t-il estimé, notant que les objectifs pour l’horizon 2030 sont très ambitieux. 
Cette rencontre interactive a un objectif de vulgariser le sujet des EnR et EE pour les banquiers mais aussi de faciliter l’accès au financement pour les entreprises marocaines. 

Vingt-huit entreprises ont obtenu, le 20 juin à Casablanca, le label « Taqa pro » dans les domaines du pompage solaire et photovoltaïque à l’occasion d’une journée sur « les mécanismes de financement des projets énergies renouvelables et efficacité énergétique ».
Il s’agit d’AES, Azolis, Bougmaz Connect, DLM EnR, l’entrepreneur Driss El Massoudi, Keem Sol Energy, Magray Travaux, Menara Technology, Myfak, NPSOL, renpower, Sami Solar, Solarsys, Suratem et d’Ultrasol qui ont reçu les certificats “Taqa pro” pompage solaire.
De leur côté, les entreprises Awas, Azolis, Cleanergy, Econosol, Elexpert, Energy Transfo, Green Yellow Morocco, Jet Energy, MCT Solaire Energies, NRJ International, Quadran Maroc, SEWT et Termasol ont obtenu les certificats « Taqa pro » PV+.

A cette occasion, M. Rabbah, ministre de l’Énergie, des mines et du développement durable, a souligné que le développement de la filière PV passe par le respect des exigences de qualité dans l’installation des différents composants dédiés aux applications photovoltaïques, rappelant qu’en décembre dernier, son Département avait signé une convention de partenariat avec l’AMEE, l’AMISOLE et le Cluster solaire pour la labélisation des installateurs PV au Maroc.
« Aujourd’hui, le solaire photovoltaïque dispose d’un nouveau label qualité. Intitulé « Taqa- Pro », ce label, constitue une marque de reconnaissance pour les entreprises et les installateurs de systèmes solaires photovoltaïques », a-t-il dit, se félicitant de ce partenariat qui a permis la formation de ces 28 entreprises. 

Des rencontres BtoB visant à maximiser la contribution des entreprises marocaines dans la réalisation du projet Nour Midelt I ont été organisées, le 24 juin à Casablanca, à l’initiative d’EDF Renouvelables qui mène le consortium adjudicataire. 
Ces ateliers sectoriels, qui ont connu la participation notamment du groupe TSK, chargé de la construction de la centrale, ont réuni des opérateurs de l’électrique et l’électronique, l’Ingénierie et conception de projet, la Métallurgie et montage industriel et de la BTP, leur permettant d’échanger avec les représentants d’EDF Renouvelables et le Groupe TSK et de s’informer sur le projet Noor Midelt I et explorer les différentes pistes de coopération.
« Cette rencontre permet de présenter le projet aux entreprises marocaines opérant dans le secteur des énergies renouvelables, notamment, celles qui travaillent dans le BTP, le montage mécanique et électrique et les services d’ingénierie pour nouer des relations et devenir des sous-traitants dans l’objectif de maximiser la contribution des entreprises marocaines dans la réalisation du projet », a souligné Tarik Hamane, responsable du pôle développement à l’Agence marocaine pour l’énergie solaire (Moroccan Agency For Solar Energy/Masen).
Plus de 160 entreprises sont présentes et ont manifesté leur intérêt à l’égard de ce projet majeur, a-t-il ajouté, notant l’importance de capter le maximum de valeur ajoutée à l’échelle nationale et de permettre aux entreprises marocaines d’avoir la plus grande part dans la réalisation de ce projet.
Outre neuf ateliers organisés en parallèle pour les entreprises marocaines désirant un One to One avec les représentants d’EDF Renouvelables et le Groupe TSK, cette rencontre a vu la présentation des membres du consortium structuré autour des acteurs majeurs dans le secteur des énergies renouvelables.
L’appel d’offres international relatif à la conception, au financement, à la construction, à l’exploitation et à la maintenance du projet Noor Midelt I, d’une puissance installée de 800 MW, a été attribué au consortium mené par EDF Renouvelables (France) et composé de Masdar (Émirats Arabes Unis) et Green of Africa (Maroc).
Noor Midelt I aura une capacité de stockage de 5 heures, où les deux technologies photovoltaïque et CSP se combineront pour produire de l’électricité durable. Cette hybridation innovante permettra non seulement d’améliorer le rendement de la centrale mais aussi d’optimiser le prix du kilowattheure, avec un tarif encore plus compétitif de 0,68 dirhams le kwH en heure de pointe.
Le lancement des travaux de la centrale était prévu courant l’automne 2019 et les travaux relatifs aux infrastructures communes du complexe Noor Midelt sont quasiment finalisés. 

L’éclairage représente jusqu’à 45% de la consommation énergétique annuelle du bâtiment, a indiqué, lundi à Rabat, le ministre de l’Énergie, des mines et du développement durable, Aziz Rabbah.Intervenant à l’ouverture d’un atelier de recherche sur le projet de conception d’une plateforme de « Recherche & Développement & Innovation & Industrialisation (R&D&I&I) sur les systèmes d’éclairage naturel actifs », M. Rabbah a affirmé que ce programme s’inscrit ainsi dans le cadre de la dynamique marocaine pour la promotion de l’efficacité énergétique au niveau des secteurs clés de l’économie.
Le projet vise à favoriser l’émergence et le développement d’une industrie marocaine avant-gardiste en matière de systèmes d’éclairage naturel et hybrides. La consommation énergétique annuelle du bâtiment atteint 45% au Royaume (30% à 40% au niveau mondial, selon l’Agence internationale de l’énergie), soit un volume très coûteux qui fait l’objet d’un défi majeur à relever.

Dans ce sens, le ministère a fait appel au Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB, France), afin d’accompagner le Maroc dans la conception d’une plateforme dédiée aux technologies innovantes de l’éclairage, un projet qui ambitionne de promouvoir l’efficacité énergétique dans le bâtiment, à travers le remplacement des lampes et luminaires existants par des produits neufs plus économes en énergie.
M. Rabbah a, par ailleurs, fait observer que cette initiative vient s’ajouter aux différentes plateformes existantes développées par l’Institut de recherche en énergie solaire et énergies nouvelles (IRESEN), « Green Energie Park » et « Green & Smart Building Park », et aux efforts de promotion des nouvelles technologies, en particulier le « Power to X », pour la production de l’hydrogène, le stockage de l’énergie, et la mobilité électrique, qui permettent au Maroc de renforcer son leadership dans le domaine de la transition énergétique au niveau régional et continental.

Le Secrétaire général du ministère de l’Énergie, des mines et du développement Durable, Mohammed Ghazali, a eu des entretiens, le 14 juin à Lisbonne, avec le Secrétaire d’État portugais à l’Énergie, Joao Galamba, axés sur la nécessité de consolider davantage la coopération énergétique entre les deux pays. 
Après avoir rappelé l’excellence des relations qui lient le Maroc et le Portugal, M. Ghazali a mis l’accent sur la volonté du Ministère de consolider davantage la coopération énergétique bilatérale qui « revêt un caractère stratégique pour le Maroc en général et dans la déclinaison de la stratégie nationale de l’énergie en particulier ».
Il a également salué, lors de cette rencontre tenue en marge du 21e Forum Africain de l’Énergie, l’engagement du Portugal pour la réalisation des actions de coopération dans le domaine minier et pour la qualité de sa participation aux travaux de la première Edition « Marrakech Mining Convention ». 
Par ailleurs, le projet d’interconnexion électrique entre le Maroc et le Portugal était au cœur des discussions. Les deux parties ont saisi cette occasion pour mettre en exergue l’importance de l’aboutissement de ce projet et se sont félicités des efforts déployés des deux côtés, notamment en termes de réalisation de l’étude de faisabilité.
Au cours de cette rencontre, M. Ghazali a rappelé les domaines prioritaires de la coopération bilatérale, à savoir l’intégration des réseaux et des marchés énergétiques, le développement des énergies renouvelables et l’efficacité énergétique, en invitant les participants à faire le point sur l’état d’avancement des actions de chaque axe de coopération entre les deux pays. 
Pour sa part, M. Galamba a fait part de son engagement à aller de l’avant dans la concrétisation des projets de partenariats maroco-portugais, invitant ses collaborateurs à ne ménager aucun effort pour mener à bien les projets bilatéraux, notamment le projet d’interconnexion Maroc-Portugal.
Les deux parties ont réitéré, dans ce sens, leur volonté de poursuivre et renforcer leur coopération dans le cadre des Mémorandums signés dans les domaines de l’énergie, des mines et de la géologie. Il a été également convenu de tenir les prochaines réunions des groupes de travail techniques durant le 3ème trimestre de cette année.
Au terme de cette rencontre, MM. Ghazali et Galamba se sont félicités de la qualité des échanges bilatéraux et ont convenu de poursuivre les débats en vue de renforcer la coopération énergétique entre le Maroc et le Portugal, conformément aux Hautes instructions de SM le Roi Mohammed VI et du Président de la République Portugaise, Marcelo Rebelo de Sousa. 

Le Ministre de l’Énergie, des Mines et du Développement Durable, M. Aziz Rabbah, intervenant, mardi (07/05/2019) à Rabat, lors de la présentation de la seconde revue en profondeur de la politique énergétique nationale

Le ministre de l’Énergie, des mines et du développement durable, Aziz Rabbah a appelé le 19 juin à Marrakech, les établissements hôteliers à recourir à des solutions concrètes, intégrées et efficientes pour améliorer l’efficacité énergétique et réduire la facture énergétique de ces établissements touristiques.
Intervenant à la première conférence sur la performance énergétique dans l’hôtellerie, M. Rabbah a indiqué que le recours à des réponses intégrées et durables pour améliorer l’efficacité énergétique est de nature à contribuer à réduire la facture énergétique de ces établissements touristiques, dont la consommation énergétique reste très élevée par rapport à d’autres secteurs. Dans ce contexte, le ministre a relevé que l’efficacité énergétique dans les établissements hôteliers est devenue plus qu’une nécessité vu son impact financier et environnemental, mettant l’accent sur la nécessité d’instaurer un débat entre tous les intervenants du domaine énergétique et ces établissements touristiques en vue de présenter des solutions susceptibles d’améliorer l’efficacité énergétique.
Après avoir souligné que la transition énergétique est tributaire de l’efficacité énergétique non seulement pour les énergies fossiles et électriques mais aussi les énergies renouvelables, M. Rabbah a indiqué que le ministère œuvre actuellement à instaurer un cadre juridique pour accompagner cette efficacité énergétique aux côtés des institutions concernées.
Cet événement a pour ambition de sensibiliser les hôteliers à l’importance de la gestion efficiente et sobre de l’énergie et de leur proposer des solutions concrètes sur la rationalisation de la consommation d’énergie et l’amélioration de leur compétitivité, a-t-il ajouté.
Le directeur général de l’Agence Marocaine pour l’Efficacité Énergétique (AMEE), Said Mouline, a pour sa part, fait observer que le Maroc s’est engagé depuis des décennies dans l’efficacité énergétique en tant qu’axe prioritaire dans sa stratégie nationale énergétique.
Il a en outre, indiqué que l’AMEE est en train d’élaborer le cadre juridique de l’efficacité énergétique dans les établissements touristiques en vue de réduire la facture énergétique et rationaliser la consommation de l’énergie et sensibiliser les hôteliers sur les réponses durables à même d’améliorer l’efficacité énergétique.
Cet événements s’inscrit dans le cadre de l’organisation depuis 4 ans des rencontres africaines de l’efficacité énergétique, dont la cinquième édition s’est tenue à Casablanca en mars 2019 en présence de représentants de plusieurs pays africains et d’experts en provenance d’organisations internationales.

SAR la Princesse Lalla Hasnaa, préside la cérémonie d’inauguration du Centre international Hassan II de formation à l’environnement

Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa, Présidente de la Fondation Mohammed VI pour la Protection de l’Environnement, a présidé, le 18 juin à Bouknadel, la cérémonie d’inauguration du Centre international Hassan II de formation à l’environnement.
Après avoir dévoilé la plaque commémorative relative à l’inauguration du centre international Hassan II de formation à l’environnement, Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa a suivi des explications sur les activités du Centre. Par la suite, SAR la Princesse Lalla Hasnaa a visité l’Accueil et le Hall, la salle de formation et learning, ainsi que la salle plénière, avant de se rendre à une des classes vertes au rez-de-chaussée.
Accompagnée de Mme Laila Skali Lami, architecte du projet, Son Altesse Royale a également visité les installations environnementales de la partie extérieure du Centre.
Par la même occasion, SAR la Princesse Lalla Hasnaa a suivi une présentation de la conception du jardin étagé par M. Pascal Lopez, directeur général de I.D paysage, ainsi que deux autres présentations de la ferme solaire, de la station d’épuration, du bassin de rétention des eaux récupérées et du Compostage, et du jardin de permaculture.
Au terme de cette cérémonie, Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa a posé pour une photo-souvenir au jardin, avec les écoliers et les membres du Conseil d’administration de la Fondation.
La création du Centre international Hassan II de formation à l’environnement, nommé par SM le Roi Mohammed VI, a été portée par Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa. Il est entièrement dédié à la sensibilisation et l’éducation à l’environnement de toutes les cibles qu’elle vise: enfants, société civile, entreprises, administration, collectivités territoriales. 

Il est l’aboutissement de 18 années d’engagement de Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa, de ses partenaires et de sa Fondation depuis sa création en 2001. Le Centre international Hassan II de formation à l’environnement constitue aujourd’hui le vaisseau amiral de la Fondation, avec de hautes exigences: être avant-gardiste et en perpétuel renouveau, à la pointe de la pédagogie, à la fois en termes de contenu que d’outils de diffusion. 

SAR la Princesse Lalla Hasnaa, préside la cérémonie d’inauguration du Centre international Hassan II de formation à l’environnement

Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa, Présidente de la Fondation Mohammed VI pour la Protection de l’Environnement, a présidé, le 18 juin à Bouknadel, la cérémonie d’inauguration du Centre international Hassan II de formation à l’environnement.

Après avoir dévoilé la plaque commémorative relative à l’inauguration du centre international Hassan II de formation à l’environnement, Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa a suivi des explications sur les activités du Centre. Par la suite, SAR la Princesse Lalla Hasnaa a visité l’Accueil et le Hall, la salle de formation et learning, ainsi que la salle plénière, avant de se rendre à une des classes vertes au rez-de-chaussée.

Accompagnée de Mme Laila Skali Lami, architecte du projet, Son Altesse Royale a également visité les installations environnementales de la partie extérieure du Centre.

Par la même occasion, SAR la Princesse Lalla Hasnaa a suivi une présentation de la conception du jardin étagé par M. Pascal Lopez, directeur général de I.D paysage, ainsi que deux autres présentations de la ferme solaire, de la station d’épuration, du bassin de rétention des eaux récupérées et du Compostage, et du jardin de permaculture.

Au terme de cette cérémonie, Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa a posé pour une photo-souvenir au jardin, avec les écoliers et les membres du Conseil d’administration de la Fondation.
La création du Centre international Hassan II de formation à l’environnement, nommé par SM le Roi Mohammed VI, a été portée par Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa. Il est entièrement dédié à la sensibilisation et l’éducation à l’environnement de toutes les cibles qu’elle vise: enfants, société civile, entreprises, administration, collectivités territoriales.

Il est l’aboutissement de 18 années d’engagement de Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa, de ses partenaires et de sa Fondation depuis sa création en 2001.

Le Centre international Hassan II de formation à l’environnement constitue aujourd’hui le vaisseau amiral de la Fondation, avec de hautes exigences: être avant-gardiste et en perpétuel renouveau, à la pointe de la pédagogie, à la fois en termes de contenu que d’outils de diffusion.

La Banque Mondiale et l’Alliance Mission Innovation ont lancé une initiative internationale pour le développement de nouvelles solutions technologiques de stockage de l’énergie dans les pays en développement, baptisée « Partenariat pour le stockage énergétique » (PES).
L’initiative dévoilée, le 29 mai, en marge de la 4e réunion ministérielle de l’Alliance « Mission Innovation », a pour objectif de concevoir des moyens de stockage adaptés aux besoins des pays en développement.

Regroupant 29 organisations ainsi que la Banque mondiale (BM), ce partenariat ambitionne d’introduire de nouvelles technologies dans les systèmes énergétiques de ces pays.
S’exprimant à cette occasion, le directeur général de l’Institut de recherche en énergie solaire et énergies nouvelles (IRESEN), Badr Ikken, a salué l’initiative qui sera abritée par le Programme d’assistance à la gestion du secteur de l’énergie (ESMAP) de la BM.
« L’IRESEN a rejoint les membres fondateurs et s’engage à soutenir activement cette excellente initiative », a affirmé M. Ikken, qui a d’autre part présenté les opportunités offertes en matière de stockage énergétique dans le continent africain à même de répondre aux besoins de plus de 600 millions d’Africains qui n’ont toujours pas accès à l’électricité.
Il a dans ce sens insisté sur la pertinence d’adapter les batteries aux conditions climatiques sur le continent africain, mais aussi de favoriser le développement du stockage thermique et de la production d’hydrogène vert.
Cette procédure permettra de créer beaucoup de richesse dans les pays émergents qui jouissent de ressources renouvelables indéniables.
De son côté, le directeur général de l’Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA), Francesco La Camera, a expliqué que le stockage énergétique se positionne comme l’une des clés du développement des énergies renouvelables dans divers secteurs, faisant savoir qu’une telle démarche se traduira par l’émergence de nouveaux marchés dans les pays en développement.
Pour le directeur d’Energy Sector Management Assistance Program (ESMAP), Rohit Khanna, le PES va accompagner les efforts liés au développement technologique et à la démonstration des applications, aux instruments d’intégration et de planification, au développement d’infrastructures telles que les technologies de communication et de systèmes de management de l’énergie, en plus de l’approvisionnement, les politiques publiques et le cadre réglementaire du stockage énergétique.
Selon lui, ce groupement d’experts du secteur public et privé contribuera fortement à développer de nouvelles solutions technologiques pour les pays en développement.

Taqa Maroc a affiché un chiffre d’affaires de 2,37 milliards à hauteur de mars 2019 (T1 2019), contre 2,07 milliards de dirhams pour la même période de l’année précédente, soit une progression de 14 %.

La progression du chiffre d’affaires de l’opérateur privé de la production électrique est due aux performances opérationnelles de l’ensemble des unités, ainsi que l’augmentation des frais d’énergies résultant de la hausse du prix d’achat du charbon sur le marché international.

Le résultat net a totalisé un montant de 339 millions de dirhams, contre 360 millions de dirhams une année auparavant, soit une baisse de 6 % sur une année. Le résultat d’exploitation de la compagnie a baissé de 4 %, passant de 684 millions de dirhams au T1 2018 à 654 millions de dirhams au T1 2019.

Cette régression s’explique selon le management par une «légère» hausse des charges d’exploitation et de maintenance, ainsi que de la hausse du prix d’achat du charbon sur le marché international.

Au vu de ces données, le Résultat Net Part du Groupe (RNPG) a lui aussi régressé, passant de 282 millions de dirhams au T1 2018 à 265 millions de dirhams au T1 2019, soit une baisse de 6 %. Ce résultat est dû à la baisse du résultat d’exploitation, ainsi que la hausse du résultat financier de la compagnie, suite à la baisse des charges d’intérêts sur emprunts, consécutive à l’effort de remboursement consenti.